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mercredi, 01 mars 2017

Et le Carême ?

Publié par Guy Jovelin le 01 mars 2017

par 1 mars 2017

Comme chaque année, alors que le Ramadan est annoncé en boucle dans tous les médias, à toute heure et sur toutes les ondes, le temps du Carême qui débute en ce Mercredi des Cendres est à peine évoqué voir totalement oublié.
 
Cet oubli, loin d’être le fruit du hasard, s’inscrit dans un processus toujours plus croissant de déchristianisation-islamisation de notre pays, tout cela, bien sûr, au nom de la sacro-sainte laïcité.
 
Cette laïcité qui permet la multiplication des constructions de mosquées-cathédrales pendant que de nombreuses églises sont détruites.
Cette laïcité qui autorise l’occupation illégale de rues pour permettre aux islamistes d’y prier.
Cette laïcité qui accepte que des horaires réservés aux femmes soient aménagés dans des piscines pourtant publiques.
Cette laïcité qui supprime le porc de certaines cantines scolaires et impose la viande halal un peu partout à l’insu des consommateurs.
Cette laïcité qui hurle lorsque des tombes et édifices musulmans sont profanés, mais qui se tait immédiatement lorsque de mêmes exactions frappent les communautés chrétiennes !
 
Tout cela n’est pas étonnant de la part d’une classe politique inconsciente et suicidaire, qui est allée jusqu’à refuser toute référence aux racines chrétiennes de l’Europe dans la funeste Constitution Européenne …
 

mardi, 18 octobre 2016

Manuel Valls: « L’islam est une part indissociable de nous-mêmes, de notre culture »

Publié par Guy Jovelin le 18 octobre 2016

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Lors d'un discours à Evry, le Premier ministre a assuré aux musulmans de France que la laïcité était là "pour les protéger", tentant de gommer l'une des phrases polémiques du livre-confession de François Hollande, qui avait évoqué "un problème avec l'islam".

La laïcité "n'est pas dirigée" contre les musulmans mais est là pour "les protéger", a assuré lundi soir le Premier ministre Manuel Valls, en affirmant que l'islam était "une part indissociable de notre culture et désormais de nos racines". Le Premier ministre, qui a clos à Evry un discours aux tonalités consensuelles en disant que la France avait besoin de "rassemblement et d'espérance", s'est aussi efforcé de gommer une des phrases polémiques du livre-confession de François Hollande, en affirmant que "l'islam n'était pas le problème".

Dans un discours où il a évité de faire référence à ses positions contestées par une partie de son camp, sur le voile ou leburkini, Manuel Valls a défendu la laïcité comme une spécificité française, "le supplément d'âme" du pays. Il s'est longuement posé en protecteur des musulmans face aux discours "populistes", appelant de ses voeux un "islam de France débarrassé de son poison salafiste".

L'islam de France, comme toutes les religions, a toute sa place en FranceManuel Valls

"Face à ce déchaînement qui vise toujours à pointer du doigt, à trouver des boucs émissaires, moi je veux m'adresser directement (...) aux millions de musulmans français, qui pratiquent leur culte dans le respect le plus absolu des valeurs de la République", a-t-il expliqué.

"L'islam de France, comme toutes les religions, a toute sa place en France, a lancé le locataire de Matignon. C'est le fait de notre Histoire (...), de notre immigration qui a été et reste une chance pour notre pays. L'islam est une part indissociable de nous-mêmes, de notre culture et désormais de nos racines."

Manuel Valls: L'Etat que j'incarne est là aux côtés des musulmans 

"L'islam certes rencontre et pose des défis considérables à nos sociétés mais il n'est pas LE problème, (...) il n'est pas le problème qui poserait toutes les difficultés au pays", a-t-il dit. Cette phrase sonne comme un écho à une des phrases polémiques de François Hollande citée dans le livre Un président ne devrait pas dire ça..., où le président affirme qu'"il y a un problème avec l'islam", ce dont "personne ne doute".

Pourfendant les "amalgames insupportables" mais aussi "les pressions intégristes et la violence de l'islamisme radical", Manuel Valls a voulu dire aux musulmans, "du fond du coeur, et avec une part d'émotion, que la laïcité n'est pas dirigée contre eux, mais au contraire là pour les aider, pour les protéger. L'Etat que j'incarne est là à leurs côtés", a-t-il affirmé.

Source

mardi, 07 juin 2016

ENTRETIEN AVEC THOMAS JOLY POUR LE SITE GAUCHO-DÉCADENT « VICE »

Publié par Guy Jovelin le 7 juin 2016

Interrogé par un journaliste de Vice avec d'autres personnalités nationalistes et patriotes, voici les réponses qu'il a bien voulu publiées.

Entretien avec Thomas Joly pour le site gaucho-décadent « Vice »«La dérive idéologique du FN est une gauchisation du discours. C'est une dédiabolisation obsessionnelle de la part de Marine Le Pen, qui a abouti à ce que le FN devienne un parti "comme les autres" et abandonne des pans entiers des valeurs traditionnelles de la droite nationale. Notamment en ce qui concerne l'immigration. Il n'y a plus au FN de projet d'inversion des flux migratoires extra-européens, mais la volonté d'assimiler plus de 15 millions d'Afro-maghrébins dans une France apaisée, voilà le discours actuel de Marine Le Pen. »

« Il y a une islamisation de la France, qui constitue un projet politique de conquête, et qui va s'avérer être un énorme problème, puisque l'Islam régit toute la vie en société. Les règles de l'État vont peu à peu se transformer en règle islamique, puisque les musulmans sont tenus de suivre la loi islamique, c'est-à-dire la charia. De par leur nombre, il est évident qu'il y a un danger que certaines parties du territoire tombent sous le joug islamique. »

« Il faut renvoyer la majeure partie des Extra-Européens dans leur pays d'origine. C'est réalisable. Les Français d'Algérie ont été priés de quitter l'Algérie : on leur a donné le choix entre la valise ou le cercueil. J'espère qu'on ne sera pas obligé d'en arriver là, mais il est tout à fait possible de faire remigrer ces populations. Il faudra aussi revenir sur la nationalité des binationaux, c'est-à-dire déchoir de la nationalité française tous ces Français de papier naturalisés à tour de bras par tous ces gouvernements pendant des décennies... Des gens qui ne sont toujours pas assimilés à la population française, parfois au bout de trois générations. »

« La République est un cadre institutionnel qui régit la société française, mais on a essayé de la sacraliser. La République est simplement un régime, à bout de souffle. Nous nous plions aux règles de la Ve République, mais elle doit s'adapter à la situation. »

« Les valeurs familiales ne sont plus défendues par personne, puisque Marine Le Pen a refusé de s'engager dans la lutte contre le mariage homosexuel. De notre côté, nous abrogerons cette aberration que constitue le mariage homosexuel. Nous créerons un statut de mère de famille française, qui recevra un salaire parental dès le premier enfant, nous aurons une politique volontariste en matière de natalité pour que les Français aient plus d'enfants, et nous pratiquerons une promotion du droit à la vie. Actuellement nous en sommes à 220.000 avortements par an – nous garantirons le droit à la vie pour les enfants à naître de manière à mettre un terme à cette boucherie que constitue le droit à l'avortement. »

« Nous considérons que la France est la fille aînée de l'église. Nous savons aussi que la laïcité a permis l'islamisation de la France, en formulant que toutes les religions se valent. C'est comme ça que l'islamisation de la France a pu progresser, accompagnée d'un anti-catholicisme véhiculé par la gauche, qui a pour objectif de déchristianiser la France. Nous voulons que la religion catholique redevienne la religion de la France. Pas forcément la religion d'État, mais la religion principale de la France. »

Pour retrouver le reportage complet, c'est ici : http://www.vice.com/fr/read/haines-extreme-droite-francaise

 

Source : parti-de-la-france

samedi, 20 février 2016

Qu’est-ce qui est vraiment en cause : la laïcité ou bien l’autorité ?

Publié par Guy Jovelin le 20 février 2016

laicitéinchallah

Ce n’est pas le refus de la laïcité qui nous tue, c’est notre lâcheté !

L’école hier, aujourd’hui l’hôpital : tous les jours, les « institutions » de la République et leurs représentants (pompiers, policiers, magistrats) sont en butte à une contestation de plus en plus décomplexée et même revendiquée de ce qui fait les fameuses « valeurs de la République ». Celles que, par ailleurs, on nous serine tant – en tête, la laïcité. Alors on pond des textes, des manuels, des « aides à… », des chartes, comme celle qui est proposée aujourd’hui aux hôpitaux français.

Des textes au kilomètre, depuis des années, et qu’on se garde bien d’appliquer, la France étant ce pays fort prétentieux où l’« on ne cesse de voter des lois au nom des grands principes qu’on refuse d’appliquer au nom des grands sentiments ».

Christian de Moliner rapportait fort bien ici même, hier, les résultats de l’enquête (c’est-à-dire les faits) qui ont conduit nos crânes d’œuf à rédiger ce nouveau Guide de l’Observatoire de la laïcité censé porter assistance à des hospitaliers qui n’en peuvent, mais. Foutaise, une fois de plus, car le mal qu’on a laissé métastaser dans tous les rouages de nos vies est devenu intraitable.

Interrogée jeudi matin par Yves Calvi sur RTL, Isabelle Lévy, conférencière et auteur de Menaces religieuses sur l’hôpital, ne cachait pas sa fureur face à cette mesure de pure façade. Tout d’abord, si le guide s’appuie en grande partie sur ses travaux, on s’est bien gardé de la consulter ! « Ils ont peur de la vérité », dit-elle. Une vérité bien plus dérangeante que ce qu’on nous raconte. Ainsi, rappelle Isabelle Lévy, « on a déjà sorti une circulaire en 2005 à propos du respect de la laïcité dans le milieu hospitalier. Aujourd’hui, cette circulaire n’est pas appliquée parce qu’elle n’est pas connue. Et même si elle l’est, les directeurs comme les personnels d’encadrement ont peur des représailles et ne l’appliquent pas. »

Car si l’on connaît à peu près tous, désormais, les exigences d’un public de plus en plus difficile à gérer (refus de se laisser soigner par un homme, tabous sur la nourriture, omniprésence des familles, violences, etc.), on se garde bien de dire que le problème devient aussi alarmant côté personnels ! Des gens qui posent leurs conditions lors de l’entretien d’embauche et auxquels on cède par manque de personnel à recruter.
Alors, on passe même sur les impératifs d’hygiène : « Vous avez de nombreuses femmes qui travaillent avec des manches longues dans les services, ce qui est absolument interdit. Et les chefs de service se taisent, car ils ont peur des représailles. Certaines infirmières disent : “Je ne vais rien dire, sinon j’ai peur de me faire tabasser sur le parking.” On en est là ! » Une auditrice évoque ainsi au téléphone l’aide-soignant qui a refusé de l’aider à se déplacer au lendemain d’une opération : il ne voulait pas toucher une femme.

Quand on en est là, le problème n’est pas la laïcité, le manque d’aumôniers ou le nécessaire recours aux psys (sic) pour contraindre des fanatiques à accepter ce que des présupposés religieux leur interdiraient. Il est dans la déconfiture d’une société qui ne sait plus ce qu’est le droit, le juste, le sensé ; qui surtout ne veut plus l’imposer. Une société que le seul mot d’autorité fait trembler, terrifiée qu’elle est par son ombre et les fantasmes d’une histoire erronée qu’elle traîne à ses basques. Au nom des libertés individuelles et du relativisme culturel, nous battons en retraite depuis des décennies, laissant pousser des générations hors de toute contrainte.
Ce n’est pas le refus de la laïcité qui nous tue, c’est notre lâcheté !

Marie Delarue

vendredi, 20 novembre 2015

CRÈCHES INTERDITES: «MOINS DE CHRISTIANISME, PLUS DE LAÏCISME, LA PIRE RÉPONSE AUX ATTENTATS»

Publié par Guy Jovelin le 20 novembre 2015

Notre pays vient d'être marqué par les attentats les plus dramatiques de son histoire. Les barbares de l'Etat Islamique ont déclaré la guerre à la France. Ils rassemblent dans une même haine notre culture, notre liberté, notre art de vivre, notre démocratie… mais aussi, si nous prenons le temps de lire leur revendication, la foi chrétienne qui est indissociable de l'histoire et de l'identité de notre pays.


Crèches interdites: «Moins de christianisme, plus de laïcisme, la pire réponse aux attentats»

Paris, «capitale qui porte la bannière de la croix en Europe» était visée, au cœur d'un pays de «croisés». Les mots sont clairs.

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