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lundi, 18 février 2019

ALGERIE : PAPY « BOUTEF » FAIT DE LA RESISTANCE

Publié par Guy Jovelin le 18 février 2019

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Le prochain candidat du FLN à l’élection présidentielle algérienne pour un cinquième mandat, sera  Mr Bouteflika, un « jeune homme » de 81 ans. Quelle nouveauté ! Aux Etats-Unis, le siège de la présidence est la Maison Blanche, en France c’est le Palais de l’Elysée, en Italie c’est le Quirinal et au Venezuela c’est le palais Miraflorès ; en Algérie c’est ….un fauteuil roulant ! Quelle image ce pays donne de lui, à travers un homme cloué sur son siège  par un AVC, un pays pour lequel nos larmes ne sècheront jamais après la trahison de 1958/1962. Un pays où environ 40% de sa jeunesse est sans travail, les fameux « dos aux murs », car les jeunes chômeurs s’appuient aux murs des immeubles  toute la journée…

Un pays que nous avons laissé en parfait ordre de marche, avec des routes, des voies ferrées, des barrages, des hôpitaux, des universités, un pays où nous avons découvert le pétrole et le gaz, richesses quasi-exclusives de l’Algérie du mortifère FLN. Ce parti, au lieu de diversifier ses activités, comme les Emirats-arabes unis par exemple, qui savent eux, que les énergies fossiles auront, à terme, une fin de vie, s’est assis sur sa rente pétrolière. Car il faut le dire et le redire, l’Algérie qui était exportatrice de vin et de céréales à l’époque française, importe sa nourriture, subventionnée par l’Etat pour éviter des émeutes de la faim. Au lieu de s’ouvrir au tourisme, comme le Maroc voisin, et d’offrir aux mondes ses beautés naturelles et archéologiques, il s’est refermé sur lui-même.

Importeront-ils bientôt du sable pour le Sahara ?

Vous verrez, un jour les Algériens importeront du sable pour le Sahara ! L’Algérie, c’est le Venezuela de l’Afrique du Nord, avec une population pauvre qui réclame à la France des visas, et qui est sous la coupe de son armée, comme chez Maduro. Vous me direz, mieux vaut l’armée algérienne, cette fameuse ANP qui tire les ficelles, que les islamistes.

Rappelons-nous la guerre menée par les forces de l’ordre aux terroristes du GIA dans les années 1990, après l’annulation de la victoire électorale du FIS : des dizaines et des dizaines de milliers de victimes. D’ailleurs, en coulisses, on parle pour une future succession du Président Bouteflika si Allah le rappelait à lui, du général Ahmed Saïd Galah, chef d’état-major, qui ne passa pas pour  un tendre. S’entend-il bien avec le frère  du Président, Saïd Bouteflika, un autre tireur de ficelles ? Quelle image ce pays donne-t-il de lui-même dans le monde ? « De temps en temps on le maquille, on le présente bien, on fait trois images qui passent à la télé et c’est tout », s’énerve un algérien dont nous conserverons l’anonymat, parlant de son Président. Le cacochyme octogénaire qui est, en apparence, en apparence seulement, au sommet de l’Etat. Flash back : n’a-t’il pas été soigné en France, ce qui ne l’avait pas empêché de cracher sur notre pays ? D’ailleurs, comme ses nombreux compatriotes également locataires de nos hôpitaux, avait-il réglé à l’époque ses frais d’hospitalisation au Val de Grâce ? Oui, non ? Est-ce un généreux cadeau de cette « bonnasse » République ?

Au pays des heureux « centenaires »

Il faut aussi  se poser  une autre question sur le même sujet, car l’Algérie est un beau pays où l’air est pur, et où les centenaires ne meurent jamais. Demandons à notre CNAV, qui vire là-bas les retraites des anciens travailleurs immigrés retournés finir leurs vieux jours au pays, si elle a des statistiques exactes. (Des vieux jours qui, apparemment, ne cessent jamais !) Il y aurait là des économies à réaliser si la France macronienne se décidait à faire le ménage. Nos agents consulaires ne pourraient-ils pas mener de discrètes enquêtes, pour savoir si les heureux bénéficiaires sont toujours, réellement, de ce monde ? L’Algérie qui comptait au moment de la colonisation française, en 1830, un millions d’habitants, en recense aujourd’hui quarante-deux, une inquiétante multiplication qui devrait nous amener au chiffre de cinquante millions dans dix ans.

Inquiétante, oui, car un nombre important  d’immigrés binationaux vivent déjà chez nous,  grâce au regroupement familial et à un spectaculaire différentiel démographique. Ces citoyens « français », - en tout cas leurs papiers le sont ! -, voteront  ou non, en faveur de « Boutef », amical diminutif du Président. Les mêmes qui, « en même temps » comme dirait l’autre, penchent en faveur de ceux qui distribuent aides diverses et subventions en France, essentiellement la gauche mais pas seulement. Pas folles les guêpes ! C’est un autre sujet, mais il y aurait  là aussi, matière à faire le ménage. Car on ne peut pas être à la fois  de Sparte et d’Athènes, de Florence ou de Rome !

Coopérer, malgré tout ce qui nous sépare

Dans l’hypothèse où les islamistes l’emporteraient en Algérie, c’est à une déferlante migratoire insensée vers notre pays à laquelle nous devrions assister. Notre intérêt, même si le cœur n’y est pas, mais pas du tout, c’est de participer dans la mesure de nos moyens, à la stabilité de cet important voisin du sud. Continuer une coopération intéressée. Démocratie ou pas, si nous voulons éviter, à terme, que des millions d’Algériens viennent gonfler les effectifs musulmans en France, par le biais de la demande d’asile ou du regroupement familial, c’est de soutenir, sans trop y regarder, le gouvernement d’Alger tant qu’il n’est pas aux mains des islamistes.  Certes, il y aurait beaucoup à dire sur l’absence de démocratie, la corruption ou la négation de la minorité berbère. Mais la politique du pire, serait la pire des politiques. Les relations internationales ne sont pas faites pour les « bisounours » : elles reposent sur des faits objectifs, des réalités incontournables, des intérêts bien compris. Même au prix d’une entorse avec la morale. Ça porte un nom : c’est la réalpolitik. C’est à cette vision des choses que, je l’espère, se résoudra le Quai d’Orsay. Même si ça nous arrache le cœur.

 

Jean-Claude ROLINAT 

mercredi, 16 janvier 2019

L’Algérie ne veut plus enterrer nos Franco-Algériens de Marseille !

Publié par Guy Jovelin le 16 janvier 2019

Auteur : Manuel Gomez

L’Algérie refuse à présent de recevoir les dépouilles des Algériens assassinés dans les Bouches-du-Rhône et plus précisément à Marseille.

Trop c’est trop.

Les autorités algériennes en ont fait une demande officielle à l’État français.

L’Algérie ne veut plus des corps de ces Algériens qui sont victimes de règlements de comptes entre gangs qui se disputent le monopole du trafic de stupéfiants.

Depuis 2012 on compte officiellement 137 morts, dont 29 en 2016 (c’est le record pour le moment) et chaque rapatriement de dépouille de l’un de ces trafiquants fait éclater des tensions entre les familles sur le territoire algérien.

Car il faut savoir que ce sont principalement deux familles originaires de l’Est algérien, plus précisément des régions de Khenchela, Menzel, pour l’une, et de Kais pour l’autre, qui se livrent une guerre sans merci dans la région marseillaise et a des prolongements très inquiétants en Algérie.

Les « Remadnia » et les « Tir », soutenus par une autre famille de trafiquants algériens, les Berrebouh, dirigent le trafic de drogue depuis quelques années dans toutes les Bouches-du-Rhône, avec leur siège social dans les quartiers nord de la cité phocéenne et cela dans une relative impunité des services de police qui se contentent de comptabiliser les cadavres.

Ces deux familles s’éliminent physiquement mais elles sont confrontées également à d’autres gangs de ces quartiers nord, celui des « Gitans » et celui des « Blacks », composés également de quelques Algériens dissidents qu’il est nécessaire d’éliminer afin de conserver la suprématie.

Ils sont bien loin les Spirito et Carbone de l’avant-guerre et les frères Guérini de l’après-guerre, il n’y a plus ces noms qui fleuraient bon le « vieux Marseille » : Francis le Belge, Jacky le Mat, Tany Zampa et j’en passe.

Aujourd’hui comment peut-on retenir les patronymes de ceux qui tombent, les Medhi, Karim, Saïd, Farid, etc. souvent « résidents » de ces cités de la Castellane glorifiées quelques années plus tôt par la réussite d’un Zidane ?

Mercredi 9 janvier 2018, c’est un jeune Algérien, âgé de 25 ans, qui a été abattu par balles en pleine rue, devant un garage à Bastille, dans le quartier Saint-Louis. Il était, soi-disant, revendeur de voitures. Sera-t-il inhumé en Algérie ?

L’Algérie réclame depuis des années les crânes des 37 résistants « à la colonisation » (de 1830 à 1962) conservés au Musée de l’Homme, à Paris mais refuse les cadavres des délinquants marseillais, d’origine algérienne.

Il est vrai qu’ils sont bien plus nombreux que ceux des résistants et qu’il y en aura d’autres chaque nouvelle année.

Il est vrai également que si ces criminels binationaux étaient tout simplement expulsés dès leur première condamnation, la question ne se poserait pas car ils retourneraient dans « leur pays » vivants… pour le moment !

Manuel Gomez

 

Source : ripostelaique

samedi, 05 janvier 2019

Migrants-terroristes : « Pas d’amalgame » ? Allez le dire aux Algériens !

Publié par Guy Jovelin le 05 janvier 2019

Migrants-terroristes : « Pas d’amalgame » ?  Allez le dire aux Algériens !

Par Pierre Boisguilbert, journaliste spécialiste des médias et chroniqueur de politique étrangère ♦ C’est un classique de la propagande médiatique pour empêcher toute réaction identitaire face au terrorisme et au radicalisme islamique : « Pas d’amalgame ». Ce beau discours moralisateur n’a apparemment franchi la Méditerranée. L’Algérie, grande donneuse de leçons aux ex-colonisateurs et terre privilégiée de repentance pour le président Macron, n’hésite pas, elle, à lier immigration et terrorisme.

Hacène Kacimi, directeur en charge de la Migration au ministère algérien de l’Intérieur, a annoncé que son pays ne souhaitait plus accueillir de migrants originaires de certains pays arabes, afin de se prémunir contre la menace terroriste. Eh oui, les Arabes se méfient des Arabes quand il s’agit du terrorisme islamique.

Dans un entretien accordé au site d’information Tout Sur l’Algérie (TSA) publié le 2 janvier, M. Kacimi précise donc : « Quand certains migrants commencent à constituer un danger pour la stabilité du pays, l’Algérie doit bouger. L’Algérie fait face aujourd’hui à l’arrivée de migrants de Syrie, du Yémen et de Palestine, empruntant des parcours assurés par des groupes armés. »

Les migrants arabo-musulmans passent par plusieurs pays comme la Turquie, l’Egypte, le Soudan, la Mauritanie, le Mali et le Niger. L’Algérie a déjà fermé sa frontière du sud vers le Mali et le Niger. Pour les Algériens, les migrants sont acheminés par des passeurs qui sont en fait souvent des groupes armés. Et le directeur de la migration, ou plutôt de la contre-migration, d’affirmer qu’en fait, les « réfugiés » sont des terroristes s’infiltrant  sous couverture humanitaire. Le pays voit à terme sa sécurité et stabilité menacées et doit sévir. On ne peut être plus clair.

On se souvient du déchaînement médiatique, quand le président Trump a interdit l’entrée des USA à des ressortissants de pays à haut risque terroriste lié à l’islam. La, alors que ce sont des musulmans qui refusent de recevoir d’autres musulmans membres de l’Oumma, aucune indignation bien sûr.

Le pays du président Bouteflika a déjà refoulé des groupes de Syriens puis les a  abandonnés dans le désert. « Ce refoulement vers la frontière aurait été effectué par bus, avec l’implication des éléments du Croissant rouge algérien. Le groupe qui comprend aussi des Palestiniens et des Yéménites, et dans lequel figurent des femmes et des enfants, notamment une femme enceinte à son neuvième mois, était en rétention dans le centre de Tamanrasset depuis plus de deux mois », accuse le communiqué diffusé sur ce sujet par la Ligue algérienne des droits de l’homme très critiquée par le pouvoir qui le considéré comme une sorte d’idiot utile… pour ne pas dire de porteur de valises !

On comprend bien que la stabilité du pays est une obsession pour ceux qui tiennent véritablement l’Algérie derrière un président diminué sinon agonisant. L’avenir de l’Algérie est une bombe à retardement dont personne ne parle vraiment. Car si l’immigration inquiète à juste titre les Algériens, la perspective d’une future immigration massive algérienne devrait à bon doit préoccuper nos dirigeants.  Après tout, ce sont eux qui nous montrent la voie.

Pierre Boisguilbert
04/01/2019

Source : Correspondance Polémia

Crédit photo : Migrants marchant vers la frontière hongroise – Freedom House [Domaine public] via Flickr

lundi, 10 décembre 2018

Bouteflika signe un protocole autorisant les Algériens à se soigner en France

Publié par Guy Jovelin le 10 décembre 2018

Algérie – Le Président de la République a ratifié, par Décret présidentiel du 17 novembre 2018, le protocole annexé à la convention générale entre le Gouvernement de la République algérienne et celui de la République française, relatif aux soins de santé programmés, dispensés en France aux ressortissants algériens.

« Est ratifié et sera publié au Journal officiel de la République algérienne démocratique et populaire, le protocole annexe à la convention générale entre le Gouvernement de la République algérienne démocratique et populaire et le Gouvernement de la République française sur la sécurité sociale du 1er octobre 1980 relatif aux soins de santé programmés, dispensés en France aux ressortissants algériens assurés sociaux et démunis non assurés sociaux résidant en Algérie, signé à Alger, le 10 avril 2016 », indique le Décret présidentiel paru au Journal officiel n°70.

Ce protocole, auquel le Président de la République vient de donner son accord, a été établi le 10 avril 2016 à Alger et signé par Mohamed El-Ghazi, alors ministre algérien du travail, et Marisol Touraine, ministre française des affaires sociales. La partie française l’a, pour sa part, validée le 2 mars dernier par le biais d’une Loisignée par le Président Emmanuel Macron.

Le protocole annexe à la convention générale vise à « permettre l’octroi en France de soins de santé ne pouvant être dispensés en Algérie aux ressortissants algériens assurés sociaux affiliés à la sécurité sociale algérienne ou démunis non assurés sociaux reconnus comme tels par la législation algérienne, tout en œuvrant pour la promotion de la coopération technique et le transfert de technologies entre les établissements de santé algériens et français ».

Selon l’Article 1er, ce protocole s’applique aux ressortissants algériens résidant en Algérie ayant la qualité « d’assurés sociaux affiliés à un régime algérien de sécurité sociale ou d’ayants droits de ces assurés sociaux ». Il s’applique également aux Algériens « démunis non assurés sociaux » ou ayants droits de ces démunis.

Il est stipulé à l’article 8 de ce protocole que « l’institution compétente algérienne rembourse intégralement les montants des prestations en nature mentionnées dans le présent article, à partir des relevés individuels des dépenses que l’organisme de liaison français lui fait parvenir, accompagnés d’un bordereau récapitulatif semestriel et des comptes rendus médicaux détaillés ».

S’il permet aux Algériens de se soigner en France dans un cadre « plus solide », ce protocole vise surtout à éviter que ne s’accumulent des créances sur les hôpitaux français, comme cela a été le cas dans le passé.

Néanmoins, pour son entrée en vigueur, « chacune des parties notifie à l’autre, par la voie diplomatique, l’accomplissement des procédures constitutionnelles requises, en ce qui la concerne ». Le protocole prend effet le premier jour du deuxième mois suivant la date de réception de la dernière de ces notifications.

 

Source : alg24

vendredi, 30 novembre 2018

L’Algérie déploie 6.000 km de barbelés à sa frontière avec le Maroc

Publié par Guy Jovelin le 30 novembre 2018

Plus de 6.000 kilomètres de barbelés ont été déployés par l’Algérie au niveau de ses frontières avec le Maroc.

Citant des sources algériennes, le journal Al Massae revient dans un long article sur ces installations qui ont débuté il y a plusieurs années déjà. Ainsi, en plus de ces murailles, les autorités algériennes ont également installé plusieurs dizaines de tours de contrôle munies de caméras de surveillance.

Pour protéger ces frontières, les autorités algériennes ont déployé des militaires, des gendarmes ainsi que des gardes-frontières près du Maroc mais aussi aux frontières avec la Tunisie et la Libye, de même que le sud du pays.

(…)

Bladi via fdesouche