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samedi, 13 octobre 2018

Grèce : une grande croix chrétienne détruite pour ne pas « offenser les migrants », la population locale en colère (MàJ)

Publié par Guy Jovelin le 13 octobre 2018

Par  le 12/10/2018 

Grèce – Une grande croix chrétienne en ciment, construite sur le rivage rocheux d’Apelli, sous le château de Mytilène sur l’île de Lesbos, érigée en l’honneur des gens qui sont morts en mer, a été détruite après qu’une ONG ait indiqué à la municipalité qu’elle était « offensante pour les migrants ».

« C’était un acte de haine ! Cette croix a été faite en béton armé, ils ont utilisé des outils lourds pour niveler la croix au sol… Nous ne voulons pas d’ennuis mais nous n’accepterons pas ce comportement… C’est inacceptable ! »

Le placement de la croix, début septembre, a provoqué des réactions négatives de la part des organisations d’aide aux migrants et une lettre a été envoyée au capitaine du port de Lesbos et au maire de la ville, indiquant que la croix avait été placée à cet endroit pour empêcher les migrants de se baigner.

« Il y a quelques jours, ils ont placé une grande croix, afin d’empêcher les migrants de venir nager. Cet acte est illégal, inesthétique mais surtout offensant pour le christianisme, une religion d’amour et de sacrifice, et non de racisme et d’intolérance. (…) S’il vous plaît, nous vous demandons de vous débarrasser de ce symbole religieux inapproprié (…) » dit l’ONG pro-migrants.

Quelques jours plus tard, la croix a été enlevée pendant la nuit.

L’annonce de cette affaire a provoqué de vives réactions de la population locale qui estime que cette destruction va à l’encontre des croyances religieuses de la majorité des habitants de l’île. Certains ont promis de reconstruire la croix.

 

Greek City Times / Naftemporiki.gr via fdesouche

mercredi, 05 septembre 2018

Grèce : les migrants mettent le feu à leur centre d’accueil pour protester contre la qualité de la nourriture.

Publié par Guy Jovelin le 05 septembre 2018

 

Le 20 août, un incendie s’est déclaré dans le camp de réfugiés de Pylaia, à Thessalonique, pour protester contre les «mauvaises conditions de vie» et la mauvaise qualité de la nourriture fournie.

Les mineurs non accompagnés ont causé des dégâts matériels puis ont mis le feu à leurs matelas, selon les premières informations.

Pendant ce temps, une forte proportion de citoyens grecs ne possède pas la capacité financière nécessaire pour couvrir ses besoins les plus élémentaires, tels que la nourriture et le logement, en raison de la profonde crise économique que connaît la Grèce depuis huit ans.

 

Origo.hu

Voice of Europe

Seleo.gr via lesobservateurs

mardi, 21 août 2018

La Grèce toujours en faillite, mais le mensonge continue

Publié par Guy Jovelin le 21 août 2018

Français, on vous ment pour la gravité de l’invasion migratoire, comme on vous ment pour la dette grecque. Le FMI est l’exception qui confirme la règle pour la Grèce. Il dit la vérité : sans allègement réel de la dette grecque, c’est-à-dire sans renoncement au remboursement pur et simple de la dette publique grecque, et non pas avec un simple allongement des échéances, la Grèce tombera immanquablement en faillite à terme !

Le FMI répète que la dette grecque représente encore aujourd’hui 178 % du PIB du pays. L’accord de juin 2018 devrait permettre à Athènes d’avoir accès, à moyen terme, à des financements par les marchés, mais tout cela est théorique et repose sur du sable, car il sera impossible à la Grèce d’avoir une croissance de 3 % tout en maintenant un excédent budgétaire de 2,2 % du PIB, hors service de la dette.

Selon le FMI, la croissance n’a été que de 1,7 % en 2017 et atteindra difficilement 2 % en 2018 et les années suivantes, tandis que l’excédent budgétaire sera au maximum de 1,5 % du PIB et non pas 2,2 %.

Le reflux du chômage est tout à fait anecdotique, conjoncturel en Grèce et non pas structurel puisqu’en étant hyper-optimiste, il passerait de 21,5 %, en 2017, à 19,9 %, en 2018, et 18,1 %, en 2019. Les risques de banqueroute grecque sont, en fait, énormes si l’on songe à la moindre hausse des taux d’intérêt, au calendrier de politique intérieure grecque, à l’immigration clandestine extra-européenne, à une population à bout, fatiguée des réformes et du « demain, on rasera gratis » !

Le drame, c’est que ce n’est pas l’euro qui est la cause de la dette grecque, contrairement à ce que prétend Jacques Sapir, mais tout simplement l’inconscience laxiste d’un pays et de ses dirigeants qui ont tiré trop fort sur la corde de l’État-providence pendant des années jusqu’à ce qu’elle casse, tandis que Goldman Sachs truquait les comptes pour faire entrer la Grèce dans la zone euro, sans avoir à subir – ce qui est scandaleux – une amende gigantesque de l’Union européenne d’au moins 20 milliards d’euros et la condamnation de ses dirigeants à la prison ferme en Europe pour manipulation frauduleuse des comptes publics et montage d’opérations bancaires fictives.

Le drame, également, c’est que les banques, sur la demande de l’Allemagne et des pays de la zone euro, ont effectivement déjà allégé la dette grecque de 90 milliards en 2011. Merkel a voulu, à juste titre, que les banques qui avaient pris des risques inconsidérés paient une partie de la note. Le 27 octobre 2011, les banques européennes ont donc dû abandonner 50 % de la dette publique qu’elles détenaient sur la Grèce. De plus, alors que l’opinion publique allemande souhaitait le défaut de paiement et la mise en faillite pure et simple de la Grèce en 2011, Merkel a promis solennellement aux Allemands que les Grecs rembourseraient les nouveaux prêts accordés à la Grèce avec la garantie des États.

Merkel ne peut pas perdre la face, ayant déjà sur le dos l’entrée folle du million de clandestins immigrés sans contrôle aux frontières. Et (cerise sur le gâteau) si, demain, la Grèce ne paie pas – ce qui sera le cas -, les déficits publics annuels de la France et de l’Allemagne seront augmentés d’autant, d’où l’acharnement du Système pour reculer la date de faillite inexorable à venir de la Grèce.

La Grèce est le cancre de l’Union européenne et la France « une petite Grèce » quant au chemin décadent et laxiste parcouru depuis quarante ans. Alors que la situation de la France est catastrophique et demande des mesures draconiennes, structurelles, chirurgicales en matière de dépenses publiques, sociales et de réduction du nombre de fonctionnaires pour éviter la faillite à venir, l’action de Macron relève du traitement médical législatif homéopathique.

http://www.bvoltaire.fr/la-grece-toujours-en-faillite-mai... via leblogalupus

vendredi, 01 septembre 2017

Incroyable chasse aux croix chez LIDL, Danone, Nestlé, Carrefour, etc. !

Publié par Guy Jovelin le 01 septembre 2017

Publié le 1 septembre 2017 Auteur par admin4
christianophobie

lidl6-300x263.jpgLes deux coupoles de l’Anastasis (Résurrection), l’église grecque orthodoxe du village d’Oïa dans l’île de Santorin en Grèce, offrent un paysage très souvent utilisé dans la publicité.

Seulement voilà, il y a un détail qui pose maintenant problème aux

publicitaires : il y a des croix sur la coupole des églises ! C’est ballot ça !

 

Ainsi, la chaîne LIDL, en Belgique, n’hésite pas à retoucher la photo ! Et ce n’est pas la seule comme on peut le voir ci-après.

chasse aux croix,grèce,oïa

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

« Nous évitons l’utilisation de symboles religieux car nous ne souhaitons exclure aucune croyance religieuse », a répondu le représentant du géant allemand de la grande distribution, après qu’un client se soit étonné. « Nous sommes une entreprise qui respecte la diversité et c’est ce qui explique la conception de cet emballage », a-t-il encore ajouté. On peut légitimement se demander alors pourquoi les services marketing du groupe n’ont pas directement opté pour un paysage sans monument religieux. Suite à la vague d’indignations provoquée par cet article, le groupe Lidl a présenté ses excuses. « Notre intention n’a jamais été de choquer. Nous évitons l’utilisation de symboles religieux sur nos emballages pour maintenir la neutralité dans toutes les religions. Si cela a été perçu différemment, nous présentons nos excuses aux personnes qui ont pu être choquées », a déclaré le porte-parole jeudi [31 août] après-midi. (source)

Et chez Nestlé : 

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 Chez Danone :

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Chez Carrefour :

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Chez Walmart :

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chez Lynos : 

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Source : contre-info

jeudi, 06 avril 2017

La Gauche organise-t-elle une guerre civile en Grèce ? L’assaut de l’extrême gauche sur le quartier général de l’Aube Dorée

Publié par Guy Jovelin le 06 avril 2017

4 avril 2017

Nous recevons de notre consœur Irène Dimopoulou, Directrice du journal EMPROS, cet article interpellant.

La Gauche organise-t-elle une guerre civile en Grèce ?

L’assaut de l’extrême gauche sur le quartier général de l’Aube Dorée

Le gouvernement d’Alexis Tsipras, se voit démuni chaque jour dans les sondages. Malgré le soutien populaire reçu dans deux élections, en février et en septembre 2015, et le NON majoritaire de plus de 60% des voix lors du référendum de juillet 2015, contre les mesures de l’ infâme « Mémorandum », SYRIZA, formé par une coalition d’organisations de la Gauche radicale, n’a pas pu tenir ses promesses pour une sortie du pays du programme d’austérité imposé par le Fonds Monétaire International et la Banque Centrale Européenne. Avec le taux de sans emploi montant à 23 % de la population, (plus de 45 % chez les jeunes), et les salaires et pensions taxés à un tiers, le parti gauchiste cherche à consolider sa base électorale qui lui échappe. Selon les sondages, SYRIZA serait en troisième position derrière son prédécesseur au pouvoir, le parti du Centre-droit, Nouvelle Démocratie, alors que la droite nationaliste de l’Aube Dorée qui se trouve en troisième position a cimenté une base électorale de 7 à 10% qui monte à 15% et même 19% dans certaines régions du pays.

Ayant déjà souffert deux départs de cadres et députés, dont l’ex-présidente du parlement grec, qui ont ensuite fondé des partis gauchistes contre l’euro et l’adhésion du pays à l’Union Européenne, SYRIZA, cherche à rattraper le territoire perdu. Il devrait donc polariser le climat pour retenir ses adhérents, en soulignant son profil anti-patriotique, anti-droite, anti-nationaliste et en même temps soutenir ses groupuscules qui se nourrissent de jouer à la guérilla urbaine.

Il est évident, par exemple, que la lutte en faveur des immigrés clandestins est dans les mains d’un groupuscule de l’extrême gauche, dit ANTARCIA (Mutinerie), qui soutient toute action pro-islamiste et anti-identitaire. Le ministre de l’intérieur, a même répondu au parlement que les « jeunes gens » qui détruisent systématiquement la propriété publique, ne seraient interpelés « que s’ils dépassaient certaines limites », qu’il ne voyait pas, évidemment, dépassées par les incendies et les cocktails molotov lancés contre des véhicules du transport public, par exemple.

C’est dans ce climat que le matin du 31 mars 2017 à 9h30, des hommes masqués et portant des massues ont attaqué la siège de l’administration centrale d’Aube Dorée a la rue Mesogeion, juste en face de l’école de Police, et a quelques mètres du ministère de l’intérieur.

L’attaque s’est déroulée en pleine heure de pointe sur la grande avenue Mesogeion. N’ayant pas pu forcer l’entrée blindée de l’immeuble, les assaillants ont endommagé la librairie-boutique d’Aube Dorée, au rez-de-chaussée, aspergeant aussi la façade de peinture rouge.

La police arrivée sur les lieux une bonne dizaine de minutes plus tard, a interpellé onze personnes mais les a finalement relâchées. Des militants du groupuscule ANTARCIA, également sympathisants de SYRIZA, comme le président de la communauté Pakistanaise, sont des témoins au procès en cours contre l’Aube Dorée, initié en septembre 2013, après son ascension dans les sondages qui, selon le Secrétaire du gouvernement de la Centre-Droite de l’époque, « lui enlevaient des votes »…

Il est également intéressant de noter que la date choisie pour une attaque contre la seule voix politique et militante des nationalistes en Grèce, qui revendique la victoire des forces nationales contre l’ insurrection communiste, dite « guerre civile » qui finira avec la victoire des forces patriotiques en 1949, n’est autre que celle de l’ attaque des communistes contre la Gendarmerie de la ville de Litohoro, tuant 9 gendarmes et deux soldats. L’attaque avait signifié le début de la guerre civile…

Faisant preuve de leur esprit combattant, des militants Aube Dorée ont organisé le 1er avril, une action politique au centre du Pirée ainsi qu’au quartier d’Ampelokipi, près de siège du parti, avec grand succès, distribuant des centaines de documents d’information imprimés aux passagers, qui les ont reçus avec enthousiasme.

Contre le terrorisme et la dictature ténébreuse des médias, l’Association Populaire Aube Dorée poursuit son activité politique légitime.

IRENE DIMOPOULOUDirectrice du journal EMPROS

 

Source : medias-presse.info