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jeudi, 20 avril 2017

ÇA SE PASSE COMME ÇA À SYNTHÈSE NATIONALE : ON SE RETROUVE, ON SE RÉCONCILIE ET ON PART À LA BATAILLE...

Publié par Guy Jovelin le20 avril 2017

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Quand Street press.com (cliquez ici) souligne le rôle central de Synthèse nationale, ça donne :

Le gratin de l’extrême droite radicale fait front commun pour les législatives de juin. Les Comités Jeanne de Jean-Marie Le Pen, les cathos tradi de Civitas, les natios du Parti de la France (PDF), la Ligue du Sud de Bompard, le Siel, ancien mouvement satellite du FN et même quelques royalistes de l’Action française se présenteront sous une bannière commune. Ils promettent entre 200 et 300 candidats et espèrent décrocher un financement public.

LES FONDATEURS

La rumeur progresse depuis de nombreux mois. L’idée du cartel viendrait tout droit du domaine de Montretout. Après son exclusion du Front en 2015, Jean-Marie Le Pen a ressenti le besoin de « regrouper les forces qui lui sont fidèles. C’est-à-dire beaucoup de monde », insiste Lorrain de Saint-Affrique, secrétaire général des Comités Jeanne.

Mais c’est le 2 octobre dernier, à Rungis, que l’affaire prend forme. Le boss du PDF, Carl Lang, Alain Escada de Civitas et Jean-Marie Le Pen partagent la tribune pour les 10 ans de la revue identitaire Synthèse nationale(link is external) de Roland Hélie :

« C’était la première entrevue entre les responsables de ces organisations. Ensuite, ça a abouti à une entente électorale en vue des élections législatives. »

L’accord est officiellement signé en début d’année et ce sont ces trois structures qui apporteront le gros des troupes. Selon Carl Lang, le Parti de la France devrait mettre 80 candidatsau pot commun :

« 40 hommes pour 40 femmes. Mais ce sera même peut-être un petit peu plus. Et moi, je serai candidat en Normandie, très probablement. »

Civitas et les Comités Jeannes ne communiquent pas encore de chiffres précis, mais Alain Escada promet au moins 200 candidats.

LES RALLIÉS

Les 3 fondateurs font chauffer les téléphones.Contacté par Carl Lang, Jacques Bompard, patron de la Ligue du Sud, a rapidement accepté de les rejoindre. Si le député-maire d’Orange est certain d’y aller, sa femme, « pas très chaude », devrait passer son tour. Ce ralliement est un atout majeur pour le cartel. L’homme d’extrême droite pèse au niveau local. Joint par Streetpress, M. Bompard confirme l’accord trouvé avec le boss au crâne chauve du Parti de la France.

Karim Ouchikh, président du Siel a aussi eu droit à son coup de téléphone. Depuis novembre 2016, le Siel a coupé les ponts avec le Front national dont il était un parti satellitaire. Exit les rassemblements bleu-marine, le parti est désormais « libre de ses prises de décisions ». Il devrait rejoindre le cartel qui porte l’autre face de la marque Le Pen, celle du père. « Des contacts sont effectivement en cours », confirme K. Ouchikh. Avant de détailler :

« Pour être tout à fait sincère, nous sommes confiants [et devrions] parvenir à un accord signé avec cette droite d’unité nationale dans les tout prochains jours. Un cartel purement électoral et non un accord de partenariat politique. »

Ouchikh promet d’« aligner au moins 70 candidats ». Des individualités viendront gonfler les rangs de l’alliance de l’ultra-droite. Des royalistes de l’Action française (AF) ont été approchés, confirme Élie Hatem. Le militant de l’AF a reçu un coup de fil de Jean-Marie Le Pen himself. Le Menhir verrait d’un bon œil sa candidature sous la bannière des Comités Jeanne :

« Il se peut que je sois candidat. Mais cela n’engage que moi, pas l’Action française qui n’est pas un parti politique. »

GABRIAC DANS LES STARTING-BLOCKS

Les candidats seront tous affublés des trois étiquettes principales : Civitas, Comités Jeanne et Parti de la France. Mais chacun sera libre de mettre en avant l’une ou l’autre des bannières. Alexandre Gabriac, candidat Civitas dans la 2e circonscription de l’Isère et fervent admirateur du père Le Pen, espère bien pouvoir profiter son aura :

« Il y aura mon nom. Ainsi que Civitas. Puis l’idée, c’était de mettre “Avec le soutien de Jean-Marie Le Pen”, en bandeau simple. Mais il faut voir si cela colle avec les lois électorales. »

Le fondateur des Jeunesses nationalistes, dissoutes après le décès de Clément Méric, entrera en campagne après les présidentielles. Exclu du FN en 2011, pour une histoire de bras tendu, il apprécie l’idée du cartel :

« On a toujours été pour l’union des nationaux. Et là, c’est une très belle réalisation. Avec le soutien de Jean-Marie Le Pen qui est, au niveau public, un soutien inestimable. Surtout qu’on va sûrement se trouver face à des candidats estampillés bleu-marine. »

La liste complète des candidats devrait être présentée à la presse, lors d’un raout organisé le 13 mai prochain. Mais quelques noms ont déjà filtré. Marie D’Herbais, ex-FN longtemps proche de Marine Le Pen, se présentera sous les couleurs de Civitas dans la 2e circo de la Sarthe. Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France, sera candidat dans l’Oise.

JEAN-MARIE PAS CANDIDAT MAIS EN CAMPAGNE

Du côté des Comités Jeanne, aucune tête d’affiche à se mettre sous la dent si ce n’est Lorrain de Saint-Affrique qui nous a confirmé sa candidature en région parisienne. Sauf contre-ordre, Jean-Marie Le Pen ne devrait, lui, pas être au rendez-vous électoral. Impossible d’en causer en direct avec le prez’ : « il ne parle pas à la presse avant le premier tour », nous explique son secrétaire. Mais selon de Saint-Affrique, il devrait battre campagne et multiplier les réunions de soutien aux candidats du cartel.

À la droite du Front national, nombreuses sont les organisations qui voient l’aventure d’un bon œil. Joints par StreetPress, le MNR fondé par Bruno Mégret, Henri de Lesquen, figure provoc’ du P.N.L et la Ligue du Midi de Richard Roudier se félicitent de l’initiative. Seuls Les Identitaires restent à bonne distance. Fabrice Robert explique ainsi avoir « cessé toute confrontation électorale avec le FN ».Carl Lang, Jean-Marie Le Pen au congrès de Synthèse Nationale / Crédits : Comission antifasciste du NPA

LE BANNI DE CHEZ LES BANNIS

Et puis, il y a en un que les exclus du FN ne veulent même pas sur leurs listes. Yvan Benedetti, exclu du Front en 2011 pour s’être publiquement déclaré « antisioniste, antisémite et anti-juif », sent un peu trop le souffre. Pourtant l’ancien président de l’Œuvre française, dissoute par Manuel Valls en 2013, a tenté de rejoindre le navire par un coup de téléphone à Thomas Joly du Parti de la France, resté sans réponse. Le Pen, lui, a décroché son portable, mais selon Benedetti, il a fait la sourde oreille :

« Je lui ai dit que nous [Le Parti nationaliste français] présenterions peut-être quelques candidats et que nous étions disponibles pour une alliance électorale. Il m’a répondu qu’il verrait ça avec de Saint-Affrique. Mais ils font leur petite soupe à trois et n’ont pas répondu à mes différents appels ».

MONEY, MONEY, MONEY

Chafouin, Benedetti lâche le fond de sa pensée :

« Ils veulent faire comme les grands mouvements en présentant des candidats partout. Ça n’a pas de sens si ce n’est pour essayer de récupérer un financement public. Ça n’a pas d’avenir. »

Du côté du cartel, le premier à cracher le morceau, c’est Karim Ouchikh, le président du Siel :

« C’est une démarche purement mécanique qui permet de créer des synergies afin d’obtenir l’accès au financement public. » 

Pour obtenir un financement public, une structure politique doit recueillir au moins 1% des suffrages dans cinquante circonscriptions. Seul, aucun des partis de l’alliance ne peut ambitionner un tel résultat. Ensemble, tout devient possible, assure Lorrain de Saint-Affrique :

« Si on présente plus de 200 candidats, il y a de fortes chances [d’obtenir un tel score]. Ensuite, il y a une clé de répartition entre nous, de manière à ce que les efforts de chacun soient récompensés par le financement public. »

RIFIFI ENTRE MEILLEURS ENNEMIS

Jusqu’où tiendra l’attelage ? Yvan Benedetti en remet une couche :

« C’est un accord pour essayer de jouer aux grands. Pas de la politique. Le PDF est résolument contre Marine Le Pen. Jean-Marie finance sa fille et a appelé à voter pour elle. Et puis Civitas, on ne sait pas ce qu’ils veulent… »

Aucune fusion post-élection n’est envisagée et les querelles d’antan pourraient remonter à la surface. Carl Lang ne s’est rabiboché avec Jean-Marie Le Pen que depuis 2015. Le prez’ l’avait mis à la porte en 2008. Et Le Pen ne parle toujours pas à Jacques Bompard, qui a quitté le FN avec pertes et fracas en 2005, comme l’explique Lorrain de Saint-Affrique :

« Il est de notoriété publique que les rapports entre Jacques Bompard et Jean-Marie Le Pen n’ont jamais été améliorés depuis qu’ils ont rompu. Donc, il est difficile de se parler. Il n’y a pas eu de tentative d’ailleurs. »

Le lieutenant de Le Pen semble d’ailleurs ignorer l’accord passé entre Carl Lang et le maire d’Orange. Mais Bompard, candidat aux législatives envers et contre tout, ne s’en formalise pas :

« Moi, je passe un accord avec tous ceux qui le veulent. Si Jeanne ne veut pas de moi, ce n’est pas mon problème. »

Reste à savoir comment réagira ce cartel face aux candidats estampillés bleu-marine. Civitas prône une bonne entente avec certains amis du FN. Le PDF, lui, ne veut pas en entendre parler.

 

Source : synthesenationale

vendredi, 31 mars 2017

14 mai 2017 à Paris – Grand défilé unitaire d’hommage à Sainte Jeanne d’Arc

Publié par Guy Jovelin le 31 mars 2017

Civitas et la Coalition pour la Vie et la Famille organisent le 14 mai 2017 un grand défilé unitaire en hommage à Sainte Jeanne d’Arc auquel se joindront de nombreuses organisations dont les Comités Jeanne et le Parti de la France.

Rappelons que Civitas, les Comités Jeanne et le Parti de la France forment un cartel pour les élections législatives de juin 2017 et devraient, ensemble, déposer des candidats dans environ 200 circonscriptions. 

Entre les deux tours de l’élection présidentielle, Civitas et le Parti de la France seront présents au rassemblement organisé par Jean-Marie Le Pen et ses Comités Jeanne le 1er mai.

Le 14 mai, le second tour de l’élection présidentielle sera passé et c’est la campagne pour les élections législatives qui débutera. 

L’hommage traditionnel à Sainte Jeanne d’Arc est fixé le deuxième dimanche du mois de mai. Les catholiques et les patriotes redoubleront d’efforts pour montrer leur attachement à la Sainte de la Patrie, patronne secondaire de la France et symbole de la reconquête.

 

Source : medias-presse.info

jeudi, 30 juin 2016

Alain Escada (Civitas) égratigne la franc-maçonnerie lors du débat face à Olivier Falorni

Publié par Guy Jovelin le 30 juin 2016

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Voici l’enregistrement du débat animé entre Alain Escada (Civitas) et Olivier Falorni (PRG) ce 29 juin 2016 sur RTL. Moments croustillants lorsqu’Alain Escada évoque le rôle de la franc-maçonnerie et du Grand Orient de France au grand dam d’Olivier Falorni.

 

Source : medias-presse.info

dimanche, 26 juin 2016

Alain Escada : « Le Brexit est une gifle du pays réel au pays légal, aux mondialistes et aux banksters »

Publié par Guy Jovelin le 26 juin 2016

Voici le communiqué de Civitas à l’occasion de la victoire du Brexit :

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La nouvelle est tombée ce matin : le référendum organisé ce 23 juin au Royaume-Uni a donné gagnante la sortie de ce pays de l’Union Européenne.
 
C’est une victoire des paysans, des pêcheurs, des artisans, des petits commerçants, des petites entreprises, des ouvriers, des employés, des “sans dents”, des familles, des patriotes et du bon sens.
 
C’est une défaite des mondialistes, des banksters, des multinationales, de la gauche internationaliste et apatride, des lobbies interlopes, des promoteurs du vice, des forces occultes, de la synarchie, du syncrétisme religieux, des médias du système et de la jet-set décadente et cosmopolite.
 
CIVITAS félicite les électeurs britanniques pour cette victoire du pays réel sur le pays légal. Une victoire qui fait du bien au moral.
 
Il faut maintenant espérer que le pays réel ne sera pas spolié de cette victoire par des politiciens corrompus, comme cela fut le cas en France et aux Pays-Bas lors de précédents référendums.
 
Il faut surtout avoir bien en tête que le système vient de recevoir une gifle mais qu’il n’est pas à terre, loin de là. La propagande va redoubler d’efforts dans les prochaines heures et prendre prétexte du Brexit pour justifier de nouvelles mesures urgentes en faveur du renforcement du mondialisme contre le prétendu “repli sur soi”.  Des représentants de la haute finance vagabonde aux tenants de la haine de Dieu, de la Patrie et de la Famille, en passant par les troupeaux de bien-pensants manipulés, tous vont se donner la main pour utiliser ce Brexit à leur profit.
 
A nous de résister et de préparer la suite !
 
Alain Escada,
président de CIVITAS

image: http://media.medias-presse.info/wp-content/uploads/2016/06/escada-interview.jpg

escada-interview
 

mercredi, 02 mars 2016

8 mars – Conférence : La royauté de Notre Seigneur et la vérité

Publié par Guy Jovelin le 2 mars 2016

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La prochaine réunion du cercle Civitas Paris-IDF se déroulera le mardi 8 mars à St Nicolas du Chardonnet , salle St Germain à 20h00
 
Au programme:
 
Quatrième conférence du cycle de formation en philosophie politique professé par l’abbé Billecocq sur le thème du Christ Roi: La royauté de Notre Seigneur et la vérité
 
Eglise St Nicolas du Chardonnet, 23 rue des Bernardins 75005 Paris. Métro Maubert-Mutualité Ligne 10. Entrée rue Monge.

Source : http://www.medias-presse.info/