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dimanche, 29 juillet 2018

Un évêque catholique dénonce : « Derrière les migrants, il y a un plan pour modifier l’Europe. »

Publié par Guy Jovelin le 29 juillet 2018

C'est l'avis de l'évêque auxiliaire Athanasius Schneider. Un plan qui aurait même été "préparé depuis longtemps". Il a déclaré que la migration massive d'Afrique et d'Asie vers l'Europe ces dernières années fait partie d'un plan visant à changer l'identité chrétienne de l'Europe.

Mgr Athanasius Schneider, 57 ans, a déclaré la semaine dernière à un journaliste de "Il Giornale" à Milan que "le phénomène appelé "immigration" représente un plan orchestré et préparé depuis longtemps par les puissances internationales pour changer radicalement l'identité chrétienne et nationale des peuples européens."

Selon l’évêque Schneider, les agents mondialistes sont déterminés à éradiquer le christianisme en Europe et en Occident. L’une de leurs principales tactiques consiste à inonder les pays européens de migrants afin de diluer la base chrétienne et de changer radicalement la culture et l’identité nationale.

"Ces puissances utilisent l'énorme potentiel moral de l'Eglise et ses structures pour atteindre plus efficacement leur but antichrétien et anti-européen", a-t-il déclaré.

"A cette fin, ils abusent du vrai concept de l'humanisme et même du commandement chrétien de la charité. "

Interrogé à propos du nouveau ministre de l'Intérieur euro-sceptique, Matteo Salvini, l'évêque a déclaré qu'il ne connaissait pas bien la situation politique de l'Italie, mais qu'il saluait toute tentative d'un gouvernement européen mettant l'accent sur sa souveraineté et sur l'identité historique, culturelle et chrétienne, "contre" une sorte de nouvelle Union soviétique liée à une idéologie clairement maçonnique": l'Union européenne.

(...)

 

Source Source2 Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

vendredi, 23 février 2018

Viktor Orbán : « Le dernier espoir de l’Europe est le christianisme »

Publié par Guy Jovelin le 23 février 2018

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Dans un entretien publié le 19 février dans le journal allemand Tagesspiegel, le ministre des Affaires étrangères du Luxembourg s’en est à nouveau pris au premier ministre hongrois Viktor Orbán qu’il a comparé à un dictateur. Ceci parce que dans son discours de dimanche sur l’état de la nation, Orbán a évoqué le projet de loi de son gouvernement intitulé « Stop Soros ». En vertu de cette loi, a-t-il dit, « nous affecterons à la défense de la frontière une partie des fonds reçus par les ONG pro-migrants – que nous considérons comme de fausses organisations de la “société civile” –, nous les soumettrons à un audit financier complet, et celles qui ne cesseront pas leurs activités néfastes seront tout simplement interdites – aussi puissantes et riches qu’elles soient ».

Mais ce ne sont pas les seuls propos qui ont irrité le petit Luxembourg, et sans doute pas que lui parmi nos élites européennes mondialistes et immigrationnistes. En effet, l’homme d’Etat hongrois, parlant des grands défis auxquels sont confrontés ses concitoyens, a été tout sauf politiquement correct : « Le danger qui nous menace vient des politiciens de Bruxelles, Berlin et Paris. Ils veulent que nous adoptions les politiques qui ont fait de leurs pays des pays d’immigration et qui ont ouvert la voie au déclin de la culture chrétienne et à l’expansion de l’islam. »

Cela ne veut pas dire pour autant que la bête noire des salons mondialistes bruxellois soit abattue, bien au contraire : « Nous sommes maintenant au bord de la victoire. Les pays du groupe de Visegrád sont inébranlables. Le monde orthodoxe reste ferme et il semble que la Croatie soit revenue à la raison. L’Autriche s’est maintenant tournée vers le patriotisme et le christianisme. En Bavière, une résistance spirituelle et politique s’est développée sous la direction de la CSU. » Pire encore pour les gens de la trempe du ministre luxembourgeois, Orbán a dit les mots qui fâchent : « Osons affirmer que nous pensons, nous, que le dernier espoir de l’Europe est le christianisme » (discours traduit par le site Visegrád Post).

Face à cet impudent, M. Asselborn voudrait que la Commission européenne lance une procédure de sanction contre la Hongrie comme elle l’a fait récemment avec la Pologne. Va-t-il aussi bientôt demander la même chose pour l’Autriche ? La nouvelle ministre des Affaires étrangères autrichienne, Karin Kneissl, choisie par le FPÖ, reprochait il y a une semaine à Merkel d’avoir, par sa politique, littéralement appelé les immigrants du Moyen-Orient à venir en Europe ?

En tout cas, la réponse de l’homologue hongrois d’Asselborn, Péter Szijjártó, ne s’est pas fait attendre. Szijjártó a rappelé au Luxembourgeois qui n’a que les valeurs européennes à la bouche ce que ces valeurs européennes impliquent : de respecter les accords européens, et donc aussi l’accord de Schengen qui impose de contrôler les frontières extérieures du bloc. Il lui a aussi rappelé que la défense des valeurs européennes nécessite de maintenir la sécurité en Europe, ce que fait la Hongrie en empêchant l’entrée d’immigrants clandestins. D’autres pays, malheureusement, refusent toujours de se dégager de leurs obligations dans ce domaine, d’où cette menace venant de Bruxelles, Berlin et Paris évoquée par Viktor Orbán.

 

Cet article Viktor Orbán : « Le dernier espoir de l’Europe est le christianisme » est apparu en premier sur Présent.

 

Extrait de: Source et auteur via lesobservateurs

mardi, 12 décembre 2017

Mélenchon exploite les funérailles de Johnny Halliday pour une nouvelle charge haineuse contre le christianisme

Publié par Guy Jovelin le 12 décembre 2017

 Auteur : 

Le franc-maçon Jean-Luc Mélenchon vient de démontrer une fois de plus sa haine viscérale du christianisme. La simple présence d’Emmanuel Macron, président de la république, à la « messe » de funérailles du chanteur Johnny Halliday a fait l’objet de ce message haineux de Mélenchon.

Le message de Mélenchon est d’autant plus inapproprié que cette cérémonie, bien que se déroulant dans une église, ne ressemblait en rien à une messe, même si c’est ainsi qu’elle fut présentée. Quant à Emmanuel Macron, même devant le cercueil du chanteur, il s’est bien gardé de faire le moindre signe de croix.

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Il faut être d’une mauvaise foi crasse pour tenter insidieusement de faire passer Macron pour un chrétien, lui qui fait de sa cérémonie de victoire électorale un véritable rituel para-maçonnique.

Remarquons que ce Mélenchon, qui mime en permanence Robespierre, ne trouve rien à redire au fait que les membres du gouvernement et des institutions parlementaires se succèdent très officiellement dans les loges maçonniques.

macron-pyramide.jpg

Il serait pourtant grand temps que l’on sépare la secte maçonnique et l’Etat !

 

Source : medias-presse.info

jeudi, 23 novembre 2017

Quand Wallerand de Saint-Just se positionne à gauche de… Manuel Valls en matière d’immigration

Publié par Guy Jovelin le 23 novembre 2017

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et met l’islam au même niveau que “toutes les religions” dont, on imagine, le christianisme :

 

 

 

Non, M. @manuelvalls, il n’y a pas un « problème des musulmans », il y a les problèmes que pose l’Islam à la société française et que les responsables politiques doivent traiter comme ils doivent traiter les conséquences de l’existence de toute religion twitter.com/rtlfrance/stat

 

Source : ndf

jeudi, 21 septembre 2017

Discours de rentrée de Viktor Orbán : christianisme et identité contre libéralisme occidental

Publié par Guy Jovelin le 21 septembre 2017

  

Hongrie, Budapest – Pour la rentrée parlementaire, le Premier ministre conservateur Viktor Orbán a de nouveau tenu des propos forts et a annoncé la couleur pour les derniers mois de ce mandat.

Mi-septembre, pour la rentrée parlementaire, Viktor Orbán a tenu deux discours qui se complètent. Le premier discours a eu lieu devant un parterre d’intellectuels chrétiens invités au parlement, parmi lesquels le cardinal de Hongrie Péter Erdő, sur la même ligne que le gouvernement concernant la migration.

Durant son allocution, M. Orbán a estimé que l’adoption par la Hongrie et l’Europe centrale du “libéralisme occidental signifierait un suicide spirituel pour les centre-européens”. Selon l’homme fort de Budapest, cela signifierait pour l’Europe centrale de “devenir des sociétés mixes de notre vivant, balayant ainsi irréversiblement nos identités nationales et chrétienne”.

Le Premier ministre hongrois a ensuite nommé le coupable pour ce projet de transformation radical des sociétés européennes. “Ce programme de transformation des pays en pays d’immigration est communément désigné sous l’appellation de Plan Soros”, du nom du spéculateur milliardaire et activiste multiculturaliste de citoyenneté hongro-étatsunienne George Soros. “Ce plan décrit exactement comment tourner des pays récalcitrant d’Europe centrale à l’immigration en pays d’immigration”, a-t-il continué.

Mais parlant toujours au nom de l’Europe centrale, Viktor Orbán ne s’est pas montré découragé. “Mais nous savons bien sûr ce que nous avons à faire : joindre nos forces, agir ensemble et ne laisser personne pénétrer nos défenses”.

Le Premier ministre a conclu en appelant tout patriote et chrétien à donner son avis lors de la prochaine consultation nationale sur le Plan Soros, rappelant qu’il “vaut la peine de donner un plus grand pouvoir et une plus grande autorité que jamais à ceux qui sont prêts à défendre le futur de la Hongrie chrétienne”, et que le gouvernement hongrois y était prêt.

Quelques jours plus tard, Viktor Orbán tint son deuxième discours de rentrée, cette fois devant le parlement réuni. Après avoir abordé des questions de politique intérieure, le Premier ministre hongrois a abordé encore une fois la question migratoire, le Plan Soros et l’aspect civilisationnel de ces positions politiques.

Selon Viktor Orbán, “l’ancien ordre mondial économique et politique est terminé et un nouvel ordre mondial vient, et on ne peut l’empêcher”. La mise en place de ce “nouvel ordre mondial” est responsable des grands mouvements de population actuels, selon M. Orbán. Et ces migrations vont de pair avec “la nouvelle offensive mondiale d’une des religions principales, l’Islam”.

Concernant les vagues migratoires vues à ce jour, il ne s’agissait “que de l’échauffement”. Selon Viktor Orbán, les informations fournies par l’OTAN font état de 60 millions de personnes en Afrique se mettant en route d’ici 2020 vers l’Europe. Il accuse donc la politique migratoire de Bruxelles d’être ainsi responsable des “actes terroristes devenus hebdomadaires, de la dramatique chute de la sécurité publique, et du changement visible à l’œil nu du visage démographique, religieux et culturel de l’Europe”.

“C’est de cela que nous voulons préserver la Hongrie, l’Europe centrale, et si cela est encore possible, toute l’Union européenne,” a déclaré Viktor Orbán. Selon le Premier ministre hongrois, la politique migratoire détermine à l’heure actuelle deux camps au sein de l’Union européenne.

D’un côté, les pays qui “invitent voire organisent la venue […] de peuples invasifs”, devenus des “pays mixés”. Rappelant que les données indiquent “une croissances des populations “non-chrétiennes et une décroissance des Chrétiens”, le Premier ministre fait un sous-entendu fort en concluant sa phrase par un laconique “le reste n’est que mathématique simple pour en connaître l’issue”.

De l’autre, les pays opposés à l’immigration, tel que la Hongrie, qui tiennent à “leur sécurité, leur mode de vie, leurs identités nationales et religieuses”, avant d’ajouter que “nous voulons une Hongrie hongroise, et en soupirant nous disons, que nous souhaiterions aussi une Europe européenne”.

Ainsi pour Viktor Orbán, l’avenir de l’Union européenne repose sur la possibilité pour ces deux groupes de pays de s’entendre sur un nouvel ordre en Europe pour cohabiter, ce qui ne serait possible “qu’en respectant les volontés démocratiques de chacun”.

Mais pour le moment, les pays d’immigration suggèrent comme solution à cette rupture entre pays pro et anti-immigration, que “les pays refusant l’immigration l’acceptent. Sans quoi ils nous agressent, et nous y contraignent. C’est de cela qu’il s’agit dans l’affaire des quotas obligatoires […]. C’est ce que j’appelle le Plan Soros,” a conclu le Premier ministre, réitérant l’importance stratégique de son opposition à cette menace identifiée et nommée, accusant les bureaucrates bruxellois de manger dans la main de l’influent milliardaire.

 

Source : visegradpost