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mercredi, 06 décembre 2017

J’ai pris le métro à Moscou et j’ai pleuré !

Publié par Guy Jovelin le 06 décembre 2017

 

Comment vous dire ?

Prendre le métro en Russie n’est pas du tout un calvaire, bien au contraire. Aux allures de palais, les stations sont d’une beauté étouffante, de quoi vous faire maudire la ligne 2 à la ligne 5 de notre vert de terre dont la destination est souvent « Barchalouna » (Non Non pas Barcelone, on fait juste genre pour les touristes).

La larme à l’œil, je contemple ses œuvres d’art en oubliant presque le calvaire de la station du Bardo (en face du parlement, c’est important à dire ! ) qui pue la pisse et le vomi.

Que dire ? J’ai désormais le syndrome de Moscou (Pleurez en silence je vous prie ! )

Voir les photos : J’ai pris le métro à Moscou et j’ai pleuré !

 
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F.B.A

Crèche de Noël : un maire de gauche choque avec une représentation de Jésus en migrant

Publié par Guy Jovelin le 06 décembre 2017

 

Crèche de Noël : un maire de gauche choque avec une représentation de Jésus en migrant
                       La crèche de la nativité revue et corrigée.                           © Giacomino Nicolazz      
                                                                      
En Italie, le maire d'un village a voulu attirer l'attention du public sur les difficultés des migrants lors de leur périple en confectionnant la crèche. L'ancien évêque auxiliaire de Bologne n'a pas apprécié, s'épanchant dans la presse locale.

La crèche de Noël du village de Castenaso en Italie est assez peu conventionnelle cette année. Selon le souhait du maire Stefano Sermenghi, classé à gauche, Jésus y a été représenté en bébé migrant dans les bras de la Vierge, tous deux à bord d'une embarcation gonflable, voguant sur une bâche bleue. Une image qu'il a réutilisée pour les cartes de vœux de la commune.

Peppone a trouvé son Don Camillo

 Si l'édile local souhaitait attirer l'attention de ses électeurs sur les difficultés rencontrées par les migrants essayant de traverser la mer Méditerranée, l'ancien évêque auxiliaire de Bologne n'a pas apprécié l'élan du maire. Monseigneur Ernesto Vecchi a en effet estimé que l'initiative de la mairie constituait une violation de l'image de la Nativité : «Au cœur d'une scène de Nativité, on devrait trouver un enfant langé dans une crèche et on se doit de respecter cela», a-t-il déclaré au journal Il Resto del Carlino, le 4 décembre, avant d'ajouter : «La pièce maîtresse de la crèche ne peut pas être représentée par un bateau gonflable. Je ne me plains même pas du fait que l'embarcation soit intégrée dans cette crèche, mais elle aurait dû être placée ailleurs. Surtout, on n'aurait pas dû y embarquer l'enfant Jésus et la Sainte-Vierge.»

Pour sa part, le maire n'a pas été déstabilisé par cette déclaration de l'homme d'Eglise et a rappelé au même journal qu'il était important, selon lui, que les migrants se sentent les bienvenus  : «En Italie, il y a du monde pour parler, mais quand il s'agit de faire quelque chose de concret pour améliorer l'accueil de ceux qui arrivent, il n'y a plus personne.»

 

Source : francais.rt

Etats-Unis : voilà le Père Noël noir et homosexuel

Publié par Guy Jovelin le 06 décembre 2017

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Le monde est devenu fou et chaque jour nous en livre quelques preuves supplémentaires. Dernier exemple en date : l’idée née aux États-Unis de présenter aux enfants un Père Noël noir et homosexuel.

Nous n’avons pas ici une grande affection pour la version Coca-Cola d’un Père Noël qui détourne au profit d’une opération consumériste la véritable Fête de Noël qui célèbre la Nativité du Christ.

D’ailleurs, aux États-Unis comme en Europe, nous constatons depuis plusieurs années l’existence d’une « guerre contre Noël », qui passe par toutes les pressions pour faire disparaître les crèches de Noël des espaces publics et qui s’accompagne simultanément de la disparition du mot « Noël ». Les marchés de Noël sont de plus en plus remplacés par des « Marchés d’Hiver » et les dépliants publicitaires ont banalisé l’expression « Joyeuses fêtes » au détriment du traditionnel « Joyeux Noël ».

Donald Trump l’avait fait remarquer pendant sa campagne :

« En allant dans certains magasins, on ne voit pas le mot “Noël” une seule fois. Toutes les pancartes disent “Joyeuses fêtes”. Moi, je dis, “Où est passé Noël ?”, et je dis à ma femme de ne pas aller dans ces magasins… Moi, je veux voir le mot “Noël”. »

Cette année, le président des Etats-Unis a n’enverra pas des « Season’s Greeting » (« Bonne fin d’année ») souhaités par la famille Obama sur les cartes de vœux de la Maison-Blanche. Il est revenu à l’expression « Merry Christmas and a Happy New Year » (« Joyeux Noël et bonne année »).

Mais les Etats-Unis recèlent un nombre considérable d’individus qui consacrent leur temps à subvertir notre société. L’année dernière, le centre commercial Mall of America avait recruté uniquement des Pères Noël noirs. La bataille idéologique n’était plus ici religieuse mais raciale.

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Sur la chaîne conservatrice Fox News, Megyn Kelly, avait répliqué : « Pour tous les enfants qui nous regardent à la maison : le Père Noël est blanc, c’est tout. »

Daniel Kibblesmith, l’un des auteurs du Late Show de Stephen Colbert, avait réagi sur Twitter par une nouvelle provocation.

« @JenAshleyWright et moi avons décidé que notre futur enfant ne connaitrait que le Père Noël noir. Si on croise un Père Noël blanc, je lui dirai que c’est son mari. »

Il n’en fallait pas plus pour voir apparaître cette année un pseudo conte de Noël intitulé Santa’s Husband qui raconte l’histoire d’un Père Noël noir marié à un homme blanc.

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140 000 € pour l’agence de communication qui a trouvé le nom « Normandie »…

Publié par Guy Jovelin le 06 décembre 2017

Mis à jour le 6 décembre 2017 Auteur par Pierrot

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140 000 € pour l’agence de communication qui a trouvé le nom « Normandie » suite à la fusion de la Basse-Normandie et de la Haute-Normandie… Elle est pas belle la vie ? 

 

Source : contre-info

EN 2017, LE TAUX RÉEL DU CHÔMAGE EN FRANCE N’EST PAS DE 10 %, MAIS D’AU MINIMUM 20 % !

Publié par Guy Jovelin le 06 décembre 2017

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 Marc Rousset

En France, il y a cinq catégories de personnes à Pôle emploi :
– les chômeurs de la catégorie A, des demandeurs d’emploi sans aucune activité ;
– les chômeurs de la catégorie B, des personnes exerçant une activité réduite courte de 78 h ou moins dans le mois ;
– les chômeurs de la catégorie C, des personnes en activité réduite longue (plus de 78 h dans le mois) ;
– les personnes de la catégorie D, des personnes sans emploi et non immédiatement disponibles car en formation, stage, contrat de sécurisation professionnelle, maladie ;
– les personnes de la catégorie E, des personnes non tenues de chercher un emploi car, par exemple, créations d’entreprises ou contrats aidés.

Fin octobre 2017, selon Pôle emploi, le nombre de demandeurs d’emploi (y compris les départements d’outre-mer) s’élevait à 3.742.000 personnes pour la catégorie A. Si l’on ajoute simplement les catégories A, B et C, ce nombre s’établit déjà à 5.923.200 personnes !

La population active, selon l’INSEE, en âge de travailler étant de 28,4 millions de personnes, cela donne déjà un taux de chômage minimum de 20 %, soit le double du taux annoncé et généralement retenu par les Français de 10 %.

Mais la situation est bien plus dramatique, car incorporer les 6,9 millions de fonctionnaires et agents publics dans la population concernée par le chômage minimise le taux réel du chômage. En effet, les fonctionnaires évitent le risque du chômage puisque le statut de fonctionnaire procure un emploi à vie. Ce serait comme si on rapportait le taux de cancer du sein à la population hommes et femmes. Si l’on exclut le nombre de fonctionnaires et d’agents publics, le taux réel de chômage du secteur privé salarié en France, sans même tenir compte des personnes catégories D et E, peut donc être estimé à 28 %. Et ne parlons pas du rôle d’éponge à chômeurs que joue, en France, une fonction publique pléthorique, notamment avec l’explosion des embauches dans les collectivités territoriales ces dernières années. Si l’on retire, enfin, les indépendants et professions libérales qui n’ont pas droit au chômage, on se retrouve même avec un taux de chômage du secteur privé salarié atteignant 30 % de la population active.

 
Bref, un salarié sur trois du secteur privé serait aujourd’hui effectivement au chômage.

Il importe, aussi, d’être conscient du « chômage camouflé », ce qu’ont toujours compris la plupart des gouvernements, et tout particulièrement ceux de François Hollande, qui consiste à faire passer des chômeurs de catégorie A dans les catégories D et E (stages, formations, contrats aidés).

Enfin, si l’on tient compte des auto-entrepreneurs, du grand nombre de précaires tels que les bénéficiaires du Revenu de solidarité active (RSA), de l’allocation adulte handicapé (AAH), des bénéficiaires de certaines allocations qui dépassent un certain seuil (pensions alimentaires) non inscrits à Pôle emploi, on prend encore mieux conscience du très grand nombre de personnes inactives sans que ces personnes dans un état précaire, handicapé ou inoccupé soient des chômeurs pour autant.

Il nous parait donc possible d’affirmer que le taux de chômage réel en France n’est pas de 10 % mais d’au minimum 20 % !

Or, ce déni sur les chiffres du chômage explique que certains économistes, relayés par exemple par Jean-Pierre Robin dans sa dernière chronique du Figaro du 28 novembre, ne comprennent pas pourquoi l’inflation ne repart pas. Pour eux, la courbe de Phillips, qui voudrait que l’inflation reprenne avec la diminution du chômage, ne joue plus. Elle se serait par miracle soudainement et bizarrement aplatie ! En fait, la courbe de Phillips est toujours bien là, inchangée dans sa forme courbée jouant parfaitement son rôle explicatif car le taux de chômage à regarder sur l’axe des abscisses est 20 % et non pas le taux de chômage officiel annoncé de 4,7 % aux États-Unis, de 10 % en France.

Enfin, si 42 % des chefs d’entreprise ont, dans certains secteurs, des difficultés à embaucher, ce n’est pas parce que le taux de chômage est bas, mais parce qu’il manque du personnel qualifié et compétent pour les technologies anciennes et nouvelles. En Allemagne, sur le million d’immigrés entrés par effraction, suite à la trahison de madame Merkel, un très faible pourcentage seulement a trouvé un emploi effectif, car ils sont inadaptés aux emplois proposés.

 

Source : synthesenationale