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vendredi, 09 novembre 2018

Un Pétain en travers de la gorge

Publié par Guy Jovelin le 09 novembre 2018

par Patrick Parment 

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Alors comme ça, on célèbre le centenaire de l’armistice de la Grande Guerre et on efface du paysage le maréchal Pétain, le vainqueur de Verdun. De Gaulle, Pompidou, Giscard et Mitterrand ne manqueront pas de fleurir sa tombe à l’Île d’Yeu. L’autre crétin de Jacques Chirac le rayera des cadres comme vient de le faire Emmanuel Macron. Macron est à l’image de nos manuels d’histoire de France où ce n’est pas la réalité des faits qui compte mais l’idée que l’on doit s’en faire. Regarder l’histoire de France par l’autre bout de la lorgnette est indigne d’un chef d’Etat. De Chirac, on le comprend d’autant mieux qu’il était aux ordres des lobbies et notamment du lobby juif.  Mais de Macron on aurait pu attendre un peu plus de courage. D’autant que pour les jeunes générations, le nom de Pétain ne dit pas grand-chose. C’eût été pour lui l’occasion de réparer une injustice, celle qui consiste à ne voir en Pétain que l’interlocuteur des Allemands et leur homme lige. Ce qui était loin d’être le cas.

Faut-il rappeler que l’ensemble de la classe politique française en 1940 s’est débinée face à l’ampleur de la défaite en s’empressant de voter les pleins pouvoirs au Maréchal qui, seul parmi les cloportes, croyait encore en la France. Faut-il rappeler que Pétain s’employa à limiter l’asservissement de notre pays aux incessantes demandes allemandes en matière économique et industrielle. Faut-il rappeler que c’est Jean Bichelonne, ministre de l’Industrie, qui empêcha le départ en Allemagne de nos infrastructures industrielles. Ce qui permit à la France, la Libération venue, de relancer, sans coup férir, notre économie. Ce qui ne fut le cas ni de l’Allemagne, ni des pays de l’Est qu’elle avait occupé.

Philippe Pétain fut à la Libération-Epuration ! la victime expiatoire de toutes les lâchetés de notre classe politique, communistes et gaullistes en tête, complices de toujours.

 

Source : synthesenationale

 

mercredi, 15 août 2018

le 15 août 1945 : fin du procès du Maréchal Pétain.

Publié par Guy Jovelin le 15 août 2018

Le Maréchal est condamné à mort, à l'indignité nationale et à la confiscation de ses biens, assortissant toutefois ces condamnations du vœu de non-exécution de la sentence de mort, en raison de son grand âge.

Le Maréchal qui a refusé de répondre et de reconnaître ce tribunal révolutionnaire, se lève et prend la parole :

« Au cours de ce procès, j'ai gardé volontairement le silence, après avoir expliqué au peuple français les raisons de mon attitude.

Ma pensée, ma seule pensée, a été de rester avec lui sur le sol de France, selon ma promesse, pour tenter de le protéger et d'atténuer ses souffrances. Quoi qu'il arrive, il ne l'oubliera pas. Il sait que je l'ai défendu comme j'ai défendu Verdun.

Messieurs les Juges, ma vie et ma liberté sont entre vos mains, mais mon honneur, c'est à la Patrie que je le confie.

Disposez de moi selon vos consciences. La mienne ne me reproche rien, car pendant une vie déjà longue, et parvenu par mon âge au seuil de la mort, j'affirme que je n'ai eu d'autre ambition que de servir la France. »

 

Source : lesalonbeige

lundi, 23 juillet 2018

Le 23 juillet 1951: mort du Maréchal Pétain

Publié par Guy Jovelin le 23 juillet 2018

Le 23 juillet 1951: mort du Maréchal Pétain, chef de l'Etat français, héros de Verdun et sauveur de la France. À l'instar de certains traitres à la Patrie, le Maréchal par son action en 1940 a permis à la France de garder son prestige et de préparer la reconquête. Sans lui, la France serait tombée sous le joug total du nazisme. En acceptant la Collaboration , il est entrée aussi en résistance. Emprisonné durant six ans, il meurt chrétiennement il y a 67 ans jour pour jour.

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mardi, 25 juillet 2017

« Rafle du Vel d’Hiv » : rappel de quelques réalités

Publié par Guy Jovelin le 25 juillet 2017

24 juillet 2017 par admin4

 

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Les politiciens et médias laissent entendre ou disent carrément que l’État français, du Maréchal Pétain, a soutenu et aidé la déportation des juifs français. C’est parfaitement faux, c’est même le contraire.

Les négociations du gouvernement français de l’époque ont visé à empêcher la rafle des juifs français, et de fait, la rafle a concerné presque exclusivement des étrangers et des apatrides.

Rappelons qu’à la fin de la guerre, 95 % des juifs français avaient été sauvés. De nombreuses familles juives sont pleines de gratitude envers le maréchal, mais n’osent évidemment pas trop en parler, du fait du terrorisme intellectuel ambiant.

Ajoutons 4 points importants :

1) L’immense majorité des juifs étrangers qui avait été mise dans des camps l’a été par la IIIe République en qualité d’étrangers. Il serait bon de le rappeler de temps en temps.

2) Le gouvernement français avait proposé aux Etats-Unis d’accueillir les juifs étrangers présents en France. Le gouvernement américain a refusé. S’il avait accepté, il n’y aurait pas eu de rafle du Vel d’Hiv.

3) Selon la convention de la Haye, l’administration française en territoire occupé devait obéir à l’armée occupante, ce qu’elle fit. La rafle du Vel d’hiv a été diligentée par l’armée d’occupation et non par le gouvernement français. Le gouvernement français est intervenu pour que les juifs français ne soient pas déportés, car au mois d’août précédent, des juifs français avaient été raflés et ce sans que le gouvernement français en soit averti.

4) Xavier Vallat (à la tête du  Commissariat général aux questions juives) a prévenu le Docteur Nora de l’imminence d’une rafle en Ile-de-France, ce qui a permis de diviser par 2 le nombre de victimes raflées par rapport à ce qui était prévu par les Allemands.

Des historiens comme Raoul Hilberg, Raymon Aron et surtout Alain Michel, peu suspects de sympathie pour Vichy, l’affirment clairement.

 

Source : contre-info.com

dimanche, 25 juin 2017

C’était un 25 juin…

Publié par Guy Jovelin le 25 juin 2017

25 juin 2017 par admin4


1673 : d’Artagnan, capitaine des Mousquetaires, tombe devant Maastricht. Louis XIV exprimera sa profonde tristesse auprès de la reine.

1804 : exécution, en place de Grève, de Georges Cadoudal, trente-trois ans, dernier chef chouan, en ce jour presque anniversaire du débarquement de Quiberon (27 juin 1795).

Ayant participé à toutes les guerres de Vendée, il est le seul chef chouan à avoir continué le combat, contre Bonaparte.

1940 : le maréchal Pétain s’adresse aux Français dans un discours fameux : « c’est vers l’avenir que, désormais nous devons tourner nos efforts. Un ordre nouveau commence […] Votre vie sera dure.

Ce n’est pas moi qui vous bernerai par des paroles trompeuses. Je hais les mensonges qui vous ont fait tant de mal. La terre, elle, ne ment pas. Elle est devenue notre recours. Elle est notre patrie elle-même. Un champ qui tombe en friche, c’est une portion de la France qui meurt. Une jachère de nouveau emblavée, c’est une portion de la France qui renaît […] Notre défaite est venue de nos relâchements. L’esprit de jouissance détruit ce que l’esprit de sacrifice a édifié. C’est à un redressement intellectuel et moral, que, d’abord, je vous convie ». Le matin même, il avait entendu l’archevêque de Bordeaux, Maurice Feltin, déclarer dans son homélie : « si nous avons été battus, c’est que peut-être nous n’étions plus suffisamment soutenus, au fond de nos âmes, par ce triple idéal que sont trois grandes réalités : Dieu, la Patrie, la Famille. »

 

Source : contre-info.com