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dimanche, 20 septembre 2015

Autriche : des clandestins en grève de la faim pour avoir 2000€ par mois d’argent de poche

 Publié par Guy Jovelin le 20 septembre 2015

Le pire c’est qu’ils pourraient l’obtenir…

clandos Autriche

Source : FDS

mercredi, 27 mai 2015

INÉGALITÉS ET PAUVRETÉ EN FRANCE MAIS OÙ VA L’ARGENT DE NOS IMPÔTS ?

 Publié par Johanna

Inégalités et pauvreté en France mais où va l’argent de nos impôts ?

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samedi, 23 août 2014

Jean Vincent Placé oublieux

Publié par Guy Jovelin

corruption-moraliser-la-vie-publique-solution-jn-

Jean Vincent Placé oublieux

Le Coréen naturalisé français Jean-Vincent Placé entretient vraiment un rapport singulier à l’argent. Ce franc-maçon avait déjà été épinglé pour avoir laissé …

Source :http://jeune-nation.com/2014/08/8530-jean-vincent-place-o...

dimanche, 03 août 2014

Paul Singer : une ordure capitaliste et homosexualiste

2 août 2014 par Pierrot

Qui est Paul Singer ? C’est le patron de NML Capital qui est une filiale du fonds d’investissement Elliott Management Corporation enregistré dans les îles Caïman. Ce sont les fameux « fonds vautours » qui ont mis l’Argentine en défaut de paiement partiel et qui s’attaque à l’Espagne.

Qu’est ce qu’un fond vautour ?

« Les fonds vautours se font de l’argent en spéculant sur les pays en difficultés, comme en Argentine durant la crise de 2001. Ils achètent alors des bons de la dette à bon prix avant d’en exiger, le moment opportun, le remboursement à un prix élevé par voie judiciaire, en y incluant des intérêts de retard et des frais de justice. Ils spéculent ainsi sur la dette publique, en compromettant les dépenses sociales pour la grande majorité de la population. Ces fonds vautours ont choisi le litige après avoir refusé de faire partie des 93% des créanciers qui avaient négocié avec le gouvernement argentin. Et maintenant le juge du district de New-York Thomas Griesa, donne la priorité au paiement aux fonds vautours. Ce qui ouvre la porte à une avalanche de demandes en justice qui pourrait déboucher sur le défaut de paiement de l’Argentine le 30 juillet. (Note de CI : L’Argentine est bien en défaut de paiement partiel aujourd’hui)
Comme le dit bien Julio C. Gambina, « Personne ne sait avec exactitude à combien peut s’élever la demande des créanciers de la dette impayable », mais nous savons que le prix pour le peuple argentin peut être catastrophique. » Source tlaxcala-int.org via LME

 

Paul Singer militant acharné

En plus d’être l’artisan de ce pillage des nations, Paul Singer est un militant inverti fanatique. Il plume les peuples mais il donne des fortunes aux associations homosexualistes.

Merci à Walfroy d’avoir trouvé et traduit ce passage du Wikipédia anglais pour Contre-Info :

 

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lundi, 14 juillet 2014

Les dirigeants de l’UMP ne valent pas mieux que les footballeurs de Knysna ! (par François Falcon)

Publié par Guy Jovelin

 

Aux lendemains d’un mémorable France-Mexique lors de la Coupe du monde de 2010 en Afrique du sud, les Français atterrés apprenaient par la presse que Nicolas Anelka s’était permis de traiter Raymond Domenech de « fils de pute », que l’ambiance au sein de l’équipe était détestable et qu’une bande de caïd faisaient régner son injuste loi dans le centre d’entrainement de Knysna. Les révélations tombant les unes après les autres, d’aucuns s’attendaient à voir le triumvirat mis en cause – Ribery, Evra et Anelka – venir faire amende honorable. Au lieu de cela, le capitaine Patrice Evra se fendit d’une déclaration médiatique dans laquelle il affirmait, parlant de l’auteur des fuites dans la presse : « Le problème, c’est le traître qui est parmi nous. C’est ce traître qu’il faut éliminer du groupe. Nicolas Anelka n’est pas le problème ».

L’épisode provoqua une durable rupture entre la France et cette équipe, perçue comme le symbole de la caste bling-bling aux affaires, mais les observateurs les plus philosophes notèrent qu’il ne s’agissait là que d’une bande d’individus très jeunes et très peu éduqués et que c’est à tort qu’on en faisait l’emblème d’un pays et de sa classe dirigeante. Quatre ans plus tard pourtant, alors même que l’équipe de France s’est un peu rachetée, ce sont les leaders de l’UMP qui s’efforcent de surclasser leurs modèles footballistiques. Depuis l’affaire Bygmalion et l’éviction de Jean-François Copé, les révélations tombent en effet les unes après les autres dans la presse : vacances familiales au frais de l’UMP pour l’un, factures de téléphone à 10.000 euros pour l’autre, voyages en jet ou hélicoptère pour le troisième, salaires mirobolants pour les collaborateurs de l’ex-n°1 etc.

Si toutes ces indélicatesses ne sont pas avérées, on aurait cependant pu s’attendre à ce que le triumvirat qui dirige temporairement le parti fasse amende honorable en reconnaissant par exemple que l’argent des militants et des contribuables n’avait pas toujours été géré avec le sérieux attendu, que ce déballage allait être l’occasion de remettre à plat le fonctionnement du mouvement et que in fine, on allait y gagner en transparence.

Malheureusement pour la France, les caciques de l’UMP ont préféré la méthode Knysna : Alain Juppé s’est empressé de qualifier « d’absolument détestable cette pratique des fuites », Eric Woerth a déclaré à iTélé qu’il « fallait absolument savoir d’où ça vient » et Luc Chatel a lancé une mission d’inspection pour dénicher la taupe tout en faisant savoir à des journalistes que « le coupable allait payer ».

Tout bien considéré, il semble que ce ne soit là que la réplique droitière de l’affaire Cahuzac. A l’époque en effet, les déclarations des dirigeants socialistes ressemblaient étrangement aux commentaires des coureurs du Tour de France lorsqu’un des siens est convaincu de dopage : « Les idiots doivent payer », tel était le leitmotiv. Et l’idiot, lisait-on entre les lignes, ce n’est pas celui qui s’est dopé ou qui possède un compte dans un paradis fiscal, c’est celui qui a avoué ou qui s’était fait prendre la main dans le sac.

Il en est d’autres désormais qui ont le sentiment d’être les idiots et les dindons de la farce : ce sont les citoyens français. Beaucoup se demandent en effet s’ils n’ont pas imprudemment abandonné le pouvoir à des élus dont les considérations éthiques ne paraissent guère différentes de celles d’une équipe de cyclistes ou de footeux gavés de frics. Gageons que l’affaire de la taupe de l’UMP aura des conséquences politiques bien supérieures aux affaire Festina et Knysna.

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