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lundi, 20 novembre 2017

Leeds (Angleterre) : une mère de famille de 26 ans, convertie à l’islam, sauvagement assassinée par son mari musulman

Publié par Guy Jovelin le 20 novembre 2017

 
 

Une mère de quatre enfants «interdite» de voir sa famille et ses amis a été massacrée par son mari avant que son corps ne soit jeté dans les bois.

Sinead Wooding, qui s’était convertie à l’Islam, était retournée à l’habillement occidental quand elle a été sauvagement assassinée dans une attaque au couteau et au marteau.

Le corps de la mère de 26 ans a ensuite été entreposé dans une cave pendant deux jours avant d’être transporté dans un bois où il a été incendié.

Elle a été assassiné par son mari Akshar Ali après une dispute.

Le «meilleur ami» du mari, Yasmin Ahmed, a alors aidé à se débarrasser du corps.

Mlle Wooding avait rencontré Ali, qui travaillait sur un étal de nourriture au marché couvert de Leeds, après s’être convertie à la foi islamique et avoir changé son nom en Zakirah.

Ils ont vécu un mariage islamique, mais leur relation était décrite comme «volatile» et parfois violente, selon le tribunal.

Mirror via fdesouche

mercredi, 10 février 2016

Une jeune militante antiraciste sauvagement assassinée par le « migrant » qu’elle hébergeait

Publié par Guy Jovelin le 10 février 2016

9 février 2016 par Admin4 

Une gauchiste américaine vivant à Vienne a été violée et assassinée par un Africain qu’elle avait délibérément caché dans son appartement pour lui éviter d’être renvoyé en Gambie.

L’étudiante américaine, identifiée comme Lauren Mann, faisait partie d’un groupe organisé de gauchistes dédié à fournir un hébergement aux envahisseurs non-blancs menacés d’expulsion.

L’Africain, identifié comme Abdou I., 24 ans, était déjà dans les fichiers de la police après avoir été arrêté pour un précédent crime sexuel. A ce moment, son ADN avait été pris, et cela a fourni l’indice crucial dans l’enquête sur le meurtre de l’étudiante américaine.

La jeune femme, originaire du Colorado, avait donné l’abri au clandestin dans son appartement situé sur la Wiedner Hauptstraße à Vienne, après qu’il a été informé au « centre pour réfugiés » d’Erdberg qu’il serait sujet à expulsion.

Le journal Krone, qui rapporte l’affaire, a révélé que l’étranger était arrivé pour la première fois en Europe en 2012 via l’Italie en franchissant illégalement la mer Méditerranée. Il a fait son chemin jusqu’en Allemagne où il a demandé « l’asile ».

Cependant, avant que sa demande puisse être étudiée, le criminel non-blanc a été arrêté pour un certain nombre de crimes sérieux, dont des vols, des cambriolages, et des agressions sexuelles. Alors qu’il faisait l’objet d’une enquête, il a réussi à fuir en Autriche, où il s’est mêlé aux milliers de « demandeurs d’asile » nouvellement arrivés à Vienne.

Un ami de Lauren Mann a dit au Krone qu’elle avait « un grand coeur pour les pauvres » et « allait souvent aux gares et aux centres d’asile, où elle aidait à distribuer de la nourriture et des couvertures pour les nécessiteux ».

C’était lors de l’une de ces visites qu’elle a rencontré l’Africain, qui lui a dit qu’il était menacé d’expulsion. C’est alors qu’elle a décidé de l’aider, le laissant rester caché de la police dans son appartement. Elle l’a aussi nourri et lui fournissait nourriture, cigarettes et vêtements, indique le journal.

Ce ne fut que le 25 janvier, après qu’elle ne se soit pas présentée à ses activités de routine, que ses amis – qui étaient tous au courant de ses activités, et la soutenaient – commencèrent à être inquiets. Ils ont appelé la police, qui s’est rendu dans son appartement.

Ils ont trouvé la femme de 25 ans visage contre terre, morte sur son lit. Son visage était recouvert d’un pull, et son pantalon avait été descendu jusqu’à ses genoux. Sang et vomis se trouvaient sur le lit et le sol, et des serviettes mouillées, froissées, étaient dispersées dans la salle de bain.

Une autopsie du corps de la femme a révélé qu’elle avait été violée et étouffée à mort. Le sperme a été analysé et relié à l’ADN déjà enregistré de l’envahisseur africain lors de sa précédente arrestation en Allemagne.

Bien qu’il ait fui, la police a été capable de le pister via les données de géolocalisation dans les photographies qu’il continuait de mettre en ligne, et deux semaines plus tard, il a été arrêté dans un « centre d’asile » à Berne, en Suisse.

Source

mercredi, 09 juillet 2014

Assassinat d’Albi, de qui se moque le gouvernement ?

Publié par Guy Jovelin

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Gérard Hardy Vice Président du RPF

Boulevard Voltaire cliquez ici

Abominable, absurde assassinat de l’institutrice du Tarn. Acte inqualifiable. Chacun en conviendra. Derrière les faits odieux, deux phénomènes se rappellent au bon sens commun et aux objectives observations, la banalisation de l’homicide et bien sûr, désolé d’y revenir, l’immigration de masse et la complicité médiatico-politique qui l’accompagne…

Jamais depuis des siècles, on a autant assassiné pour rien. Pas une semaine sans un meurtre gratuit. En France, on assassine pour une cigarette, parfois pour un regard. A Albi, la mère tueuse aurait dit à l’enseignante : « Tu as mal parlé à mon enfant ! » avant de la poignarder.

Absence de morale. Qu’a-t-on fait du sixième commandement ? Tu ne tueras point. La devise est trop chrétienne pour qu’on s’en rappelle dans une société décérébrée, déracinée et déculturée. De l’avortement banalisé à l’euthanasie pour tous en passant par le meurtre impuni, ou presque. La culture de mort règne à tous les étages.

Après le meurtre de l’enseignante, les réactions officielles furent terribles de médiocrité. Benoît Hamon, ministre de l’Education nationale s’est perdu près d’un quart d’heure dans une déclaration d’une exceptionnelle nullité, se réfugiant derrière les mots, des mots vidés de leur sens à force d’en user et d’en abuser, école de la République, valeurs de la République, éducation de la République…

Que pouvait-on espérer de plus de la part de ceux-là mêmes qui d’une façon ou d’une autre se partagent depuis quatre décennies la responsabilité de la terrible situation du pays. L’embarras grandit lorsqu’il s’agit d’évoquer l’auteur de l’assassinat d’Albi. Une déséquilibrée nous dit-on, comme si tuer une institutrice pouvait être un acte intelligent ! L’expertise a conclu à l’existence de « troubles mentaux sévères sous forme d’idées délirantes de persécution ».

La tueuse au poignard est alors espagnole. La France s’émeut, l’information devient difficile à contenir. Pour finir, la mère meurtrière est marocaine et connue des services. Halte au feu, n’en dites pas plus, les français vont encore mal voter ! Qu’importe qu’elle se prénomme Rachida, rebaptisez-la Joséphine ! On connaît le procédé…

En dernier recours, le gouvernement va réagir, peut-être prendra-t-il des mesures pour vérifier qui entre chez nous pour scolariser ses enfants, ou alors mettra-t-il les « déséquilibrés » hors d’état de nuire ? Peut-être le gouvernement a-t-il entendu la souffrance et les vœux des français ?

Pensez-vous, la seule réponse dans un pays aux ordres des dogmes du siècle dernier, aura été de régulariser une famille de sans-papiers dont les cinq enfants étaient scolarisés dans l’école d’Albi, en hommage à la victime. Les bras m’en tombent…

Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/