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vendredi, 30 décembre 2016

Un attentat prévu à Toulouse pour le Nouvel An ?

Publié par Guy Jovelin le 30 décembre 2016

 

Etait-ce le traditionnel rassemblement place du Capitole à minuit pour célébrer le passage à la nouvelle année, ou bien un autre lieu proposant des festivités qui auraient été pensé pour commettre un attentat ? C’est en tout cas ce qu’aurait envisagé les trois islamistes présumés arrêtés dans la nuit de lundi à mardi 27 décembre dernier à Toulouse et Cugnaux.

Les trois hommes ont été placés en garde à vue dans le commissariat central de la ville, avant d’être transférés dans la journée de mardi au parquet anti-terroriste de Paris.

Les enquêteurs soupçonnent l’individu arrêté à Cugnaux, âgé d’une trentaine d’années de projeter un attentat sur le sol français le soir du réveillon de la Saint-Sylvestre, selon une source policière. L’AFP précise pour sa part, que l’homme avait déjà été visé par une perquisition administrative, il y a quelques mois.

Dans le quartier du Mirail, deux autres hommes ont été interpellés au même moment. Tous deux ont 42 ans et sont étrangers en situation irrégulières. Ils ont été retrouvé avec des armes factices et une carabine à leur domicile. L’un d’entre eux prévoyait de s’attaquer aux forces de l’ordre.

 

Source : infos-toulouse

jeudi, 15 décembre 2016

Terrorisme : cinq individus préparaient un attentat, trois d'entre eux arrêtés à Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 15 décembre2016

Trois hommes ont été arrêtés, mardi 13 décembre 2016, à Toulouse, dans le cadre d'une vaste opération antiterroriste, concernant cinq personnes soupçonnées de préparer un attentat.

Trois hommes ont été interpellés, mardi 13 décembre, à Toulouse (photo d'illustration : DGPN-SICOP)
Trois hommes ont été interpellés, mardi 13 décembre, à Toulouse (photo d'illustration : DGPN-SICOP)

Les faits se sont produits mardi 13 décembre 2016, dans un quartier sensible de Toulouse. Au petit matin, trois hommes ont été interpellés par une unité de la Direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI), dans le cadre d’une commission rogatoire mandatée par un magistrat du parquet antiterroriste de Paris, alors qu’ils étaient en passe de quitter la France pour partir faire de le jihad, a rapporté La Dépêche.

Ils préparaient un attentat

D’après nos informations, ces trois hommes feraient partie d’un groupe de cinq personnes, suspectées de fomenter un attentat sur le territoire national, et qui auraient toutes été interpellées. Les trois individus ont été placés en garde à vue, mardi, au commissariat central de police, à Toulouse.

 

Source : actu.cotetoulouse

mardi, 13 septembre 2016

Un jeune islamiste de 15 ans qui projetait un attentat arrêté à Paris

Publié par Guy Jovelin le 13 septembre 2016

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Un jeune islamiste de 15 ans qui projetait un attentat arrêté à ParisSon nom : inconnu. Donnée importante car il est occulté naturellement par une grande partie des médias du système qui préfère parler « d’un mineur ». Car évidemment ce prénom doit être musulman, sinon il est évident qu’il aurait été clamé sur tous les toits !

Ce mineur de 15 ans est né en 2000 en France. Sans doute un modèle d’intégration d’une famille qui va « découvrir » une fois de plus cette incroyable « radicalisation » qui, nous dira-t-on, ne doit certainement rien à voir avec l’Islam. Une démonstration supplémentaire de la réussite de l’Education Nationale qui s’évertue à inculquer les contre-valeurs républicaines.

Cet adolescent a donc été interpellé le 10 septembre au matin par la DGSI commettre un attentat dans un lieu public avec une arme blanche ou une arme à feu. Manuel Valls a estimé ce matin à plus de 15.000 le nombre de personnes « radicalisés ». « Radicalisés » de quoi au fait ? Ah oui, de l’islam, on aurait pu l’oublier.

Mais surtout, pas d’amalgame !

 

Source : medias-presse.info

jeudi, 18 août 2016

Justice : un islamiste indemnisé par l'Etat

Publié par Guy Jovelin le 18 août 2016

Éric Pelletier

Farouk Ben Abbes est mis en examen en 2010 pour un projet d’attentat contre une salle de spectacle en France, sur la foi d’informations émanant des services secrets égyptiens. S’il a bénéficié d’un non-lieu, il est assigné à résidence depuis 2015.

(PhotoPQR/ « Est Eclair »/MAXPPP/Jérôme Bruley.)

 

Farouk Ben Abbes, mis en cause dans un projet d'attentat, a reçu 6 000 € après un non-lieu, au titre du préjudice moral, pour trois mois de détention provisoire.

La décision fait grincer des dents les très rares magistrats et policiers spécialisés dans la confidence. L'Etat a été contraint d'indemniser l'islamiste Farouk Ben Abbes « pour préjudice moral » en contrepartie d'une détention provisoire de trois mois.

Cet homme de 31 ans, de nationalité belge et tunisienne, est actuellement assigné à résidence à Toulouse (Haute-Garonne), contraint à un pointage régulier au commissariat central de la ville, compte tenu de sa dangerosité supposée.

Ben Abbes, figure de l'islam radical, est un ami intime de Fabien Clain, l'homme qui a revendiqué les attentats du 13 novembre dans un message audio. Il est soupçonné d'avoir frayé avec une filiale d'Al-Qaïda entre Gaza et l'Egypte. Son nom est par ailleurs cité dans l'enquête sur l'attentat qui a coûté la vie à une adolescente française, Cécile Vannier, le 22 février 2009 au Caire, même s'il n'est pas poursuivi. Lui dément toute implication.

Son indemnisation est l'aboutissement d'un recours pour une détention injustifiée de « deux mois et vingt-cinq jours » entre 2010 et 2011. A cette époque, Farouk Ben Abbes est mis en examen dans le cadre d'un premier projet d'attentat contre le Bataclan, notamment sur la foi d'informations venues des services égyptiens.

« La référence à un préjudice moral peut susciter un certain malaise »

Faute de preuves, le dossier débouche finalement trois ans plus tard sur un non-lieu, ouvrant la voie à un dédommagement financier. C'est ainsi que, le 3 mars 2014, la cour d'appel de Paris donne entièrement raison à Ben Abbes. Elle lui octroie près de 20 000 € pour préjudices moral et matériel. Le ministère de la Justice dépose immédiatement un recours. Du coup, l'affaire arrive dans les mains de la Commission nationale de réparation des détentions. Le 13 janvier 2015, cet ultime arbitrage donne partiellement raison à Farouk Ben Abbes, ne retenant que le « préjudice moral », soit une facture de quelque 6 000 € pour l'Etat auxquels s'ajoutent des frais de justice. Selon une source proche du dossier, l'ardoise a été alourdie de 2 600 € de pénalités, l'administration ayant tardé à payer.

S'agissant d'un homme innocenté dans un dossier judiciaire, le recours de Farouk Ben Abbes relève d'une stricte application du droit. « La référence à un préjudice moral s'agissant d'un islamiste rejetant frontalement les valeurs démocratiques peut susciter un certain malaise », fait valoir un avocat pénaliste familier des arcanes de l'indemnisation. Cette notion de préjudice moral apparaît nécessairement subjective.

Quoi qu'il en soit, cette offensive judiciaire contre l'Etat français pourrait montrer la voie à d'autres islamistes dans un contexte où les procédures antiterroristes se multiplient. Près de 300 personnes sont actuellement mises en examen dans le cadre des procédures dites « irako-syriennes ». Les poursuites relèvent souvent de faits criminels susceptibles d'engendrer de longues années de détention provisoire avant la tenue d'un éventuel procès.

L'affaire replace Farouk Ben Abbes en pleine lumière, après sa rocambolesque tentative d'expulsion vers la Tunisie, sur un vol régulier, le 22 juillet (nos éditions du 9 août). Le ministère de l'Intérieur le jugeait « susceptible, à tout moment, de fomenter, commettre ou apporter un soutien logistique à une action terroriste en France ». Au dernier moment, l'avion, un vol régulier, est empêché de décoller. L'administration se serait rendu compte in extremis qu'un contrôle judiciaire portant sur une affaire ancienne interdisait à Farouk Ben Abbes de quitter le territoire. Il était donc inexpulsable mais « dédommageable ».

 

Source : leparisien

mardi, 09 août 2016

I-MEDIA : une semaine d’attentat en Europe, une semaine de bobards dans les médias

Publié par Guy Jovelin le 09 août 2016

8 août 2016 par admin4

Jean-Yves Le Gallou et son assistant Hervé revienne sur quelques bobards médiatiques :

 

Source : www.contre-info