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mardi, 05 décembre 2017

Grand Remplacement : un guide pour aider les réfugiés à s’installer en France

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2017

 

 

Édité en quatre langues, français, arabe, russe et anglais, distribué à 1 500 exemplaires aux associations immigrophiles qui favorisent la venue des « migrants » sur le sol français, il est destiné aux « réfugiés » : le Guide du réfugié sort aujourd’hui en France et est disponible sur internet, gratuitement bien entendu. Il a pour but de soutenir et aider les clandestins à obtenir l’asile politique ainsi que de favoriser leur intégration.

« Il s’agit de répondre aux réfugiés qui ne connaissent pas bien leurs droits, mais aussi aux questions récurrentes des bénévoles ou des organismes qui travaillent avec eux »,

explique l’inspiratrice du guide mis en œuvre par l’association Welcome Bordeaux, Anne Rouffi, intervenante sociale auprès des réfugiés depuis six ans.  

Dans la rubrique Les essentiels, le guide énumère aux « réfugiés » les différentes prestations, aides sociales et financières qu’il leur est possible d’obtenir. De même il les encourage à bénéficier de « la réunification familiale » qui permet à un « réfugié » de faire venir toute sa famille « en raison de leurs craintes pour leurs conjoints et enfants sans les conditions demandées aux autres étrangers pour le « regroupement familial».

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C’est aussi un guide de la désinformation en images enfantines et laides. Un exemple parmi tant d’autres : au chapitre Le couple et l’exil dans la bande dessinée qui raconterait soi-disant des histoires de migrants, une femme explique que

« ici on a la protection, le logement, les études mais aussi la famille qui se dégrade. On ne peut pas en parler à tout le monde. On est à l’étranger et au lieu d’être soudés… je vois des couples… ils s’insultent, se déchirent. En exil les hommes changent… les femmes subissent. »

En somme, le guide s’adresse surtout aux Français : pas d’idées reçues concernant les « migrants » !  Au bled les hommes sont plus sympas… ce n’est pas une affaire de culture, de mœurs, de religion que l’on ne nommera pas… juste un problème d’exil… Et puis les clandestins qui arrivent, ils ont des super-diplômes, ce sont des chances pour la France, humbles et travailleurs…

 

Et étonnamment, toutes les vignettes, excepté deux ou trois, ne représentent que des caucasiens…

Mais qui donc peur du Grand Remplacement ?

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

657e anniversaire de la naissance du franc

Publié par Guy Jovbelin le 05 décembre 2017

Auteur par admin4

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N’oublions pas notre monnaie nationale, outil indispensable de notre souveraineté et de notre santé économique. L’espoir de la retrouver prochainement grandit régulièrement.

Le 5 décembre 1360, les premiers francs sont frappés à Compiègne, pour aider à payer la rançon du roi Jean II de France (capturé par les Anglais le 19 septembre 1356 à la bataille de Poitiers).                                                            Dénommé le « franc à cheval », il s’agit en fait d’un écu pesant 3,87 grammes d’or fin et valant une livre tournois ou 20 sols.                                                                                                                                                                         Le roi y est représenté sur un destrier, armé d’un écu à fleur de lys et brandissant l’épée, avec le terme                    « Francorum Rex » (Roi des Francs).

Bien que le mot « franc » signifie « libre », il est plus probable que le nom de la monnaie vienne tout simplement de cette inscription.                                                                                                                                                                Le roi, lors de son retour, instituera officiellement cette monnaie, avec en ligne de mire la fin des dévaluations qui se sont répétées durant la première moitié du siècle :                                                                                                        « Nous garderons monnaie stable qui puisse demeurer en un état le plus longuement que l’on puisse bonnement et qui ne grèvera point notre peuple ».

On est loin des préoccupations des États et des banques d’aujourd’hui…

 

Source : contre-info