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jeudi, 14 février 2019

Neckartailfingen (All.) : Un habitant doit quitter la maison qu’il loue depuis 24 ans pour laisser la place à des réfugiés

Publié par Guy Jovelin le 14 février 2019

 
Selon une décision du conseil municipal, un habitant âgé de 74 ans doit partir pour laisser la place à des réfugiés. Klaus Roth n’est pas un inconnu à Neckartailfingen. Il travaille comme chauffeur pour l’Association des infirmières et s’occupe des personnes âgées.

Autrefois, le père de trois enfants était président du conseil des parents d’élèves. A la fin des années 70, l’ancien graphiste a également produit et érigé de sa propre initiative des panneaux d’avertissement colorés portant l’inscription « Automobilistes : levez le pied » après que deux enfants de Neckartailfingen aient été tués sur la route.

Depuis 24 ans, Klaus Roth vit à Neckartailfingen dans une ancienne maison qui appartient à la commune. A présent, le contrat de location a été résilié parce que le conseil municipal a décidé que le logement est nécessaire pour accueillir des réfugiés. Cet homme de 74 ans, qui s’engage de multiples façons pour le bien commun de la communauté, ne comprend plus le monde dans lequel il vit.

[…]

(Traduction Fdesouche)

Ntz.de

 

mercredi, 19 décembre 2018

Après le Pacte Mondial sur les migrations, voici le Pacte Mondial sur les réfugiés

Publié par Guy Jovelin le 19 décembre 2018 

Son adoption à l’ONU le 17 décembre dernier est quasiment passé inaperçue. Pourtant le Pacte Mondial sur les réfugiés est un autre cheval de Troie de la mondialisation : parmi les mesures édictées, il prévoit en effet le transfert des réfugiés en des pays pauvres vers les pays plus riches, c’est-à-dire l’Europe et les États-Unis.

L’Assemblée générale de l’ONU a donc adopté lundi à une très grande majorité, mais sans les États-Unis et la Hongrie, ce Pacte mondial sur les réfugiés visant à améliorer leur gestion internationale et à permettre “de renforcer l’assistance et la protection des 25 millions de réfugiés recensés dans le monde”.

Ce texte a quatre objectifs principaux : alléger les pressions exercées sur les pays d’accueil, accroître l’autonomie des réfugiés, élargir l’accès à des solutions faisant appel à des pays tiers et aider à créer dans les pays d’origine les conditions nécessaires au retour des réfugiés dans la sécurité et la dignité. Contrairement au document sur les migrants, les États-Unis ont participé aux négociations sur celui sur les réfugiés qui ont duré dix-huit mois.

Comme pour le Pacte Mondial sur les migrations, celui sur les réfugiés découle d’une Déclaration de New York, fortement voulue par le président des États-Unis de l’époque, Barack Obama. Votée le 19 septembre 2016 par les 193 membres de l’ONU, cette déclaration visait à améliorer leur aptitude à « avoir une attitude plus humaine et coordonnée envers les réfugiés et les migrants » dans le but de « sauver des vies, protéger des droits et partager la responsabilité au niveau mondial ». Depuis lors, les pays représentés à l’ONU se sont engagés à créer « une structure mondiale pour que l’émigration, comme les autre phénomènes internationaux, soit guidée par un système commun de principes et d’approches », l’aboutissement de ces réflexions étant donc le Pacte Mondial sur les migrations ; et à formuler un Pacte mondial sur les réfugiés pour consentir à arriver à « une répartition plus équitable du fardeau et de la responsabilité d’accueillir et de soutenir les réfugiés », 85 % de ces réfugiés vivant dans des pays pauvres. Pourtant depuis 1951 le statut et les droits des réfugiés sont bien réglés par la Convention internationale de Genève. Le but de la manœuvre paraît bien être la répartition des réfugiés dans les pays occidentaux.

Car ce que l’ONU et l’Unhcr (le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés), les artisans de ce nouveau pacte, semblent ignorer, peut-être occultent savamment, c’est la provenance des fonds grâce auxquels il est possible d’aider ces 20 millions de réfugiéseffectivement concentrés en des pays pauvres non parce que ces derniers sont plus généreux et charitables mais parce qu’ils sont frontaliers des États en crise. 86% des fonds dont disposent l’Unhcr, la majorité des agences onusiennes et de tant d’Ong, proviennent des États-Unis, de l’Union Européenne et d’États européens.

Ainsi ce Pacte Mondial sur les réfugiés entend alléger la pression sur les pays hôtes en augmentant les contributions financières qui leur sont allouées mais aussi et surtout en promouvant le transfert des réfugiés vers d’autres États sur laquelle la pression est mineure, entendons par là ceux européens et du nord de l’Amérique.

Tandis que le Pacte Mondial sur les Migrations affirme le droit absolu à émigrer, le Pacte Mondial sur les réfugiés, en falsifiant les faits, essaye de faire peser sur l’Occident la charge physique des réfugiés. Ces deux pactes sont les deux pinces de la tenaille du mondialisme qui s’efforce de pulvériser les nations, d’anéantir les identités et de détruire ce qui reste de la grande civilisation millénaire chrétienne et européenne.

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

dimanche, 25 novembre 2018

« La Cour de justice de l’UE renforce le droit des réfugiés aux prestations sociales »

Publié par Guy Jovelin la 25 novembre 2018

Par  le 24/11/2018

prestations sociales,réfugiés,ue

Les réfugiés statutaires ne doivent pas percevoir moins de prestations sociales que les citoyens du pays d’accueil. Et cela indépendamment du fait que le réfugié ne possède qu’un droit de séjour temporaire. C’est ce qu’a décidé mercredi [21 novembreà Luxembourg la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE). Elle avait à se prononcer sur une affaire concernant l’Autriche. Mais le jugement est contraignant pour tous les États de l’UE. (AZ: C-713/17)

Il s’agissait concrètement d’un Afghan venu avec sa famille en Autriche et qui avait obtenu en 2016 le statut de réfugié. Obtention accompagnée d’un droit de séjour pour trois ans. Cet homme percevait des prestations sociales, mais, conformément à une réglementation autrichienne, elles étaient inférieures à celles perçues par les réfugiés dont le droit de séjour n’était pas limité. Ces derniers perçoivent les mêmes prestations sociales que les Autrichiens.

La question était de savoir si cette différence de traitement était compatible avec ce qu’on appelle la « Directive relative aux conditions requises », un loi de l’UE datant de 2011 pour la protection des réfugiés. Les juges de la CJUE ont donc estimé que la loi était sur ce point sans équivoque : les réfugiés statutaires ont, dans un pays de l’UE, droit à des prestations sociales d’un même niveau que les citoyens du pays, et cela indépendamment d’une éventuelle limitation de leur séjour. […]

Si le droit national s’y oppose, c’est le droit de l’UE qui prévaut, a estimé le tribunal. Les prestations sociales pour ceux qui ne bénéficient que de la protection subsidiare sont une autre question, elles peuvent être plus basses, ont précisé dans le même temps les juges. La justice autrichienne doit maintenant régler ce cas concret sur la base du jugement européen. […]

(Traduction Fdesouche)

Frankfurter Allgemeine Zeitung via fdesouche

mardi, 02 octobre 2018

On connaît les noms des personnes qui vont accueillir les 30 000 prochains “réfugiés” !

Publié par Guy Jovelin le 02 octobre 2018

 

La liste complète est ici.

 

Source : https://www.change.org via ndf

Le Ministère du Travail va sortir 15 millions d’euros pour aider les « réfugiés » à trouver un emploi

Publié par Guy Jovelin le 02 octobre 2018

Auteur : admin4

emploi,ministère du travail,réfugiés,

En France, il y a actuellement plus de 6 millions de chômeurs, 9 millions de pauvres, des retraités qui souffrent, des étudiants en situation précaire, des hôpitaux qui manquent de moyens…

Mais le ministre du Travail Muriel Pénicaud arrive à trouver 15 millions d’euros pour des immigrés prétendument « demandeurs d’asile ». Comment cela se fait-il ?!

« C’est un volet du Plan Investissement Compétence qui sera rendu public ce lundi et dont France Inter a pu prendre connaissance en exclusivité. Il s’agit d’un nouvel appel à projets pour l’intégration professionnelle des bénéficiaires d’une protection internationale et des demandeurs d’asile de plus de 6 mois, à la recherche d’un emploi ou d’une formation professionnelle.

En clair, la [sic] ministre du Travail appelle les structures d’insertion et de formation des réfugiés en France à candidater pour bénéficier d’aides financières, à hauteur d’une enveloppe globale de 15 millions d’euros. […] »

Source  ; franceinter via contre-info