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dimanche, 02 septembre 2018

Préférence nationale – Quand la gauche prétendait protéger la main d’œuvre nationale

Publié par Guy Jovelin le 02 septembre 2018

Ecrit par Pierre-Alain Depauw

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En 1931, la presse syndicale de la CGT ou de la CGT-U (communiste) lance une campagne d’opinion contre « les étrangers qui volent le travail des Français » suivie par une proposition de loi de la SFIO de Roger Salengro, déposée en août 1931, « tendant à la protection de la main-d’œuvre nationale », dont le premier article prévoit d’interdire durant une période limitée l’entrée des étrangers en France. L’article 2 prévoit de fixer un seuil maximal de 10 % de travailleurs étrangers dans les entreprises. La proposition loi prévoit des amendes pour les patrons contrevenants. Cette proposition de loi socialiste ne sera pas adoptée.

Mais le 10 août 1932, une autre loi destinée à protéger la main d’œuvre nationale est votée, à l’initiative du gouvernement de Edouard Herriot (groupe Républicain radical et radical-socialiste). Cette loi Herriot est en définitive beaucoup plus immigrationniste que le projet Salengro (sauf pour le secteur public où la proportion des travailleurs étrangers ne peut dépasser 5 %).

 

 

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La présence croissante d’étrangers en France ne cesse de susciter l’inquiétude. En février 1935, les étudiants en médecine manifestent « contre l’invasion métèque  » devant les facultés de médecine. D’autres étudiants suivent et manifestent contre « l’envahissement des étrangers « . Parmi ces manifestants figure un certain François Mitterrand.

Le 14 avril 1937, sous le gouvernement de Front populaireMarx Dormoy, ministre de l’intérieur socialiste du gouvernement Blum, donne instruction aux préfets de « refouler impitoyablement tout étranger qui cherchera à s’introduire sans passeport ou titre de voyage valable ».

La loi de protection de la main d’œuvre nationale est abrogée en 1981 par François Mitterrand, celui-là même qui manifestait en 1935 contre « l’envahissement des étrangers « , car considérée contraire aux traités européens signés par la France.

 

Source : medias-presse.info

Chemnitz : une journalope à la rencontre du peuple allemand (vidéo savoureuse)

Publié par Guy Jovelin le 02 septembre 2018

allemagne,émeutes,journalope 

Lapin Taquin@LeLapinTaquin
 
 

[IMPORTANT] Cette vidéo est un petit trésor. Des citoyens allemands en colère face à une journaliste de gauche à propos des "émeutes xénophobes". Voici les gens dont parle la télévision quand elle dit "extrême droite". À partager autant que possible.

L’agresseur de Marie Laguerre est un Tunisien de 25 ans déjà condamné 8 fois

Publié par Guy Jovelin le 02 septembre 2018


Voir l'image sur Twitter
Lapin Taquin@LeLapinTaquin  

Vous vous rappelez de la vidéo de la femme giflée en plein jour à Paris ? Son agresseur est un Tunisien de 25 ans déjà condamné 8 fois. Ouais, 8 fois. Je m'arrête là car la suite de ce tweet ne peut qu'être illégale. Bonne après-midi.

Enracinement • Patriotisme

Essayez de dire à des jeunes gens de vingt à trente ans, même charmants et pleins de bonne volonté, que la République est un accident de l’histoire de France : presque à chaque fois, vous verrez leurs yeux s’emplir de réprobation stupéfaite. C’est qu’en effet, la République est la référence suprême de leur conscience politique, et la France n’est tout au plus qu’une entité géographique, fruit d’une histoire qu’en général ils ne connaissent pas ou très mal, par morceaux épars fortement teintés de pseudo-culture marxisante.

Mais, fort heureusement, cette imprégnation néfaste des esprits n’est pas totalement victorieuse : il existe des agents « résistants » tels que les liens familiaux, l’expérience des aînés et, bien sûr, ce qui subsiste du socle chrétien de notre nation. Ce terreau bienfaisant nourrit en particulier un certain nombre de catégories professionnelles dont la raison d’être dépasse par essence le banal et vulgaire utilitarisme ; c’est le cas par exemple du personnel médical, des enseignants dévoués à leur tâche (si toutefois ils ne sont pas trop « idéologisés »), des militaires, de certaines associations… Sans oublier le paradoxal et mystérieux engagement des prêtres et des moines contemplatifs. En effet, l’activité de ces personnes favorise des rapports à autrui faits de compétence, de générosité, de capacité d’écoute, de don de soi, voire d’abnégation, dispositions essentiellement subversives par rapport à l’intellectualisme stérile du rousseauisme et aux spéculations du libéralisme marchand.

L’émotion provoquée par la mort héroïque du colonel Beltrame est un signe patent de cette subversion bienfaisante ; « son sacrifice nous oblige », a dit Emmanuel Macron lui-même lors de son hommage prononcé aux Invalides. Nous oblige, comme « noblesse oblige ». Sacrifice qui réveille notre part de patrie, laissée plus ou moins endormie dans une chambre oubliée. Sacrifice qui, loin d’écraser, rend libre, car il est porteur de cette vérité qui donne du sens à la vie, fût-elle des plus ordinaires.

Le chevalier d’Assas mourut à la bataille de Clostercamp, en 1760, pendant la guerre de Sept ans ; envoyé en reconnaissance à l’aube, il était accompagné par le sergent Dubois de sa compagnie du Régiment d’Auvergne ; surpris et cernés par l’avant-garde ennemie, ils sont menacés de mort s’ils donnent l’alerte ; et c’est le fameux cri : « À nous, Auvergne, c’est l’ennemi ! ». Le sergent est tué aussitôt. Blessé mortellement, le chevalier répéta plusieurs fois avant de succomber : « Enfants, ce n’ai pas moi qui ai crié, c’est Dubois. » Héroïsme de l’humble sergent, noble élégance de son chef.

Dans cette histoire, comme dans celle du colonel Beltrame, la France est là, comme elle est présente dans la surnaturelle audace de Jeanne face à ses juges, dans l’extraordinaire abnégation du poilu de Verdun, et dans la vie secrète et donnée au sein des monastères ; cet héritage nous oblige en effet, et dans une dimension totalement absente de celui de la Révolution. 

 

Source : lafautearousseau