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jeudi, 18 octobre 2018

Alain Soral : “Dans le temps, le couple était une petite unité de production, une petite PME, dans laquelle la femme avait beaucoup de pouvoir”

Publié par Guy Jovelin le 18 octobre 2018

bourgeoises,féministes,soral

“Les féministes sont toujours des bourgeoises”. Extrait de l’émission “Du fer dans les épinards” diffusée sur France 2 et présentée par Christophe Dechavanne :

 

 

Source : ndf

 

mardi, 28 août 2018

Un nouveau suicide démographique recommandé par les féministes : faire l’amour aux arbres

Publié par Guy Jovelin le 28 août 2018

Féministes Ecosexuelles Amour Arbre

Les pratiques dites « écosexuelles » sont tendance. Une étude américaine montre que la chose se répand particulièrement dans les milieux féministes. En faisant l’amour aux arbres, elles communient avec la nature, sauvent l’environnement et luttent contre le patriarcat.
 
Cela n’a rien d’un canular. Les Anglo-Saxons sont friands de ce qu’ils nomment des études « académiques », comme le montre le bonnet carré qu’ils arborent à la fin de leurs études. Un texte de cette nature vient de paraître dans le journal Feminist Theory, publié par le professeur Lauran Whitworth du St. Mary’s College of Maryland et porte sur les préoccupations et pratiques « écosexuelles », terme qu’on nous dit de plus en plus répandu dans les conversations d’outre-Atlantique.
 
Le professeur donne trois acceptions au terme. 1. Une personne qui trouve la nature sensuelle, sexy. Cela, ce n’est pas neuf. Le Tityre de Virgile aimait à se reposer sous le couvert des hêtres dans la chaleur de l’été, y jouer de la flûte en pensant à sa belle, certainement en respirant des fleurs et mangeant des framboises. 2. Une nouvelle identité sexuelle. Je le note dès aujourd’hui, cela aura des conséquences politiques, il sera bientôt interdit de discriminer les écosexuels (exemple : je ne pourrai pas refuser de louer à des écosexuelles, et tant pis pour les arbres du jardin). 3. Personne qui prend la Terre pour son amoureuse. C’est là que ça se corse, et Madame Withworth nous explique.
 
L’aventure écosexuelle a selon elle commencé avec les écologistes, qui recommandaient l’usage de produits écolo-friendly pendant l’acte sexuel, par exemple des capotes issues du commerce équitable ou des gels entièrement naturels. Mais les véritables écosexuelles vont beaucoup plus loin. Mme Withworth décrit ainsi une première rencontre amoureuse entre une jeune fille et les séquoias géants du Yosemite Park en Californie : » J’aimais le parfum du tronc, vanille mêlé de terre. Je me souviens très fort d’être tombée sur un séquoia arraché par une tempête. Je l’ai contourné et j’ai goûté ses racines fraîchement sorties de terre. Si douces, si sensuelles, si sexy. Il fallait que je les touche. » 
 
En fait, tout est dans le passage du « sensuelle », chacun sait que la nature l’est, au « sexy ». Mme le professeur Withworth semble en connaître là-dessus un rayon. Pour elle, faire caca dans la nature est une pratique écosexuelle. Selon elle, « l’écosexualité magnifie le charnel et le grotesque ». Peut-être est-ce en cela qu’elle plaît aux féministes, qui doivent se délasser de leurs incessantes études et de leurs veilles austères. Le site Breitbart relevait ainsi en 2016 que des féministes écosexuelles prenaient un plaisir sérieux à se masturber sous les cascades et à l’ombre des arbres pour sauver la planète. En septembre 2017, on apprit qu’un professeur de l’Université de Californie Sant Cruz exhortait ses étudiantes à faire l’amour avec la Terre dans le dessin de la préserver. Et en avril de cette année, c’est un enseignant de l’université du Michigan qui écrivait sur l’importance de « parler érotiquement aux plantes ». Pendant ce temps-là, les Chinois et les Subsahariens font des enfants. Il y a quarante ans, les pacifistes étaient à l’Ouest et les SS 20 à l’Est, aujourd’hui la bombe démographique est au Sud et les féministes au Nord.

Pauline Mille

https://reinformation.tv/feministes-ecosexuelles-amour-ar...

 

Source : leblogalupus

vendredi, 26 janvier 2018

Ces féministes qui n’en sont plus

Publié par Guy Jovelin le 26 janvier 2018
 

Dans un monde en pleine confusion où les repères idéologiques deviennent de plus en plus flous et se diluent dans un délire verbal postmoderne et une phraséologie sectaire, les nouvelles féministes, elles aussi, perdent la boussole. Elles détournent leur principal combat – l’égalité homme-femme – au profit d’une bataille qui ressemble plus à une chasse à l’homme qu’à une juste cause idéologique. Leur haine du mâle transpire de partout. Des lesbiennes agressives ne s’y prendraient pas autrement… Avec leurs discours fallacieux et perfides sur l’égalité des sexes, combleraient-elles un manque en enculant des mouches qui n’avaient rien demandé ? Croient-elles vraiment que la grotesque campagne qu’elles mènent sur Internet, “BalanceTonPorc” va vraiment réguler les rapports hommes-femmes ? Savent-elles qu’il y a des lois pour punir le viol et le harcèlement, et qu’il n’est pas nécessaire d’en rajouter avec des délations à l’emporte-pièce trop souvent inconséquentes ? Et qui discréditent le féminisme. Sont-elles conscientes de la petite différence sexuelle qui assujettit l’homme à aborder une femme comme elle ne pourra jamais le faire à son encontre, même quand elle est libertine ? Heureusement que quelques femmes intelligentes ont eu le bon goût de rappeler à ces agitées du bocal, dans une tribune intitulée «Nous défendons une liberté d’importuner, indispensable à la liberté sexuelle», qu’il y a un énorme fossé entre l’agression sexuelle, qui est un délit et la drague insistante qui est une liberté accordée à un homme. Si la femme le veut bien ! D’autant qu’un galant connaît, forcément, la limite à ne pas dépasser. Pas besoin de lui rappeler que la courtoisie est d’abord une preuve de savoir-vivre et un hommage à la gente féminine. 

Si nos gauchistes féministes veulent déboulonner le patriarcat, qu’elles commencent déjà par dénoncer les agressions machistes et sexuelles commises par des hommes venus de pays où la femme est voilée et où elle n’a aucun droit. Là, il y a de quoi faire ! Mais sur ce sujet, on ne les entend jamais ! Quant aux actrices, soi-disant féministes, qui se sont engouffrées dans la délation tardive, alors que la plupart d’entre elles n’hésitent pas à jouer les allumeuses avec leur producteur pour obtenir un rôle, elles feraient mieux de se faire une publicité moins tapageuse, mais plus en adéquation avec leur profession.

Il est aberrant d’exiger la codification des relations sexuelles. La rationalité administrative n’a rien à faire dans la construction d’une relation amoureuse. Qui peut s’établir sur un malentendu ou une ambiguïté. Dans ce petit jeu, l’égalité des rapports ne peut pas se quantifier. Abus de pouvoir ou pas, la frontière de l’acceptable n’est qu’un partenariat arrangé entre les personnes concernées. Quitte à dénoncer, pour une des parties, les excès subis malgré ses dénégations. La loi lui permet de ne pas endurer ce qu’elle juge intolérable. Dans la pratique, vouloir imposer l’égalité sexuelle absolue, c’est évacuer un peu vite les différences qui existent entre hommes et femmes. Si la nature a donné certains attributs aux uns et aux autres, ce n’est pas pour rien : la procréation de l’espèce est toujours sous-jacente. Même quand on ne le souhaite pas.

Le féminisme doit rester un noble combat pour légalité sociale entre les hommes et les femmes ; dommage que des précieuses ridicules délirantes veuillent en faire une libération sexuelle pour soixante-huitardes attardées et pour imposer le féminin partout, comme par exemple dans l’écriture, parce que le genre neutre est masculin… Il n’y a pas si longtemps, elles préconisaient, dans la société civile, le genre neutre sexuel… Comprenne qui pourra !

 

Claude Picard

 

Source : ndf

mardi, 23 janvier 2018

Règlement de conte

Publié par Guy Jovelin le 23 janvier 2018

Belle-dormant.jpg

 Georges Feltin-Tracol

A-t-on atteint les limites de la sottise humaine ou bien celle-ci est-elle illimitée ? L’affaire Harvey Weinstein n’a fait qu’accélérer la diffusion du venin gynocratique dans toutes les sociétés occidentales ultra-modernes, en particulier chez les Anglo-Saxons. Ses répercussions quotidiennes auraient ravi Pierre Gripari qui publiait en 1982 une Patrouille du conte. L’histoire raconte le travail d’agents qui rectifient les contes dans un sens politiquement correct. L’Ogre du Petit Poucet devient ainsi végétarien.

À la fin du mois de novembre 2017, une mère de famille, Sarah Hall, de Newcastle en Grande-Bretagne s’indigne de la scolarité de son fils de 6 ans. Y a-t-il trop de professeurs absents ? Sont-ils trop sévères ou bien trop laxistes ? La nourriture est-elle mauvaise à la cantine ? Non, ses griefs sont bien plus graves. Cette Sarah Hall se scandalise que son fils apprenne en classe le conte de La Belle au bois dormant, un bel exemple selon elle de harcèlement sexuel. En effet, le baiser que donne le Prince charmant à la belle endormie afin de la réveiller soulève le problème du consentement.

Plus généralement, des féministes hystériques condamnent maintenant les héroïnes de conte parce qu’elles sont blanches, passives (sic), minces et hétérosexuelles. Ces malades préféreraient que Blanche-Neige se mette en couple avec Gretel et aient plein d’enfants grâce à la GPA. Ce délire atteint aussi l’opéra. En Italie, la fin tragique de Carmen vient d’être modifiée. Elle ne meurt plus (triste exemple de « féminicide »), mais tue Don José, ce qui est une apologie de la violence faite aux hommes et par conséquent une incitation à commettre un homicide ! Mais bon ! passons, voulez-vous ? On attend avec impatience d’autres changements. La Grand-Mère du Petit Poucet n’est plus avalée par le Loup, horrible acte de spécisme, mais se marie avec lui !

Un révisionnisme sordide s’insinue dans nos esprits. Il importe de le rejeter par toutes nos forces. Il est inacceptable que le patrimoine littéraire de notre civilisation européenne soit ainsi édulcoré, violé, profané. Sinon pourquoi ne pas inciter le Prince charmant à épouser la Belle au bois dormant, Blanche-Neige et Cendrillon en même temps ?

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°62, diffusée sur Radio-Libertés, le 19 janvier 2018.

 

Source : synthesenationale

mercredi, 05 avril 2017

Suède : les féministes dégagées par les musulmans qu’elles ont fait venir…

Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2017

4 avril 2017 par Pierrot

 …Et on ne va pas les plaindre… Elles goûtent désormais au « patriarcat » sauce orientale…

Clémentine Jallais pour Reinformation.tv : Ironie du sort ? Logique étourdissante plutôt… Rattrapées par la réalité de la charia, des féministes quittent les régions envahies par les musulmans. Alors qu’elles glapissent des années en faveur de l’immigration, en faveur des portes grandes ouvertes et de l’accueil de la diversité dans cette Suède vraiment trop suédoise, aujourd’hui, elles s’enfuient, confrontées à une gent masculine adepte de la soumission de la femme sur laquelle elles ne peuvent rien.

Le pire, c’est que ça ne les empêche pas de continuer leur travail de sape qui détruit l’homme occidental chrétien, préparant ainsi sa soumission au mâle musulman, indemne de leurs assauts idéologiques. En voient-elles seulement le paradoxe ? Rien n’est moins sûr.

Les féministes baissent les bras face à la « police autoproclamée des mœurs »

C’est le diffuseur suédois SVT qui le rapporte : certaines féministes suédoises quittent maintenant les coins « difficiles » de leur pays, contrôlés par des fondamentalistes islamiques.

Nalin Pekgül, du Parti social-démocrate suédois des travailleurs, vit dans la banlieue de Tensta à Stockholm depuis 30 ans. Mais l’ancienne ministre évite désormais le centre-ville parce qu’elle ne se sent plus en sécurité, en raison du harcèlement des hommes musulmans : « À Tensta, je suis un visage connu et je n’ai aucun désir de provoquer des problèmes quand je suis harcelée (…) Plus on en débat, plus on attire l’attention sur ces questions, et plus les vrais fondamentalistes deviennent enragés ».

Le magazine Breitbart rapporte ses confidences : « La situation des femmes dans la vie publique dans la région s’est détériorée au cours des dernières années. Elle a noté qu’il y a eu une augmentation du fondamentalisme religieux parmi les hommes de la région, dont beaucoup proviennent d’origines migrantes. Pekgul a tenté de lutter contre la tendance en organisant des réunions de cafés mais a rapidement abandonné l’idée ».

Pour l’ancienne activiste de gauche, Zeliha Dagli, c’est pire : elle a carrément fui sa banlieue de Husby. Il y règne, selon ses mots, une « police autoproclamée des mœurs » qui tente de contrôler le comportement des femmes. Et les féministes sont particulièrement ciblées : Zeliha Dagli a été clairement menacée.

Celle qui avait fondé le réseau « Féminisme de banlieue » a déménagé dans la ville de Stockholm, où elle dit qu’elle peut « parler et s’habiller comme elle le veut »…

L’accueil tout azimut des immigrés musulmans

Par leur geste de départ, de retrait, ces féministes confirment qu’il existe bel et bien des « zones de non-droit », celles dont il est interdit de prononcer le nom, ni même la possibilité. La charia y règne, comme le soulignait le journaliste du New American. En 2014, les paramédicaux suédois ont réclamé des gilets pare-balles ; tous ceux qui y entrent peuvent être pris pour cibles, des taxis aux pompiers, en passant évidemment par les policiers ou les équipes de télévision.

Qu’on remette les choses au clair. Où étaient ces féministes lors de l’appel à la folie migratoire ? A la tête de cette défense des migrations du tiers-monde. Un article du New American souligne l’ironie de cette situation.

Souvenons-nous des déclarations de l’ancienne présidente du Parti social-démocrate et féministe de choc, Mona Sahlin : « Les Suédois doivent être intégrés dans la nouvelle Suède. L’ancienne Suède ne reviendra jamais » disait-elle en 2001. C’est aux autochtones d’être intégrés, aux indigènes d’accepter le cadeau socio-culturel des envahisseurs (les anticolonialistes se mordent la queue).

Aujourd’hui, elles héritent de leur propre politique face à une population migratoire principalement issue du Moyen-Orient et de l’Afrique. Et le stade du harcèlement est dépassé… En 2015, un article du Gatestone Institute rapportait que les crimes violents en Suède ont augmenté de 300 % depuis 1975. Et que, cette même année, 421 viols avaient été signalés à la police, contre 6.620 en 2014…

1975 : l’année où le gouvernement suédois a décidé d’adopter un régime d’immigration qui devait transformer la Suède en un pays « multiculturel »…

A noter, évidemment, que 77,6 % des violeurs du pays sont identifiés comme « étrangers » (donc issu en très grande majorité de pays musulman). Et c’est encore sous-estimé dans la mesure où les violeurs musulmans de deuxième génération sont enregistrés comme « Suédois ».

L’emblématique paradoxe de la Suède

La nation la plus féministe du monde est donc celle qui a accueilli le plus grand nombre de migrants musulmans par habitant, le plus grand nombre d’adeptes de la soumission de la femme, citoyenne de seconde zone, personne humaine de second plan.

Un paradoxe effrayant mais explicable par l’aveuglement que provoque l’idéologie cosmopolite doublé de la réalité du combat progressiste occidental contre le mâle – combat féministe qui dure depuis plusieurs décennies. Christina Hoff Sommers, en avait fait un livre en 2001, « The War Against Boys », qui décortique ce raisonnement selon lequel les garçons sont des privilégiés depuis le début et tout au long de leur vie : le mâle doit être mis au ban, relativisé dans son essence même, et rabaissé, au profit de la femme, éternelle victime.

Seulement ce retournement révolutionnaire ne fut à l’œuvre que dans les pays occidentaux, d’héritage chrétien (alors même que c’est la religion du Christ qui donna à la femme toute sa grandeur). Laissant aux autres l’intégrité de leurs rapports, en particulier et surtout les plus inégalitaires, les plus violents, les plus musulmans.

Mieux, ils les ont accueilli, en les défendant, qui plus est (la faute d’un musulman violeur n’est pas la même que celle d’un mâle blanc). Et qu’arrive-t-il d’une société qui a méprisé, dévirilisé ses hommes et accueille leurs antagonistes ? Elle est conquise.

Les féministes se retrouvent forcées à respecter ce contre quoi elles ont lutté toute leur vie, la masculinité. Et elles continuent à mépriser les chiffes molles qu’elles ont elles-mêmes contribué à faire naître… On vit décidément une époque épatante, comme dirait l’autre.



Source : contre-info