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samedi, 15 octobre 2016

Albi (81) : 2 policiers blessés, «Ici vous êtes sur une terre d’Allah. C’est pas des mécréants qui vont nous dicter leur loi»

Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2016

Par le 14/10/2016 
 

14/10/2016

Deux policiers en tenue du commissariat d’Albi ont été blessés lors d’une interpellation, dans la soirée de mercredi, quartier de Rayssac à Albi.

[...] «Ici vous êtes sur une terre d’Allah. C’est pas des mécréants qui vont nous dicter leur loi… Je vais te tuer, toi et ta famille» Ces propos, cités dans le rapport des policiers, auraient précédé une confrontation physique avec l’un des jeunes, auteur d’un coup de poing dans la figure d’un policier, avant d’être maîtrisé et plaqué au sol. Un deuxième jeune, interpellé dans la foulée, aurait cravaté le policier pour tenter de lui faire lâcher prise.

Pour les témoins au contraire, le policier volontaire pour le «tête à tête», aurait violemment poussé le jeune homme contre le mur du hall. La réaction n’a pas traîné, il a pris son poing dans la figure. Trois ou quatre de ses collègues, en tenue et en civil, venus à sa rescousse, auraient violemment plaqué le jeune boxeur au sol. Que s’est-il passé alors, pour que ce dernier se retrouve gravement blessé au visage, avec un enfoncement du plateau orbital qui nécessitera une opération ? L’enquête devra le préciser. Le «cravateur», lui aussi placé en garde à vue, soutient qu’il s’est simplement interposé pour calmer le jeu. Un rôle minime qui pourrait expliquer l’absence de blessure. Pendant leur garde à vue les deux jeunes n’ont reconnu ni la version des policiers, ni, en dehors d’insultes, les propos à caractère religieux dont ils les accusent. à ce point de l’enquête, hier le parquet n’a pas demandé leur comparution. Ils ont été laissés libres vers 18 h. [...]

La Dépêche


13/10/2016

Deux policiers ont été agressés et blessés (à la main pour l’un et au visage pour l’autre) dans la soirée du mercredi 12 octobre vers 21 heures lors d’un contrôle dans un hall d’immeuble à Albi.

Un des fonctionnaires a été menacé de mort, ainsi que sa famille, dénoncent les syndicats « Alliance » et « SGP Police ». Deux hommes ont été interpellés après cet incident qui se produit dans un contexte tendu.

Lundi 10 octobre, à l’appel de leurs syndicats, les policiers se sont rassemblés dans toute la France devant les commissariats pour réclamer des moyens supplémentaires.

Il manquerait selon eux près de 60 fonctionnaires de police dans le Tarn. « Nous constatons encore une fois, dans notre département dit tranquille que nos collègues sont pris à partie alors qu’ils venaient juste faire leur travail après un appel sur le 17″, souligne le syndicat « SGP police »

La Dépêche

 

Source : fdesouche

mercredi, 25 février 2015

Albi : après l'institutrice tuée, la directrice de l'école menacée de mort

Publié par Guy Jovelin

Un père de famille a été placé en garde à vue mardi après-midi au commissariat d'Albi (Tarn). Il est suspecté d'avoir proféré des menaces de...
LEPARISIEN.FR

mercredi, 09 juillet 2014

Assassinat d’Albi, de qui se moque le gouvernement ?

Publié par Guy Jovelin

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Gérard Hardy Vice Président du RPF

Boulevard Voltaire cliquez ici

Abominable, absurde assassinat de l’institutrice du Tarn. Acte inqualifiable. Chacun en conviendra. Derrière les faits odieux, deux phénomènes se rappellent au bon sens commun et aux objectives observations, la banalisation de l’homicide et bien sûr, désolé d’y revenir, l’immigration de masse et la complicité médiatico-politique qui l’accompagne…

Jamais depuis des siècles, on a autant assassiné pour rien. Pas une semaine sans un meurtre gratuit. En France, on assassine pour une cigarette, parfois pour un regard. A Albi, la mère tueuse aurait dit à l’enseignante : « Tu as mal parlé à mon enfant ! » avant de la poignarder.

Absence de morale. Qu’a-t-on fait du sixième commandement ? Tu ne tueras point. La devise est trop chrétienne pour qu’on s’en rappelle dans une société décérébrée, déracinée et déculturée. De l’avortement banalisé à l’euthanasie pour tous en passant par le meurtre impuni, ou presque. La culture de mort règne à tous les étages.

Après le meurtre de l’enseignante, les réactions officielles furent terribles de médiocrité. Benoît Hamon, ministre de l’Education nationale s’est perdu près d’un quart d’heure dans une déclaration d’une exceptionnelle nullité, se réfugiant derrière les mots, des mots vidés de leur sens à force d’en user et d’en abuser, école de la République, valeurs de la République, éducation de la République…

Que pouvait-on espérer de plus de la part de ceux-là mêmes qui d’une façon ou d’une autre se partagent depuis quatre décennies la responsabilité de la terrible situation du pays. L’embarras grandit lorsqu’il s’agit d’évoquer l’auteur de l’assassinat d’Albi. Une déséquilibrée nous dit-on, comme si tuer une institutrice pouvait être un acte intelligent ! L’expertise a conclu à l’existence de « troubles mentaux sévères sous forme d’idées délirantes de persécution ».

La tueuse au poignard est alors espagnole. La France s’émeut, l’information devient difficile à contenir. Pour finir, la mère meurtrière est marocaine et connue des services. Halte au feu, n’en dites pas plus, les français vont encore mal voter ! Qu’importe qu’elle se prénomme Rachida, rebaptisez-la Joséphine ! On connaît le procédé…

En dernier recours, le gouvernement va réagir, peut-être prendra-t-il des mesures pour vérifier qui entre chez nous pour scolariser ses enfants, ou alors mettra-t-il les « déséquilibrés » hors d’état de nuire ? Peut-être le gouvernement a-t-il entendu la souffrance et les vœux des français ?

Pensez-vous, la seule réponse dans un pays aux ordres des dogmes du siècle dernier, aura été de régulariser une famille de sans-papiers dont les cinq enfants étaient scolarisés dans l’école d’Albi, en hommage à la victime. Les bras m’en tombent…

Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/

dimanche, 06 juillet 2014

Albi : une institutrice française assassinée devant ses élèves par une dénommée Rachida

Publié par Guy Jovelin

Une institutrice a été poignardée à mort en pleine classe à l’école Édouard Herriot d’Albi vendredi. La victime s’occupait de ses élèves de dernière année de maternelle, pour leur dernier jour de classe de l’année. Une certaine Rachida, mère d’une élève, a pénétré dans l’établissement, situé dans un quartier envahi de la ville, et, devant les jeunes enfants, a porté un coup de couteau mortel à l’enseignante. Fabienne Terral, mère de deux jeunes enfants, est décédée peu après l’arrivée des secours.

La meurtrière aurait des antécédents psychiatriques lourds ; malgré une hospitalisation en établissement psychiatrique et une enquête pour délaissement de mineur, elle avait pu récupérer la garde de sa fille. Elle a prémédité son acte, apportant avec elle un couteau muni d’une lame de 16 centimètres, après avoir fait connaître son envie d’en « découdre » avec l’institutrice.

Source