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lundi, 04 juillet 2016

FACE À FACE

Publié par Guy Jovelin le 4 juillet 2016

mercredi, 29 juin 2016

Nous, les cons qui aimons le Brexit : une anthologie….

Publié par Guy Jovelin le 29 juin 2016

Nous, les cons qui aimons le Brexit : une anthologie

Le Brexit n’a pas l’air de plaire au gouvernement profond. Celui-ci donne ses meilleurs chiens de garde pour expliquer que le referendum britannique n’est rien d’autre qu’un triomphe de la bêtise contre l’intelligence, une victoire épouvantable des cons sur les gens éclairés et capables de décider. Une tripotée d’amis qui se tiennent par la barbichette depuis des années pour capter les médias à leur profit et s’y auto-congratuler en infligeant au pays leurs idées toxiques (et lucratives) enrage de voir que les Anglais n’ont pas fait comme on leur avait dit de faire. Et les noms d’oiseaux fleurissent.

En hommage à tous ces cons auxquels je suis fier d’appartenir, je voulais aujourd’hui présenter une anthologie des meilleures marques de mépris reçus de la part de la caste des petits animaux rampant devant le gouvernement profond, et adresser une rapide réponse forcément très conne à leurs arguments forcément très intelligents.

Médaille d’or à BHL

Pour redonner du sens à une situation où la nomenklatura française a perdu le nord, le troisième quotidien le plus subventionné de France: Le Monde, a appelé à la rescousse le plus brillant (et le plus désintéressé) philosophe de notre époque, Bernard-Henri Lévy, qui a écrit:

Ce Brexit, c’est la victoire, non du peuple, mais du populisme. (…)

C’est la victoire, autrement dit, du souverainisme le plus rance et du nationalisme le plus bête.

C’est la victoire de l’Angleterre moisie sur l’Angleterre ouverte sur le monde et à l’écoute de son glorieux passé.

C’est la défaite de l’autre devant la boursouflure du moi, et du complexe devant la dictature du simple. (…)

C’est la victoire des casseurs et des gauchistes débiles, des fachos et hooligans avinés et embiérés, des rebelles analphabètes et des néonationalistes à sueurs froides et font de bœuf. (…)

Ce sera, toujours, la victoire de l’ignorance sur le savoir.

Ce sera, chaque fois, la victoire du petit sur le grand, et de la crétinerie sur l’esprit. (…)

J’en passe et des meilleures, ce texte étant la longue répétition de la même phrase sous toutes ses formes: les cons ont battu les génies.

Je suis heureux d’avoir lu ce très grand texte de BHL (et je me félicite que le contribuable file 13 millions d’euros au Monde pour publier ce texte plein de reconnaissance pour les « cons »), grâce auquel j’ai compris pourquoi je n’aurais jamais eu l’agrégation de philosophie si je l’avais tentée, et grâce auquel je sais enfin pourquoi certains passent en boucle à la télévision pour y exposer leurs idées. Ils sont intelligents, et moi je suis con. Je suis un rebelle analphabète, voire un hooligan embiéré, en plein boursouflure du moi. Ceux qui, comme BHL, sont contre le Brexit et pour le « Remain » appartiennent en revanche à « l’esprit », au « complexe ». Moi qui suis soumis à la « dictature du simple », je ne peux pas comprendre leurs raisonnements.

C’est d’ailleurs parce que je suis très con que je ne suis convaincu par aucun des brillants arguments de BHL.

Médaille d’argent à Quatremer

Sous la plume d’un Jean Quatremer qui nous a habitué à mieux sur Libération (sixième quotidien le plus aidé de France), on lira des considérations d’une ironie facile sur le choix des Britanniques.

Amis Anglais et Gallois, merci, du fond du cœur. Vous avez su résister à tous les arguments, des plus rationnels aux plus apocalyptiques, de ceux qui militaient pour le remain. (…) Vous avez pris le risque de diviser pour longtemps votre société entre, d’une part, jeunes, diplômés et urbains, massivement «remain», et, d’autre part, vieux, peu diplômés et ruraux, massivement «leave», une fracture sociale pour longtemps béante.

Vouloir le Brexit, ce n’est évidemment pas poser la question du fonctionnement de l’Union Européenne et de sa rationalité économique. C’est seulement appartenir à la catégorie peu ragoûtante des « vieux, peu diplômés et ruraux ». On continue:

Votre sursaut churchillien restera dans l’histoire ! Car vous savez ce qui vous attend : après la Seconde Guerre mondiale, vous vous êtes enfoncé dans la dépression économique au point que le FMI a dû voler à votre secours, comme une vulgaire Grèce. Votre PIB, lors de votre adhésion en 1973, était l’un des plus bas de la CEE, et c’est pour cela que vous avez rejoint un projet qui vous répugnait.

Bien entendu, l’appauvrissement de la Grande-Bretagne en 1973 n’a rien à voir avec son excès de réglementation et tient uniquement à son absence de la Communauté Européenne à l’époque. Et le retour de la Grande-Bretagne à la prospérité ne doit rien aux réformes lancées par Margaret Thatcher, mais doit tout à sa simple adhésion à l’Union.

Là encore, nous les cons, nous n’avons rien compris et nous devrions nous élever vers la lumière en acceptant sous coup férir une argumentation émise avec beaucoup de finesse par des gens beaucoup plus intelligents que nous.

Médaille de bronze à Jacques Attali

Comme toujours en phase de stress, les bobos du Monde convoquent tous leurs meilleurs amis des salons parisiens pour expliquer ce qu’il faut penser. Plus subtile que BHL, Attali s’est senti obligé d’ouvrir le débat de façon drolatique, et avec un total manque de clairvoyance (puisqu’il prédisait la victoire du « Remain » au matin du referendum):

J’ai toujours pensé que les Britanniques rejetteraient le « Brexit ». La sortie de l’Union européenne serait un suicide pour le Royaume-Uni. Il existe, dans l’histoire, des cas où des nations se sont suicidées, mais je ne crois pas que ce soit la tentation des Britanniques.

On mesure là encore les dégâts que l’influence exercée par Attali peut provoquer sur les politiques français. Les partisans du « Leave » justifient en effet leur position par leur volonté de préserver leur Etat-nation face au système communautaire. Réponse d’Attali: vouloir survivre, c’est être suicidaire. La mécanique de renversement des évidences à l’oeuvre chez BHL est ici aussi en marche. Simplement, elle se fait plus discrète, moins directement insultante.

Au passage, on notera que dans cet entretien du 23 juin au matin où Attali prédisait la victoire du « Remain », il se livrait à une autre prédiction tout aussi fiable:

Depuis longtemps, je prédis que la troisième guerre mondiale, si rien ne change, est pour 2025-2030. Tout semble se mettre en place.

Irma Attali.

Prix spécial du jury à Slate

Puisque je parle d’Attali, je ne voulais pas manquer une occasion de parler de l’un des médias dont il est actionnaire (comme beaucoup d’autres adeptes ou acteurs du gouvernement profond): Slate. Ce pure player a mené une campagne hostile au Brexit dont l’argumentation essentielle a reposé sur la logique exposée ci-dessus: d’un côté la lumière, de l’autre l’obscurité.

Je prends au hasard quelques articles:

Brexit

Bravo, Slate, pour cette brillante contribution à l’intelligence contre la toxicité des populistes idiots que nous sommes.

En tant que con fini pleinement assumé, je voulais ajouter un seul point sur ce constat. Manifestement, les partisans de la construction communautaire qui prétend être l’Europe s’obstinent à ne pas voir que le referendum britannique a d’abord consacré un rejet de l’arrogance, et une hostilité profonde à cette confiscation de la démocratie par une élite avaricieuse qui prétend la faire fonctionner seule, et qui attend qu’on lui dise « merci » avec le sourire.

 

Source : leblogalupus

Les évêques européens contrariés par le Brexit et contre les nationalismes

Publié par Guy Jovelin le 29 juin 2016

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Ils ont attendus quelques jours avant de faire une déclaration au sujet du Brexit et de leur projet pour l’Europe. Ils, ce sont les évêques accrédités auprès de l’Union Européennes et membres de la Commission des Episcopats de la Communauté Européenne (COMECE), soutien inconditionnel du nouvel ordre mondial, qui a milité activement contre la sortie du Royaume-Uni de l’UE.

Sous les oripeaux de ce nouvel humanisme mondialiste, « le véritable humanisme européen, celui que le Pape François a encouragé les Européens à prendre dans son discours de réception du Prix Charlemagne« , qu’ils prêchent de concert avec le Vatican au lieu de prêcher Jésus-Christ et son Royaume qui n’est pas de ce monde, ils viennent de publier un communiqué de presse, le 27 juin 2016, dans lequel ils déplorent le vote du Brexit, « Il convient naturellement de respecter cette décision des électeurs britanniques, même si nous la regrettons profondément en tant que COMECE «  et se disent près à combattre fermement toutes formes de nationalisme dans les pays européens qui « ne doit pas devenir à nouveau le levier de l’exclusion, de l’hostilité et de la discorde. Nous nous y opposerons en tant qu’Église de toutes nos forces. »

Petit rappel sous-entendu des heures les plus sombres de notre histoire pour mieux culpabiliser des peuples européens qui aspirent à rester eux-mêmes et à ne pas se dissoudre dans le creuset du multi-culturalisme, du multi-ethnicisme, du multi-religieux, ferment d’une humanité métisse, servile et apatride !

Au nom d’« un avenir meilleur » utopique, d’« une responsabilité morale envers le monde, les pays les plus pauvres, la sauvegarde de la création et la limitation du changement climatique », qu’auraient les nations européennes, le cardinal Reinhard Marx, Président de la COMECE, et accessoirement véritable courroie de transmission, au sein du monde catholique, des idéologies droit de l’hommiste, homosexualiste et mondialiste, a signé cette déclaration de guerre contre les nationalismes et pacifique envers cette Europe technocratique, bureaucratique, fossoyeuse de la véritable âme de l’Europe, la civilisation chrétienne, seule garante d’un ordre de paix et d’unité pour le Vieux Continent. Déclaration philanthropique, anthropocentrique, anti-nationaliste, aux accents maçonniques, que n’importe quel homme politique du système aurait tout aussi bien pu écrire. Pas de véritable sève catholique dans cette déclaration épiscopale !

Il serait bon qu’ils méditent, ces princes de l’Eglise conciliaire, sur ses paroles de Georges Bernanos écrites après la Libération, in« Français si vous saviez 1945-1948 », prophétiques pour notre temps de décomposition avancée et  d’affermissement de la dictature universelle aux noms des lois du marché et du meilleur des mondes, dont l’Union Européenne est un vecteur indispensable  :

« Les gouvernements prétendent convaincre les peuples qu’ils sont ingouvernables et, pour les rendre gouvernables, ils ne songent qu’à renforcer la puissance, déjà énorme, de l’État. Mais ce n’est pas l’État qu’ils renforcent, c’est l’Administration, qui deviendra bientôt cette équipe de techniciens tout-puissants, incontrôlables, irresponsables, instrument nécessaire de la prochaine, de la très prochaine dictature universelle.

Vous avez laissé s’organiser un monde où l’homme ne peut plus vivre qu’en troupeau.

On a répété déjà bien des fois, et sur tous les tons, que l’Ordre en train de naître était un ordre inhumain. (…) L’humanité se trouve désormais divisée en deux parts, d’ailleurs très inégales. La première accepte, sous le nom de Progrès, cet Ordre, elle y a déjà conformé son esprit. La deuxième – ou plutôt ta poignée d’hommes qui la refusent – ne saurait rien lui opposer que son refus. La barbarie polytechnique menaçante n’a plus devant elle que des consciences. Mais les consciences ne sont pas des signes abstraits, elles s’incarnent, elles animent des êtres de chair et de sang, capables de souffrir et de mourir. La barbarie polytechnique, demain comme hier, reculera devant les Martyrs. »

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

dimanche, 26 juin 2016

Alain Escada : « Le Brexit est une gifle du pays réel au pays légal, aux mondialistes et aux banksters »

Publié par Guy Jovelin le 26 juin 2016

Voici le communiqué de Civitas à l’occasion de la victoire du Brexit :

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La nouvelle est tombée ce matin : le référendum organisé ce 23 juin au Royaume-Uni a donné gagnante la sortie de ce pays de l’Union Européenne.
 
C’est une victoire des paysans, des pêcheurs, des artisans, des petits commerçants, des petites entreprises, des ouvriers, des employés, des “sans dents”, des familles, des patriotes et du bon sens.
 
C’est une défaite des mondialistes, des banksters, des multinationales, de la gauche internationaliste et apatride, des lobbies interlopes, des promoteurs du vice, des forces occultes, de la synarchie, du syncrétisme religieux, des médias du système et de la jet-set décadente et cosmopolite.
 
CIVITAS félicite les électeurs britanniques pour cette victoire du pays réel sur le pays légal. Une victoire qui fait du bien au moral.
 
Il faut maintenant espérer que le pays réel ne sera pas spolié de cette victoire par des politiciens corrompus, comme cela fut le cas en France et aux Pays-Bas lors de précédents référendums.
 
Il faut surtout avoir bien en tête que le système vient de recevoir une gifle mais qu’il n’est pas à terre, loin de là. La propagande va redoubler d’efforts dans les prochaines heures et prendre prétexte du Brexit pour justifier de nouvelles mesures urgentes en faveur du renforcement du mondialisme contre le prétendu “repli sur soi”.  Des représentants de la haute finance vagabonde aux tenants de la haine de Dieu, de la Patrie et de la Famille, en passant par les troupeaux de bien-pensants manipulés, tous vont se donner la main pour utiliser ce Brexit à leur profit.
 
A nous de résister et de préparer la suite !
 
Alain Escada,
président de CIVITAS

image: http://media.medias-presse.info/wp-content/uploads/2016/06/escada-interview.jpg

escada-interview
 

samedi, 25 juin 2016

BREXIT : POUR LA SOUVERAINETÉ ET LE DROIT DES PEUPLES À DISPOSER D’EUX-MÊMES

Publié par Guy Jovelin le 25 juin 2016

Le Parti de la France

 
 24/06/2016