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lundi, 23 juillet 2018

Le 23 juillet 1951: mort du Maréchal Pétain

Publié par Guy Jovelin le 23 juillet 2018

Le 23 juillet 1951: mort du Maréchal Pétain, chef de l'Etat français, héros de Verdun et sauveur de la France. À l'instar de certains traitres à la Patrie, le Maréchal par son action en 1940 a permis à la France de garder son prestige et de préparer la reconquête. Sans lui, la France serait tombée sous le joug total du nazisme. En acceptant la Collaboration , il est entrée aussi en résistance. Emprisonné durant six ans, il meurt chrétiennement il y a 67 ans jour pour jour.

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mardi, 27 mars 2018

Cité Ozanam : la police accueillie aux cris de « Radouane est un héros »

 Publié par Guy Jovelin le 27 mars 2018

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Les premiers éléments d’enquête sur le tueur islamiste ruinent d’emblée la théorie du coup de folie ou de l’acte d’un « radicalisé solitaire », pour reprendre une expression rabâchée. Deux proches de Lakdim ont été arrêtés : sa compagne et un mineur de 17 ans. La compagne est une Française, convertie à l’islam et s’habillant du niqab intégral. Sur internet, elle postait des prières islamistes et interrogeait son réseau pour savoir quelle était la meilleure façon de « passer à l’action ». Apparemment, avec son compagnon, elle a trouvé la « meilleure » façon, ou tout au moins la plus conforme aux directives de l’Etat islamique. Les perquisitions se poursuivent à la cité Ozanam de Carcassonne. Il s’agit notamment de savoir jusqu’à quel degré ces deux complices étaient au courant des détails de l’action projetée par le tueur, dans quelles proportions ils lui ont prêté main-forte et qui, dans la cité, savait. Lakdim fréquentait régulièrement la mosquée. Avec qui a-t-il partagé ses intentions de passer à l’acte ? Qui l’a formé et encouragé ? Qui lui a fourni son armement ? Qui lui a appris à fabriquer des bombes ? La tuerie a été revendiquée par Daesh : sans parler, à ce stade, de véritable réseau, il y a eu pour le moins activation d’une cellule terroriste à la cité Ozanam.

La cité Ozanam, parlons-en : « Ils ont pris le pouvoir », confient des habitants. Qui ça, « ils » ? Les islamistes, les salafistes, les adeptes de Daesh. « Avant, il y faisait bon vivre, maintenant c’est craignos. » Cette notion de zone de non-droit, ce séparatisme islamique, cette palestinisation de certains territoires français, le monde entier est en train d’en découvrir la gravité, l’étendue, à l’occasion de ce crime.

Dissidence collective

On ne peut plus parler de simples complices, dorénavant. Il faut bien parler de dissidence collective : dissidence d’une population qui soutient le tueur ; dissidence d’une population qui ne prend pas position, attendant de voir qui va l’emporter ; dissidence d’une population terrorisée, qui craint pour sa sécurité si elle révèle son refus du séparatisme et du terrorisme. Une situation qui peut rappeler de fort mauvais souvenirs aux anciens d’Algérie.

Le séparatisme, les journalistes qui ont tenté de faire leur métier à la cité Ozanam l’ont touché du doigt : « Radouane est un héros », ont hurlé des « jeunes » face aux journalistes et aux CRS. Il y a donc dorénavant, dans l’Aude, des groupes islamistes, armés, décidés, pour qui assassiner des Français pris au hasard est donc considéré comme un acte héroïque. Ces mêmes « soldats du Califat » ont d’ailleurs fini par boucler leur quartier et l’interdire aux journalistes : « Cassez-vous, je vais vous tuer », a menacé l’un d’eux. « Barre-toi d’ici ou j’te casse les jambes », a éructé un autre, s’en prenant à Yann Bouchez, journaliste au Monde. « Casse-toi, casse-toi, je vais t’éclater ! », hurlait un troisième à l’encontre d’un cameraman de FR3 Occitanie. Un journaliste d’une télévision étrangère a été blessé à la jambe, tandis que les envoyés de BFMTV et de CNN étaient eux aussi menacés. De leur côté, les CRS ont été caillassés…

Sans parler de ce « pied-rouge », le dénommé Stéphane Poussier, cadre de la France Insoumise. Pour ce proche de Mélenchon, la mort d’un colonel de gendarmerie, « c’est le pied » (voir article page 4).

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Extrait de: Source et auteur via lesobservateurs

jeudi, 07 décembre 2017

JOHNNY, UN HEROS ? AVEC MACRON ON EST TOUJOURS DANS L'OUTRANCE !

Publié par Guy Jovelin le 07 décembre 2017

Le Président de la République a qualifié « de héros » mercredi 6 décembre depuis Alger où il se trouve en visite, l’immense vedette Johnny Hallyday, après l’annonce de sa disparition au terme d’une longue lutte contre le cancer. Non, notre Johnny national n’est pas un héros, c’est un monstre sacré du « showbiz », « l’idole des jeunes et des moins jeunes », un talentueux « rocker » qui a électrisé les foules pendant plusieurs décennies. Et nous ferons bien souvent appel à notre mémoire, pour fredonner une ou deux de ses chansons qui ont marqué notre temps.

JOHNNY, UN HEROS ? AVEC MACRON ON EST TOUJOURS DANS L'OUTRANCE !

Mais un héros, c’est un Darnand, celui de 1940, pas de 1943, qui ramène sur son dos, depuis les lignes ennemies, le corps de son officier, c’est un passant qui sauve de la noyade un inconnu ou un pompier qui, se jetant dans les flammes pour en retirer une personne, fait honneur à sa devise, « sauver ou périr ». Emmanuel Macron cultive l’outrance verbale, comme le prouve, coïncidence, sa brutale analyse délivrée  aussi à Alger, lorsqu’il était candidat à la fonction présidentielle, qualifiant la colonisation française de « crime contre l’humanité ». Comme quoi des études très supérieures ne donnent pas forcément un bon brevet en sémantique. 

Certains ont même évoqué comme sépulture carrément, le…Panthéon ! Qu’un hommage national soit rendu à ce « gratte guitare » de génie, soit. Mais là encore, sachons mesure et raison garder. Et le signataire de ce court papier est d’autant plus à l’aise pour l’écrire qu’il se trouve qu’il était, naguère et jadis, il y a longtemps, au siècle dernier, en 1965, dans la même caserne d’Offenbourg (FFA) que le sergent Smet du 43 ème RBIma. 

Et je me souviens d’une folle soirée où, sur le plateau des couleurs, Johnny et Sylvie, hissés sur un châssis de VTT ou d’AMX, je ne sais plus, chantaient en duo devant un public fraternellement mêlé d’Allemands et de Français, de jeunes appelés et de cadres de carrière, képis ou bérets en bataille, bousculés par l’ardeur des spectateurs. 

C’est, je l’avoue, un souvenir inoubliable. Et, avec la mort du célèbre chanteur, avec la disparition du soldat Smet, c’est aussi, pour nous ses contemporains qui partagions les mêmes chambrées, les mêmes réfectoires, un peu à notre propre effacement auquel nous assistons. 

Soldat/guitariste Smet : « présent » ! 

  

  

Jean-Claude ROLINAT

mardi, 14 novembre 2017

Le stupide mépris des ancêtres

Publié par Guy Jovelin le 14 novembre 2017

 
L'Apothéose d'Homère, Ingres, 1827, Musée du Louvre
 

Par  Mathieu Bock-Côté

Cette tribune [11.11] est de celles que Mathieu Bock-Côté donne sur son blogue du Journal de Montréal. Il est vrai que nous reprenons volontiers et souvent ses écrits tant il sont pertinents, proches de nos propres idées, et collent, de façon vivante, intelligente et claire, à l'actualité la plus intéressante. Il s'agit ici de l'arrogance des modernes...  LFAR  

Permettez-moi de méditer un peu sur notre époque et ses travers. Une des choses qui frappe le plus, lorsqu’on pense à nos contemporains, c’est leur immodestie.

Je m’explique. Ils se regardent, ils se contemplent, et ne cessent de s’émerveiller d’être nés à notre époque.

Immodestie

Surtout, ils regardent leurs ancêtres avec mépris et les accablent de tous les maux. L’accusation est connue : ils étaient racistes, sexistes, homophobes et compagnie. Ils étaient fermés sur le monde. Ils étaient ignorants et arriérés. Et on pourrait continuer longtemps cette énumération de reproches. 

Évidemment, si nos contemporains sont capables de faire ainsi le procès de leurs ancêtres, c’est qu’ils se croient moralement supérieurs à eux. Ils se sentent délivrés des anciens préjugés. Ils se voient comme des humains purifiés. 

Cette arrogance des modernes a des conséquences bien réelles sur notre vie collective.

Comment pouvons-nous, par exemple, avoir un minimum de fierté nationale si, au fil des siècles, nous ne parvenons pas à nous voir autrement que comme des salauds ?

Comment admirer les héros de notre histoire si nous ne voyons en eux que des hommes machistes, écrasants, intolérants, ou des femmes dominées, soumises, martyrisées ?

Comment admirer les fondateurs et les explorateurs de la Nouvelle-France si nous les voyons comme des conquérants pillards et racistes venus s’emparer d’un monde où ils n’auraient jamais dû mettre les pieds ?

Fierté

De même, comment pouvons-nous transmettre la culture à l’école si nous croyons qu’elle est contaminée par des préjugés et des stéréotypes dont il faudrait surtout la nettoyer ?

Comment admirer de grandes œuvres littéraires si nous n’y voyons que le reflet d’époques détestables qui se seraient exprimées à travers elles ?

Nous vivons dans un monde qui cultive le stupide mépris des ancêtres. Il éduque ses enfants dans une posture qui les amène à rejeter la civilisation dont ils héritent. Notre monde est suicidaire.  

mercredi, 11 janvier 2017

On a les héros qu'on peut ! Les héros qu'on veut ...

Publié par Guy Jovelin le 11 janvier 2017

 

Mémorial Léon Blum {Israël)

Cambadélis a voté Léon Blum ! Il s'agissait pour lui et pour le PS - ce lundi 9 janvier - de la simulation de vote destinée à vérifier la bonne préparation de la primaire de la gauche : il fallait tester les bureaux de vote, le bon déroulement du vote proprement dit et tutti quanti... Quatre bulletins « d'essai » avaient été imprimés : l'un portait le nom de Léon Blum (choisi, donc, par Cambadélis), ce Léon Blum qui n'a pas su utiliser le temps dont il disposait, avant la guerre, pour armer la France, alors qu'Hitler transformait l'Allemagne en forge de Vulcain ; les trois autres noms étant Jean Jaurès (le pacifiste plus que naïf, qui fit pourtant baptiser ses enfants, et ne renia jamais sa foi chrétienne, en pleine période d'hystérie antichrétienne de la jeune IIIe République...), Colette Audry (très connue dans son immeuble), et la sinistre Louise Michel : vous savez, cette communarde qui mit le feu à Paris, en détruisant des trésors d'art inestimables, notamment le Palais des Tuileries. «Paris sera à nous ou n'existera plus ! », disait-elle, illustrant parfaitement l'esprit révolutionnaire ; et s'inscrivant dans la ligne d'un Carrier, qui déclarait «Nous ferons de la France un cimetière plutôt que de ne pas la régénérer à notre façon ! »

Nous laisserons Jean-Christophe Cambadélis à ses amitiés si surprenantes. Et nous préférerons, puisque nous sommes le 11 janvier, faire mémoire d'une autre personnalité, autrement sympathique, et ô combien plus attachante : le Maréchal de Lattre de Tassigny (mort le 11 janvier 1952). 

Il disait : « A la Grèce, nous devons surtout notre raison logique. A Rome, nos maximes de droit et de gouvernement. Mais à l'Evangile nous devons notre idée même de l'homme. Si nous renions l'Evangile, nous sommes perdus. »

Combien cela nous change d'un Blum ou d'une Louise Michel ! Voilà, certes, un modèle, un ami, bien préférable à ceux de Jean-Christophe Cambadélis !...

Et comme ses mots sonnent juste, au moment où l'Europe subit sa troisième agression par l'Islam : après les deux premières agressions militaires (celle de 711, par l'Espagne et Gibraltar, et celle de 1453, par Constantinople) voici l'agression démographique et mentale, tout aussi dangereuse.

Et pour s'y opposer, quoi ?

Comme le disait Chateaubriand - à qui la phrase de de Lattre fait écho - «Chassez le christianisme et vous aurez l'Islam... »

 

Source : lafautearousseau