Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 07 octobre 2015

Aveyron : FDSEA - pouvoirs publics : situation toujours tendue

Une banderole «FCO plan d'urgence : mais où est l'État ?» a été accrochée au mur de la préfecture./DDM, R.G.

La scène constituée, lundi soir, par la présence de trois bovins parqués devant l'entrée du conseil départemental a dû susciter, chez les rares passants cheminant place Charles-de-Gaulle, une certaine incompréhension, et chez les trois bêtes, une incompréhension certaine. Dans l'optique de leur rencontre avec des représentants des pouvoirs publics, les quelque deux cents agriculteurs qui se sont réunis à Rodez, à l'appel de la FDSEA, avaient en effet choisi d'apporter du poids à leurs arguments qui, selon eux, ne sont pas véritablement entendus.


«Il faut que l'État prenne le coût de la vaccination en charge si elle devient obligatoire. Les éleveurs ne doivent pas être les seuls à payer les pots cassés», a ajouté Valérie Imbert, présidente de la section bovine.
«Nous avons vécu un été de folie, avec des problèmes de trésorerie, un autre lié à la sécheresse, qui a eu un impact sur les quantités de fourrage, et maintenant, c'est la FCO (fièvre catarrhale ovine) qui nous tombe dessus, a déclaré, micro en main, Dominique Fayel, président de la FDSEA. Ce n'est plus possible, on ne tiendra plus, et les campagnes ne pourront pas encaisser ces coups durs plus longtemps. Le ministère a annoncé des mesures mais l'administration freine pour les appliquer. Les pouvoirs publics feraient bien de faire attention.»

«Pas rassuré»

Au travers de la rencontre qui s'est tenue de 21 h 45 à 23 h dans les locaux de la préfecture, les représentants du monde agricole ont exposé l'objet de leur courroux aux différents participants : directions des services vétérinaires, fiscaux et de ceux de la préfecture, ainsi que la direction départementale du territoire et son homologue de la cohésion sociale et de la protection des populations. à la sortie, leur sentiment était plus que mitigé.

«Il n'y a pas de nouveau protocole par rapport à la FCO, a indiqué Dominique Fayel. Les infos que l'on nous a données n'ont pas évolué. Pour ce qui est de l'exportation des broutards, l'Italie n'a pas signé d'accord, la situation est floue avec l'Algérie et en ce qui concerne la Turquie, on ne sait pas. Or, on connaît l'importance du marché turc dans le maintien du prix des bêtes. Sans lui, on sait que l'Italie les aurait baissés. Nous avons insisté pour que les choses aillent vite car plus on va attendre, plus il y aura de dégâts. Les échanges doivent redémarrer le plus vite possible mais je n'ai pas été rassuré par ce que j'ai entendu.»

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/07/2192198-fdsea-...

dimanche, 30 août 2015

Fête de l'ail à Cadours (31)

Publié par Guy Jovelin le 30 août  2015

Aujourd’hui dernier Week-end d’août c’est la fête de l’ail violet de Cadours (mon canton).

Lors de cette fête, les producteurs (trices) d’ail violet débordent d’imagination pour créer de véritables chefs-d’œuvre entièrement constitués d’ail. Cette manifestation fait l’unanimité dans Midi-Pyrénées présentant l’ail violet de Cadours comme un évènement incontournable de la région.
Cet ail violet de Cadours d’une saveur exceptionnelle n’est pas le fruit du hasard, mais du savoir faire de nos agriculteurs, de leur abnégation, de leur sueur et de l’amour pour cette terre.
Il est temps de faire comprendre à tous les Français, qu’il se trouve dans nos régions des richesses du terroir à ne pas ignorer et que le devenir de notre agriculture est nécessaire téléchargement (1).jpgpour notre futur.téléchargement.jpgimages.jpgimages (3).jpg

 

images (2).jpg

images (1).jpg

mercredi, 29 juillet 2015

Les paysans français rétablissent une forme de protectionnisme

 Publié par Guy Jovelin le 29 juillet 2015

Alors que nos agriculteurs sont minés par la concurrence tarifaire des concurrents européens, aucun politique français n’a parlé de protectionnisme. C’est pourtant tout naturellement que les paysans ont mis en place des barrages filtrants aux frontières espagnoles et allemandes.

 

Source : http://www.contre-info.com/

mardi, 21 juillet 2015

Le prix de la bêtise

Publié par Guy Jovelin le 21 juillet 2015

2589545471.jpg

Le billet de

Patrick Parment

Les agriculteurs français sont furieux, et pour cause, leur train de vie ne cesse de fondre comme neige au soleil et certains sont même en mode survie. Hier encore, grâce aux aides européennes, ils arrivaient à s’en sortir. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. 

Et, il est vrai qu’il n’est pas normal qu’un éleveur ou un producteur ne gagne pas décemment sa vie quand les branleurs qui tapotent sur un ordinateur branché sur les marchés financiers se goinfrent de bénéfices exorbitants. 

Le problème est que l’Europe, comme nous venons de le voir avec la Grèce, est une construction financière, monétaire et non charnelle qui n’en a rien à foutre des peuples et des économies locales. 

Comble de la bêtise, c’est cette même Europe, la France de Hollande en particulier,  qui a décidé un embargo contre la Russie pour complaire à Washington. Comble de l’ironie, cet embargo se retourne contre les européens et pénalise nos paysans qui voient débarquer, par exemple, du porc allemand destiné à l’origine à la Russie, à prix cassés, sur le marché français, pour la plus grande joie de la grande distribution française. Nos paysans sont pénalisés de tous les côtés de la chaîne. En un mot, on a ajouté de la crise à la crise. 

On aimerait savoir si, un jour, nous aurons, pauvres de nous, des politiques à la hauteur, moins stupides, pour rester poli, que les branquignols qui, du haut de leur incompétence, nous gouvernent. Et c’est ainsi qu’Allah est grand !

10:50 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent 

jeudi, 06 novembre 2014

LES AGRICULTEURS DÉVERSENT LEUR COLÈRE

Publié par Guy Jovelin

 
Les agriculteurs déversent leur colère
Lire la suite