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dimanche, 27 novembre 2016

150 policiers "libres et indépendants" manifestent à Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 27 novembre 2016

Par VA. Publié le

A l'appel du "Collectif libre et indépendant de la police" (Clip 31), qui a déposé ses statuts vendredi à la préfecture de Haute-Garonne, environ 150 policiers ont défilé, en dehors d'une attache syndicale, samedi dans les rues de Toulouse. Pour dénoncer notamment le "manque d'effectifs".

© Jean-Pierre Duntze/France 3 Midi-Pyrénées

© Jean-Pierre Duntze/France 3 Midi-Pyrénées

 
La manifestation des policiers en images

Ils rejettent les syndicats de police, dont ils dénoncent "la collusion avec le pouvoir", réclament  "des effectifs suffisants à Toulouse" et regrettent "la déconnection de la hierarchie avec le terrain". A l'appel du "Collectif libre et indépendant de la police" (Clip), environ 150 policiers ont manifesté samedi après-midi dans les rues de Toulouse entre Saint Cyprien et le Monument aux Morts.
© Jean-Pierre Duntze/France 3 Midi-Pyrénées

© Jean-Pierre Duntze/France 3 Midi-Pyrénées


Dans le cortège, nombre véhicules de police et des motards venus "certains pour encadrer la manifestation, d'autres pour la soutenir". 
Une manifestation de policiers "très encadrée" © Jean-Pierre Duntze/France 3 Midi-Pyrénées

© Jean-Pierre Duntze/France 3 Midi-Pyrénées Une manifestation de policiers "très encadrée"


Le Clip, dont les statuts ont été déposés vendredi à la préfecture de la Haute-Garonne, entendait ainsi attirer l'attention sur le "manque d'effectifs policiers à Toulouse". "Il vaudrait mieux en réaffecter un certain nombre dans leurs fonctions premières, sur le terrain, plutôt que de faire des statistiques", explique un parte-parole. Lequel s'en prend également aux syndicalistes décrits comme ayant "les carrières les plus fulgurantes" et "faisant la loi" en matière d'avancement et de mutations. Enfin, le Clip 31 dénonce une hiérarchie "complètement déconnectée du terrain". "Vous pouvez arriver commissaire à 25 ans dans la police et commander 500 ou 1000 hommes sans jamais avoir fait de terrain", regrette l'un de ses porte-parole.
50 policiers en colère manifestent à Toulouse

150 policiers ont manifesté samedi après-midi à Toulouse pour exprimer leur "colère", plus d'un mois après le début d'un mouvement de grogne au sein de la police. Ils dénoncent notamment le manque d'effectifs et la "déconnexion" de leur hiérarchie avec le terrain.


Le mouvement de grogne des policiers, qui avait démarré le 17 octobre sur les Champs-Élysées après l'attaque le 8 octobre de quatre policiers au cocktail Molotov à Viry-Châtillon (Essonne), s'est essoufflé à partir de la mi-novembre.

Le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a annoncé une enveloppe de 250 millions d'euros notamment pour de nouveaux matériels et véhicules, et promis un texte législatif fin novembre sur la légitime défense des policiers.

Cependant, des manifestations continuent d'avoir lieu à travers la France. Deux cents personnes se sont ainsi mobilisées jeudi soir devant le commissariat de Chambéry. Ils étaient également jeudi 200 à défiler à Paris entre la Concorde et l'Arc de Triomphe.
 

Disparition • Castro : Paix au mort, mais ...

Publié par Guy Jovelin le 27 novembre 2016

 

 Mais on ne pleurera pas la disparition du féroce dictateur révolutionnaire marxiste-léniniste

• Hydre de Lerne : dans la mythologie grecque, monstre affreux possédant plusieurs têtes (dont une immortelle) qui se régénèrent doublement lorsqu'elles sont tranchées ; l'haleine soufflée par les multiples gueules du monstre exhale un dangereux poison, même lorsqu'il dort...

Ainsi donc l'un des derniers représentants de ce monstre que fut la révolution marxiste-léniniste - héritière de la révolution française de 1789 - l'une des dernières « lumières » (!) révolutionnaires historiques vient de s'éteindre. Comme l'aurait dit Viviani, « une étoile qui ne se rallumera plus » !... Pour les croyants, il passe maintenant devant le tribunal de ce Dieu que les révolutionnaires ont déclaré mort, ou non existant ; pour les autres, il est retourné au néant froid, glacé, métallique, seule fin qui nous est promise : « à la fin, c'est toujours la mort qui gagne », disait Staline... Qui avait été séminariste, comme les frères Castro furent élèves des écoles catholiques.

Castro, comme tous les autres révolutionnaires marxistes-léninistes du monde entier est fils de la Révolution française, de Robespierre, de la Convention et de sa Terreur, matrice de tous les Goulags et Lao Gai, Securitate et Stasi, dictateurs sanguinaires comme Pol Pot, Ho Chi Minh, Mao Zedong, Ceaucescu. 

Sans compter la sinistre épuration confiée au sinistre Che Guevara.

 

Source : lafautearousseau

samedi, 26 novembre 2016

Fidel Castro est mort

Publié par Guy Jovelin le 26 novembre 2016

  1. Fidel Castro est mort: nous ne sommes pas en deuil et nous rendons hommage aux innombrables victimes du communisme international.

Hérault : 250 policiers enquêteurs demandent le retrait de leur habilitation

Publié par Guy Jovelin le 26 novembre 2016

YANICK PHILIPPONNAT

Hérault : 250 policiers enquêteurs demandent le retrait de leur habilitation
Les policiers de l'Hérault sont en colère contre la nouvelle loi permettant à un gardé à vue de s'entretenir avec une personne extérieure.
PHOTO D'ILLUSTRATION / PIERRE SALIBA
 
Ils dénoncent la nouvelle loi permettant aux gardés à vue de bénéficier de 30 minutes d'entretien avec une personne extérieure avant l'interrogatoire.

Selon nos informations, un collectif de policiers enquêteurs a adressé un rapport de demande de retrait de l'habilitation d'OPJ (officier de police judiciaire) de 250 agents au procureur général près la cour d'appel de Montpellier, jeudi 24 novembre après-midi.

Ce mouvement inédit de policiers en colère s'est structuré dans l'Hérault où il toucherait 75 % des OPJ (qui permet notamment de placer des suspects en garde à vue), provenant des services d'investigation comme les sûreté urbaine départementale, la Paf (police aux frontières) et le SRPJ.

Et cette colère se propage vitesse "Grand V" partout en France, dans le Gard, les P-O, Lyon ou Versailles. Il est à mettre en parallèle avec les manifestations spontanées des policiers depuis plusieurs semaines contre le manque de moyens et les violences à répétition dont ils sont la cible. Mais la problématique n'est pas la même.

Une loi allant "à l'encontre de l'enquête"

Ces policiers dénoncent les nouvelles conditions de garde à vue mises en place depuis le 15 novembre et la nouvelle loi (de lutte contre le terrorisme et la criminalité et le renforcement des garanties du justiciable), surtout sur un point. Une personne placée en garde à vue possède désormais un nouveau droit : celui de s'entretenir avec un tiers de son choix, par téléphone ou de visu, pendant 30 minutes, avant l'interrogatoire.

Certes sous la surveillance de l'OPJ qui doit également donner son aval. "Si évidemment, nous ne contestons pas les garanties de la défense dans un état de droit, nous pensons que certaines des dernières dispositions législatives vont à l'encontre de l'enquête et de l'intérêt des victimes qui représentent l'unique motivation de notre démarche" explique le collectif dans un communiqué.

Tout en se déclarant "apolitique et asyndical", le collectif précise : "Cette énième évolution de la garde à vue met en péril toutes nos enquêtes. Sachez que depuis le 15/11/2016, un an après les attentats de Paris et alors que la France est en état d'urgence, un terroriste peut s'entretenir avec une personne de son choix pendant une demi-heure". Pour ces enquêteurs, leur travail va encore s'alourdir dans le contexte actuel.

"Le législateur avait promis et prétendu simplifier la procédure. En réalité, celle-ci ne cesse de s'alourdir et de se complexifier par nombre d'écrits et de paperasseries aussi redondants qu'inutiles, risquant d'engendrer toujours plus de vices de procédure et d'aboutir à la remise en liberté des délinquants".

 

Source : midilibre

«Tous dans le même panier» : une commune hongroise interdit burqas, mosquées … et propagande gay

Publié par Guy Jovelin le 26 novembre 2016

 

Dans un message posté sur Facebook, Laszlo Toroczkai, maire d'Asotthalom, un village situé près de la frontière serbe, a souligné les propositions adoptées par son conseil après une séance tenue le 23 novembre.

Tous les membres du conseil ont voté pour le nouveau règlement, deux membres seulement s'étant abstenus. 

«Au lieu de passer son temps à chercher des boucs émissaires, je propose une solution immédiate, à savoir une défense réelle contre la réinstallation massive et forcée de migrants dictée par Bruxelles», a écrit le maire dans son post.

«Aujourd'hui, le conseil du village d'Asotthalom a adopté ma proposition : un ensemble d'actions visant à défendre notre communauté et nos traditions contre tout plan de réinstallation de réfugiés étrangers. Tout ce qu'il faut faire, c'est que les autres municipalités hongroises adoptent notre plan d'action préventive et que tous ensemble nous défendions notre patrie».

Les mesures mises en place par Laszlo Toroczkai incluent l'interdiction de la construction de mosquées et de tout autre lieu de culte qui «affaiblit l'Église catholique», l'interdiction de l'appel traditionnel à la prière du muezzin et l'interdiction de se couvrir le corps, la tête et le visage avec le hijab, le niqab, la burqa, ainsi que le burkini.

Protéger la Hongrie des deux instrus païens : l'invasion migratoire venue du sud et le libéralisme extrême venant de l'ouest

De plus, l'ordonnance interdit toute forme de «propagande publique» mettant en avant l'union de deux personnes de même sexe. Cette interdiction inclut «toute activité publique, performances, démonstrations, panneaux d'affichage, dépliants ou annonces audio».

Selon le maire, ces mesures sont censées protéger la Hongrie des «deux intrus païens», à savoir, les migrants venant du sud et le «libéralisme extrême» venant de l'ouest.

Laszlo Toroczkai  appartient au parti populiste Jobbik, qui se revendique comme étant un protecteur des «valeurs et des intérêts hongrois». Le parti a souvent été accusé de racisme d'antisémitisme et d'homophobie.

«Je veux être un exemple pour d'autres autorités locales pionnières sur la façon de se protéger de l'invasion extérieure ou de toute autre intention subversive», a-t-il déclaré à la réunion du conseil, cité par le média delmagyar.hu.

Le maire d'Asotthalom est également le leader du «Mouvement des Jeunes des Soixante-Quatre Pays», un groupe nationaliste qui cherche à récupérer des terres qui auraient historiquement appartenu à la Hongrie dans le passé. Il est également connu pour sa rhétorique anti-réfugiés. En septembre 2015, il avait tourné une vidéo dans laquelle il était entouré de gros bras menaçants et montrant des hommes en treillis poursuivre des migrants illégaux à moto, en hélicoptère et même à cheval.  

La Hongrie est l'un des pays européens les plus hostiles à la vague migratoire venue d'Afrique et du Moyen-Orient, ainsi qu'aux demandeurs d'asile. Lors d'un référendum tenu en octobre et proposé par le président Viktor Orban, 98,3% des électeurs hongrois ont rejeté la politique de quotas obligatoires d'accueil de demandeurs d'asile mis en place par l'Union européenne. 
Cependant, le référendum n'a pas réussi à atteindre le taux de participation requis de 50%, en partie à cause d'un boycott de l'opposition.

Orban lui-même a fait un certain nombre de remarques sur le sujet, suggérant notamment que tous les réfugiés arrivés illégalement en Hongrie soient déportés dans des camps sur une île ou au large des côtes de l'Afrique.

 

Source : lesobservateurs