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vendredi, 20 juillet 2018

Benalla : l’Élysée voulait le propulser sous-prefet…

Publié par Guy Jovelin le 20 juillet 2018

Auteur : Pierrot
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Les révélations scandaleuses concernant la racaille Benalla ne cessent de s’enchainer : 3 policiers qui transmettent les images de vidéo-surveillance à l’intéressé, le sommet de l’Etat qui tente d’étouffer l’affaire, le train de vie du barbouze etc… On apprend désormais que l’Elysée (Macron), voulait propulser Benalla sous-prefet…

Selon Valeurs Actuelles : l’Elysée a encouragé Alexandre Benalla, adjoint au chef de cabinet du président de la République et intime du couple Macron, à soumettre sa candidature au poste de sous-préfet dans le cadre des nominations au tour extérieur.

Mais l’information, éventée dans les milieux préfectoraux, a suscité de telles oppositions qu’Alexandre Benalla, âgé de 26 ans, a dû renoncer malgré lui à présenter sa candidature, sachant en outre que la limite d’âge inférieure est fixée légalement à 35 ans. Les privilèges dont jouissait déjà ce jeune homme, devenu lieutenant-colonel dans la réserve citoyenne et bénéficiant d’un traitement de quasi-ministre avec voiture de fonction et chauffeur, n’avaient de cesse d’agacer en haut lieu. Sa candidature au poste de sous-préfet a été, selon nos informations, la goutte d’eau qui a fait déborder le vase.

 

Source : contre-info



De quoi Alexandre Benalla est il le nom ?

Publié par Guy Jovelin le 20 juillet 2018

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Jean-François Touzé

membre du Bureau politique du Parti de la France

Alexandre Benalla est une racaille. Une racaille comme il y en a tant dans les milieux de la sécurité. Une racaille entrée dans la lumière du Président de la République sans, pour autant, quitter l'ombre des basses besognes de la mafia institutionnelle.

En soixante ans d'existence la Cinquième République nous a habitués à ces «chargés de mission » qui, par la grâce du SAC gaulliste, des réseaux giscardiens, des cellules mitterrandiennes ou des cabinets noirs chiraco-sarkozistes, bénéficiaient, pour les uns de cartes barrées de tricolore, pour les autres de coupe-files officiels, pour tous de l'impunité d’État.

Savoir, dans ces conditions ce que faisait Benalla le 1er mai place de la Contrescape dans le cinquième arrondissement de Paris, et qui lui a fourni le brassard «police" qu'il arborait fièrement ce jour là en tabassant ce manifestant gauchiste sur les petits bobos duquel il va de soi que nous ne verserons pas de larmes, importe finalement assez peu. Tout comme reste relativement indifférent l'éclairage qui sera donné (ou pas) par la commission des lois transformée avec une étonnante rapidité en Commission d'enquête.

La question est de savoir combien de temps encore les Français, une nouvelle fois instruits de la réalité de la République pourrie des coquins et des copains, continueront ils à s'en remettre à ce Système dépravé ?

La question est de savoir combien de temps encore ils accepteront les méthodes et les mœurs de cette classe politicienne moralement dissolue ?

La question est de savoir combien de temps encore ils reculeront le jour de l'échéance ultime qui permettra l’émergence d'un pouvoir de force et d'autorité ouvertement assumées en se tournant enfin vers la Droite nationale ?