Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 02 novembre 2018

Une pensée profonde pour tous nos morts laissés en Algérie

Publié par Guy Jovelin le 02 novembre 2018

45225026_2175780582748020_4174345368579866624_n.jpg

jeudi, 20 septembre 2018

Torture en Algérie et discours moralisateurs

Publié par Guy Jovelin le 20 septembre 2018

 
POSTÉ LE 18 SEPTEMBRE , 2018

algérie,discours moralisateur,torture

M. Macron vient de trouver une nouvelle occasion de fustiger son propre pays.

Qu’avait-il besoin, sinon pour sa « com » et pour tenter de séduire la gauche, de ressortir cette affaire Audin vieille de plus de 60 ans ?

M. Audin fut un soutien actif de la rébellion FLN, donc un traître comme il y en eut trop, hélas – dont beaucoup, il faut le dire, ont retrouvé plus tard une vie normale, quand, par hasard, leurs hauts faits d’armes contre nous n’étaient pas encensés par tout ce qui était politiquement correct. La république n’est vraiment pas rancunière !

En regard, je pense aux nombreuses victimes des abominations perpétrées par le FLN et ses complices, avant et après 1962.

Il y a, dans l’islam, une culture du massacre et ce qui se passe maintenant dans tant d’endroits dans le monde (et d’abord chez nous) est la prolongation de cette guerre sans foi ni loi qui nous fut faite alors.

Les méthodes sont les mêmes.

M. Macron va-t-il aussi aller rendre visite aux survivants des familles de soldats français disparus aux mains du FLN, des pieds noirs massacrés, des harkis exterminés par dizaines de milliers sous nos yeux ?

Certainement pas, car ce n’est pas électoralement rentable.

Il ne va pas non plus demander le même mea culpa au gouvernement algérien, auprès de qui il dénonçait, il y a peu, la barbarie du colonisateur français.

Rappelons que c’est un gouvernement socialiste qui a donné l’ordre à l’armée française de débarrasser Alger du terrorisme quotidien qui l’ensanglantait, car la police n’en avait plus les moyens. Ce fut fait.

En guerre, certaines règles du temps de paix n’ont temporairement plus cours. Surtout quand on affronte un ennemi dont la foi commande la barbarie.

Certes, les moyens de se défendre contre la barbarie pouvaient ne pas être « orthodoxes ». Et, bien sûr, comme dans toute situation de guerre, compte tenu des circonstances, la limite entre ce qui est acceptable et ce qui ne l’est pas est floue et subjective.

À ceux que cette idée hérisse, je pose une question : vous avez entre les mains un bandit dont vous savez qu’il détient des informations qui peuvent éviter un carnage d’innocents. Il est muet, sauf pour réclamer un avocat. Que faites-vous ?

Ah ! Que les discours moralisateurs sont aisés, 50 ans après, depuis un fauteuil parisien, avec un verre à la main !

 

Source : les4verites

lundi, 03 septembre 2018

Vigilance en France face au retour du choléra en Algérie

Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2018

Par  le 01/09/2018

 

Le ministère de la Santé incite à la prudence les compagnies aériennes afin de limiter les risques de propagation de la maladie.

Les autorités algériennes ont admis depuis le 23 août qu’une épidémie de choléra avait lieu sur leur territoire, ce qui n’était pas arrivé depuis 1986. Le bilan communiqué fait état de deux décès, de 60 cas confirmés sur les 172 personnes hospitalisées. La contamination viendrait d’une source d’eau dans la région de Tipaza, sans que l’on sache précisément ce qui s’est passé. […]

Sans vouloir froisser son voisin, la France a pris de discrètes mesures. Le ministère des Affaires étrangères a publié sur son site un « conseil aux voyageurs » qui se rendent en Algérie. «Plusieurs cas de choléra ont été diagnostiqués dans le nord et le centre du pays. Dans tous les cas, il est impératif de porter une vigilance particulière aux règles d’hygiène et de sécurité afin de se préserver des contaminations digestives ou de contact», précise le Quai d’Orsay.

De façon plus sensible, le ministère de la Santé hausse son niveau d’alerte. La Direction générale de la santé (DGS) précise que «l’OMS ne conseille ni le dépistage systématique ni la mise en quarantaine pour les voyageurs en provenance des régions touchées par le choléra». Mais pour autant, des consignes précises sont données aux compagnies aériennes : «La DGS a informé la Direction générale de l’aviation civile (DGAC), qui a diffusé une information auprès des compagnies aériennes et des aéroports ayant des liaisons directes avec l’Algérie.» Il leur est précisé que si un patient transporté était pris «de vomissements ou de selles» — mode de contagion de la bactérie — «il était de leur responsabilité de désinfecter l’avion». […]

Le Parisien via fdesouche

mardi, 28 août 2018

Épidémie de choléra en Algérie

Publié par Guy Jovelin le 28 août 2018

 

algérie,choléra,épidémie

L’épidémie de choléra s’étend en Algérie, où deux personnes sont mortes et 46 personnes ont été contaminées depuis début août. Pas de quoi donner envie d’accueillir de nouveaux immigrés algériens en France…

 

 

Source : ndf

vendredi, 08 juin 2018

Préférence nationale : la preuve par l’Algérie !

Publié par Guy Jovelin le 08 juin 2018

Migrants-originaires-Afrique-subsaharienne.jpg

 La chronique de Philippe Randa

« Depuis le début de l’année 2018, une campagne généralisée d’arrestations arbitraires, suivies d’expulsions collectives et massives, a frappé l’ensemble des migrants originaires de l’Afrique subsaharienne se trouvant sur le territoire national », s’indignent les signataires d’un collectif regroupant des ONG, des défenseurs des droits de l’homme, des universitaires et d’autres acteurs de la société civile… La France va-t-elle encore battre sa coulpe ? Hé bien, non ! car le pays incriminé, est… l’Algérie !

Une Algérie où les « étrangers en séjour illégal » ont été dénoncés comme une « source de crime, de drogue et de plusieurs autres fléaux » par l’actuel Premier ministre l’année dernière : il était alors directeur de cabinet du président Bouteflika.

Quant à Ahmed Ouyahia, secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND), il promet de son côté à ses compatriotes qu’« on ne laissera pas le peuple algérien souffrir de l’anarchie. Et, quand on me parle de droits de l’homme, je dis nous sommes souverains chez nous. »

Des discours qui ne seraient pas suivis d’actes ? Bien au contraire : « L’Algérie nous a jetés dans le désert. Là, on a marché 15 km jusqu’à la ville d’Assamakka [au Niger] », témoigne un migrant dans une vidéo diffusée par Radio Canada. Un autre témoignage est encore plus explicite : « Les Algériens nous ont enfermés dans les camions presque trois jours sans nous donner à manger ! »

Du coup, le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme a sommé l’Algérie de « cesser les expulsions collectives de migrants, notamment originaires d’Afrique subsaharienne »… sans succès, car plus de 1 500 migrants auraient encore été expulsés ces derniers temps ; quant à la ville de Maghnia (Tlemcen), envahie par plus 10 000 migrants subsahariens, elle n’en compterait plus qu’une centaine désormais…

L’Algérie aux Algériens ? Chiche !

 

Source : synthesenationale