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Une réunion inter-religieuses s’est tenue ce mardi, à la Commission européenne, sur le thème Migration et valeurs européennes. Des représentants religieux catholiques, orthodoxes, protestants, musulmans, juifs, hindous et bouddhistes ont été reçus au siège de la Commission européenne à Bruxelles, autour de son Premier Vice Président, Frans Timmermans.
Bien entendu et sans surprise, il s’agissait d’encourager une fois de plus les Européens à accueillir sans broncher toujours plus d’immigrés. Il a même été question de faciliter le regroupement familial qui, concrètement, devrait permettre à des immigrés arrivés chez nous illégalement de faire venir ensuite légalement des membres de leurs familles.
Les participants à cette réunion ont aussi estimé qu’il fallait prendre des dispositions pour permettre à ces immigrés de pratiquer la religion de leur choix. Ce qui promet de nombreuses nouvelles constructions de mosquées…
A aucun moment, il n’a été question de préserver les racines chrétiennes de l’Europe. Mais ceci n’étonnera personne.
Tout cela se fait évidemment sans que les parents puissent s'y opposer...
Bien entendu, cela tournera autour de témoignages d'enfants afin de faire larmoyer les élèves en passant sous silence que la grande majorité des migrants sont des hommes qui viennent en Europe pour des raisons économiques ou des femmes enceintes qui seront à notre charge, leur enfant leur permettant de ne pas se faire expulser tout en faisant passer à la caisse l'autochtone pour les besoins de leurs progénitures. Un mensonge qui sera ainsi propagé directement dans les établissements publics sous couvert de l'étiquette valorisante d'ONG.
"D'ici quinze jours, les trois animateurs de Terre des hommes qui organisent ces ateliers auront visité soixante établissements scolaires dans tout le pays."
« Ces histoires de prières de rue, je ne sais pas comment ça va finir. Les gens sont tellement exaspérés que ça peut péter à tout moment : certains parlent de descendre avec leur carabine. » Ainsi s’exprime auprès de l’AFP le directeur de cabinet du maire UDI de Lagny-sur-Marne, une ville de 20 000 habitants en Seine-et-Marne, à proximité de Disneyland.
L’Agence France Presse consacre une large dépêche aux tensions qui montent à Lagny un an après la fermeture de la mosquée radicale dans le cadre de l’état d’urgence. Vingt-deux interdictions de sortie du territoire et neuf assignations à résidence d’« individus radicalisés » avaient été prononcées. Depuis, les musulmans prient « entre l’école maternelle et une pizzeria », et les « radicaux » sont toujours là :
« Parmi les prieurs, certains ont des dossiers chargés. Assigné à résidence depuis le début de l’état d’urgence décrété après les attentats du 13 novembre 2015, l’un d’eux, qui demande l’anonymat, a purgé deux mois ferme cet été pour avoir dérogé au triple pointage quotidien au commissariat. […] Des « notes blanches » des services de renseignement, consultées par l’AFP, présentent ce jeune homme de 31 ans comme « un militant projihadiste » […] Selon ces documents, le jeune assigné à résidence a été arrêté à la même période à la frontière hongroise, alors qu’il tentait de rejoindre la zone irako-syrienne. »
L’AFP rapporte également que, « en septembre, une violente altercation a éclaté entre une personne âgée et un fidèle de la mosquée fiché S. Au coeur du différend : une remarque sur le voile intégral (niqab) de la compagne de ce dernier ».
Le jeune homme de 27 ans, « dont le nom apparaît aussi dans le dossier de l’attentat contre une épicerie casher à Sarcelles en 2012, a écopé de six mois de prison pour avoir frappé le vieil homme, selon une source judiciaire. Dans un souci d’apaisement et de discrétion, l’affaire a été jugée rapidement, souligne cette source ».
23/11/2016- 07H00 Dublin (Breizh-info.com) – Un nouveau parti, The Irish National Party, a été lancé en Irlande, à Dublin, courant novembre 2016, lors d’une conférence de presse (perturbée par quelques militants antiracistes).
Son leader Justin Barrett, entend notamment interdire totalement l’accès à l’Irlande pour les musulmans. Ce dernier, qui est par ailleurs un militant anti-avortement, mais également un partisan d’une Irlande réunifiée, a déclaré : « nous avons besoin de contrôler chaque personne qui vient dans notre pays. La plupart d’entre eux, sur un simple coup d’oeil, vous pouvez savoir si ils sont menaçants ou pas » a-t-il déclaré.
Justin Barrett souhaite instaurer les contrôles au faciès, pour protéger la population irlandaise. « C’est quelque chose que la police utilise dans le monde entier pour assurer la loi et l’ordre. Les libéraux condamnent cela, mais l’absence de contrôle en France a provoqué des meurtres et du chaos (…). Tout le monde est inquiet. Nous essayons de sauver des vies. Les familles qui ont perdu des êtres chers en France sont traumatisées. Les contrôles au faciès protègent la population » a-t-il déclaré dans des propos rapportés par le Irish Times.
Justin Barret a par ailleurs annoncé que le National Party présenterait des candidats lors des prochaines élections en Irlande, et que son parti s’opposait au mariage homosexuel, mais pas aux homosexuels ; « ce qui se passe dans la vie privée des gens entre deux adultes consentants ne regarde personne, mais le mariage pour tous est lui du domaine de la sphère publique ».
Par ailleurs le National Party – qui entend expulser de nombreux immigrés d’Irlande en cas d’arrivée au pouvoir – dénonce également la dictature de l’Union Européenne, et dénonce l’ascension du multiculturalisme dans la société irlandaise. Lors de l’interview qu’il a donné à une radio irlandaise, il s’en est également pris à l’immigration d’Europe de l’Est, y compris celle de l’Union Européenne.
Le président du nouveau parti – qui n’a jusqu’ici pas d’équivalent dans l’histoire de l’Irlande – a par ailleurs expliqué être financé par des donateurs, et avoir récolté plusieurs dizaines de milliers d’euros pour le lancement, tout en refusant de donner un nombre d’adhérents ; selon la presse irlandaise le National party ne regrouperait que quelques dizaines d’adhérents pour le moment.
Irish National Party ne possède à l’heure actuelle ni site Internet, ni page Facebook, et a vu un de ses meetings d’information annulé par le Merrion Hôtel de Dublin, qui devait l’accueillir.
Son lancement alors que Donald Trump vient de remporter la présidentielle américaine, que M. Hofer est en passe de gagner en Autriche, ou encore que le Brexit a été voté au Royaume-Uni pourrait toutefois contribuer à une ascension significative du parti dans les prochains mois.
Justin Barret avait disparu de la vie politique irlandaise depuis le début des années 2000, alors qu’il menait à l’époque campagne contre l’avortement en 2002 (référendum). Coup de communication ou réelle volonté de construire un mouvement politique nationaliste et conservateur en Irlande ? Réponse dans quelques mois …