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vendredi, 15 février 2019

Polémique : Le gilet jaune Christophe Chalençon affirme que des paramilitaires sont prêts à faire tomber le gouvernement

Publié par Guy Jovelin le 15 février 2019

 
 

Le gilet jaune Christophe Chalençon a accordé une interview à la télévision italienne, dans l’émission Piazzapulita.

Christophe Chalençon, figure du mouvement des gilets jaunes dans le Vaucluse, a affirmé dans une interview pour la télévision italienne, dans l’émission Piazzapulita, que « des paramilitaires étaient prêts à faire tomber le gouvernement ». Il était interrogé notamment sur sa rencontre avec le vice-premier ministre italien Luigi Di Maio, le mardi 5 février à Montargis, et a ajouté, en fin d’entretien et hors caméras, ces propos surprenants. La séquence a néanmoins été enregistrée et diffusée à la télévision.

« Je sais que je risque beaucoup. Je peux me prendre une balle dans la tête à n’importe quel moment. Mais j’irai au bout de mes convictions, parce que s’ils me mettent une balle dans la tête, Macron il sera passé à la guillotine », affirme Christophe Chalençon dans cette vidéo.


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PiazzapulitaLA7
 
@PiazzapulitaLA7

+++Christophe Chalençon a : “Abbiamo dei paramilitari pronti a intervenire perché anche loro vogliono far cadere il governo”+++

Così Christophe Chalençon, uno dei leader dei incontrato da Di Maio e Di Battista in un fuorionda raccolto da @alebucc

 

Christophe Castaner
 
@CCastaner
 

Ainsi donc un des leaders des Gilets Jaunes nous annonce un coup d'Etat militaire...
C'est une comedie à l'italienne ou juste un nouveau délire personnel?

PiazzapulitaLA7
 
@PiazzapulitaLA7
 

+++Christophe Chalençon a #Piazzapulita: “Abbiamo dei paramilitari pronti a intervenire perché anche loro vogliono far cadere il governo”+++

Così Christophe Chalençon, uno dei leader dei #giletgialli incontrato da Di Maio e Di Battista in un fuorionda raccolto da @alebucc

 
Vidéo intégrée
 

Avant de poursuivre:

« On est arrivé à un tel point de confrontation, que s’ils m’abattent, il est mort aussi. Parce que le peuple il rentre dans l’Elysée et il démonte tout (…) On est plusieurs comme ça. S’ils en touchent un, on a des paramilitaires qui sont prêts à intervenir parce qu’ils veulent aussi faire tomber le pouvoir. »

Christophe Chalençon et Luigi Di Maio avaient échangé pendant plus de deux heures avec plusieurs gilets jaunes, provoquant de vives tensions entre Rome et Paris, qui ont abouti au rappel de l’ambassadeur français en Italie pour consultations. Ce jeudi dans une interview au Corriere Della Sera, le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian a précisé que l’ambassadeur serait bientôt de retour à Rome.

Bfmtv via fdesouche

dimanche, 13 janvier 2019

Le gouvernement ne renonce pas à la loi de bioéthique

Publié par Guy Jovelin le 13 janvier 2019

Auteur : Michel Janva micheljanva-lesalonbeige@yahoo.fr

Le gouvernement ne renonce pas à la loi de bioéthique

Alors que le sujet s’annonce tendu :

Le premier ministre, Edouard Philippe, a adressé, jeudi 10 janvier, un courrier à Richard Ferrand et Gérard Larcher, respectivement présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat, en prévision de l’examen à venir du projet de loi de bioéthique, qui doit notamment étendre la procréation médicalement assistée (PMA) aux couples de femmes et aux femmes seules.

« Le temps parlementaire autour du projet de loi va bientôt s’ouvrir, écrit M. Philippe dans ce courrier que Le Monde a pu consulter. Il me semble essentiel que le débat qui va s’engager soit le plus apaisé et le plus respectueux possible, sans pour autant faire taire les divergences de vue. »

En conséquence, le chef du gouvernement souhaite que soit menée « une réflexion commune, de synthèse, associant la diversité des parlementaires de chaque Chambre ». L’exécutif a décidé, « avant de saisir le Parlement officiellement d’un projet de loi », poursuit M. Philippe dans cette lettre, que « des séminaires, animés par les administrations compétentes, se tiendront chaque semaine à partir de fin janvier puis courant février en présence des ministres ».

L’objectif sera de « présenter de façon approfondie à tous les parlementaires qui le souhaitent les principales problématiques qui seront débattues ». Rencontres qui seront organisées dans les ministères concernés par chacun des thèmes. Selon Matignon, le sujet devrait être présenté au conseil des ministres « au premier semestre » 2019.

Après des Etats-Généraux de Bioéthique, qui ont été marqués par un refus massif des Français de créer des orphelins de père, le gouvernement poursuit son projet libertaire.

 

Source : lesalonbeige

mercredi, 02 janvier 2019

Plus de 400 nouveaux radars urbains en 2019 : le Gouvernement se prépare à dépouiller les automobilistes

Publié par Guy Jovelin le 02 janvier 2019

mercredi, 05 décembre 2018

L'argent des Français aux Français ! »

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2018

Ce gouvernement cherche à faire des économies dans les dépenses publiques? Qu'il commence par réduire à zéro le coût social de l'immigration et mette en oeuvre le patriotisme social. L'argent des français aux français!

vendredi, 14 septembre 2018

Les fabuleuses économies du gouvernement Philippe

Publié par Guy Jovelin le 14 septembre 2018

Ah, sapristi de saperlipopette, quelle évolution depuis le mois de juin ! Rappelez-vous, c’était ce mois où, frappé d’une lucidité minutieusement calculée, le président Macron « découvrait » que les dépenses de l’État représentaient « un pognon de dingue » pour, en face, un résultat franchement médiocre…

Après cette fugace prise de conscience, on s’attendait donc à la mise en place de mesures en rapport : allait-on lancer des économies drastiques ? Allait-on auditer les services de l’État et des administrations pour les remettre au niveau de l’argent prélevé ? Allait-on commencer à couper dans les services les moins utiles, les fonctions les plus discutables, les rentes les plus établies et les moins justifiées ? Allait-on se concentrer, enfin, sur l’essentiel et laisser tomber les palettes de superflu ?

Il y avait, on le comprend, mille et une façons de procéder.

Dans ces mille et une façons, insister pour le prélèvement à la source, le Pass Culture ou les limitations à 80 km/h échappe quelque peu à la logique d’ensemble. En revanche, envisager fermement de réduire la voilure considérable de l’État un peu partout dans la vie du citoyen, sur le territoire ou au travers de ses millions de taxes, cerfas et règlements rigolos, cela rentre parfaitement dans ce cadre.

On ne sera dès lors qu’assez peu étonné de lire de temps en temps l’annonce d’une suppression de postes dans l’une ou l’autre administration du Leviathan. Et dernièrement, à la faveur d’un remaniement ministériel écolo-propulsé, on a appris la volonté du chef de l’État de supprimer 1600 postes au ministère des Sports.

Comme de bien entendu, la nouvelle a fait l’effet d’une catastrophe majeure : tout indique, « étude » d’ « économiste » à l’appui, que ce nombre est bien trop élevé, que le ministère ne s’en remettra pas et que le sport, en France, va péricliter dans un petit couic misérable si jamais ces suppressions devaient effectivement avoir lieu.

Parallèlement, c’est avec la même stupeur et la même panique lisible dans les yeux humides de toute la politicaillerie française qu’on découvre qu’est conservé – malgré tout – l’objectif initial de supprimer 120.000 postes de fonctionnaires d’ici la fin du quinquennat de Macron.

Coupes sombres abominables, austérité sans précédent, destruction de nos services publics, privatisation effrénée, « on est à l’os » : aucune expression ne nous sera épargnée pour bien faire comprendre l’ampleur de ce véritable massacre de la fonction publique !

Et quand bien même les uns et les autres s’accordent mollement à dire qu’il faudra pourtant faire des économies quelque part, tant les gabegies, les dettes, déficits et autres dérives comptables s’empilent dans le pays depuis trop longtemps, personne en revanche ne semble prêt à se retrousser les manches pour mettre en place la moindre mesure concrète de réduction des dépenses. Les coupes de personnel, c’est un peu comme les éoliennes : c’est moche, ça fait du bruit et personne n’en veut dans son pré carré.

Du reste, le nombre de 120.000 postes semble gros mais cache pourtant l’essentiel : la fonction publique, en France, c’est plus de 5.4 millions d’individus, soit 1 emploi sur 5 en France (oui, 20%). La suppression, parfaitement hypothétique à ce stade, de 120.000 postes représente un petit 2.2% en quatre ans, ce qui est tout sauf énorme et se traduit essentiellement par un non renouvellement des départs à la retraite. Question douleur, ce sera en réalité fort modéré.

D’autant que les années passées, la masse salariale dépendante de l’État et de ses administrations nationales ou locales n’a pas cessé d’augmenter, et dans des proportions qui font passer ce 2.2% très ponctuel comme une aimable plaisanterie au regard du cumul, années après années : en 1980, l’emploi public ne représente alors que 17,5% de l’emploi total (pour moins de 4 millions d’agents concernés) et il lui a donc fallu grossir pour dépasser les 5 millions et les 20% de l’emploi total.

 

En comparaison, les 1600 postes du ministère des sports ou les 120.000 destinés à disparaître sur les quatre prochaines années paraissent bien timides.

Et ils le resteront : en pratique, il n’est qu’à voir les précautions oratoires déjà utilisées pour tempérer ces ardeurs dégraissantes pour comprendre qu’il y a fort loin de l’objectif affiché à la réalisation concrète : ces réductions ne sont pas « l’alpha et l’omega » de la politique gouvernementale, et puis de toute façon, une majeure partie de ces réductions devraient être opérées par les collectivités territoriales qui – comme c’est commode – ont une certaine liberté d’administration. Ce qui veut dire que pour la partie nationale, rien n’est écrit dans le marbre, et pour la partie locale, attendez-vous à de gros ajustements.

 

En somme, l’État obèse va peut-être faire un effort, mais ce n’est pas dit. Et vous reprendrez bien un peu de dette ?

Apeuré par le départ précipité de Hulot, Macron n’a pas voulu tenter le diable en s’opposant à Philippe et Darmanin au sujet du prélèvement à la source. Tout comme les mesures idiotes sur la limitation à 80 km/h finiront par coûter cher au pouvoir en place, cette « réforme » qui prend de plus en plus tournure en méforme fiscale va provoquer la colère de beaucoup de Français qui pourront tester, en direct, la puissance de l’État informaticien lorsqu’il calcule et ponctionne l’impôt.

Ainsi, plutôt que de vraies réformes de fond (et de fonds), courageuses et profondes, Macron s’est rapidement embourbé dans les bricolages technocratiques propulsés par Philippe, sa clique énarchique et les pesants ronds-de-cuir l’accompagnant (dont Darmanin représente l’archétype frisé). En lieu et place d’une sévère cure d’amaigrissement de l’État, Macron s’est très promptement rangé aux mesures les moins piquantes, les pilules les plus faciles à faire passer. Sabre au clair et monté sur son petit poney électoral, il a vaillamment trottiné les premières semaines de pouvoir, mais s’est épuisé bien vite. À présent, le voilà broutant en rase campagne, déclamant des discours creux croyant que ceux-ci intéressent la prairie autour de lui.

Au bout d’un an, la République qui croule sous les dettes, les déficits, la perte de repères et les abandons de toutes parts est à nouveau orpheline de toute volonté de remettre les choses d’équerre. Les objectifs fixés en début de quinquennat sont tous revus à la baisse les uns après les autres, passant de modestes à humbles et s’approchent maintenant du pusillanime avec une application qui frise la psychiatrie lourde.

De même qu’il n’y a pas davantage de réformes que de simplification de quoi que ce soit, il n’y a pas davantage d’économie et d’austérité que de beurre en broche. La fête continue, sans faiblir.

Dès lors, ce pays est foutu.

 

Source :ndf