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samedi, 27 octobre 2018

Marseille – Le château Saint Antoine transformé en centre maçonnique

Publié par Guy Jovelin le 27 octobre20418

Inauguré au mois de juin par Philippe Charuel, Grand Maître de la Grande Loge de France (GLDF) et Jean-Claude Gaudin, maire de Marseille, le « Château Saint Antoine », entièrement rénové – et agrandi – pour un montant de sept millions d’euros, contient neuf temples maçonniques et sert depuis quelques semaines aux réunions de 70 loges maçonniques de la région.

Le château Saint Antoine date du XVIIIe siècle. C’est le fameux « château de ma mère » de Marcel Pagnol. Il a également servi de lieu d’entraînement du GIGN dans les années 1990.

Nouvelle vitrine de la franc-maçonnerie marseillaise, le château Saint Antoine dispose désormais d’un Restaurant Saint Antoine, où les francs-maçons peuvent venir déjeuner, y compris accompagnés de non-initiés. Méfiance, donc, si quelqu’un vous invite à y déjeuner.

 

Source : medias-presse.info

jeudi, 04 octobre 2018

Le terroriste immigré clandestin qui a tué leurs filles aurait dû être expulsé : les parents de Mauranne et Laura attaquent l’État en justice

Publié par Guy Jovelin le 04 octobre 2018

Par  le 03/10/2018

 

Il y a un peu plus d’un an, Mauranne et Laura, âgées de 21 et 20 ans, avait été sauvagement assassinées à l’arme blanche sur le parvis de la gare Saint-Charles à Marseille. L’auteur de cette attaque, Hamed Hanachi, 29 ans, avait été abattu quelques instants plus tard, mortellement touché par les balles d’un militaire de l’opération Sentinelle.

Depuis, une enquête a été ouverte, mettant en évidence certains dysfonctionnements des services de l’État. Mais selon les informations de M6, Sylvie et Dominique Harel, les parents de Mauranne, ainsi que Fabrice et Pascale Paumier, parents de Laura, ont annoncé vouloir attaquer ce jeudi les institutions de l’État au tribunal administratif de Lyon. « Nous avons l’impression que l’État cherche à minimiser sa responsabilité en ne parlant que de ‘dysfonctionnements graves du dispositif d’éloignement’. Pour nous, il s’agit d’une véritable faute avérée« , ont-ils affirmé auprès de nos confrères.

mercredi, 02 mai 2018

Marseille : Une mosquée salafiste installée sur un terrain municipal

Publié par Guy Jovelin le 02 mai 2018

Par  le 01/05/2018

 

La mosquée salafiste des Caillols, située dans le XIIe arrondissement de Marseille, sur un terrain municipal, est surveillée par la DGSI. Arrosée de subventions, elle se trouve sur un terrain appartenant à la commune.

Vendredi 20 avril, El Hadi Doudi, l’imam salafiste connu pour ses prêches radicaux et haineux à la mosquée As-Sounna, située en plein coeur de Marseille, a été expulsé vers l’Algérie. Par un arrêté du 11 décembre, la fermeture de la mosquée a été ordonnée par la préfecture des Bouches-du-Rhône. Reste que l’imam algérien jouissait d’une grande influence et avait la mainmise sur au moins 17 mosquées du département. Dont celle des Caillols, située dans le XIIe arrondissement. Une mosquée aujourd’hui qualifiée de salafiste et surveillée comme telle par la DGSI.

Avant de se transformer en mosquée et même d’abriter une école coranique clandestine, le bâtiment était dédié à une association sportive, Jeunesse 11/12, à destination des gamins des quartiers. La structure avait été bâtie en 2005 sur un terrain appartenant à la Mairie, et l’association bénéficiait alors d’un bail emphytéotique de soixante ans, pour un loyer dérisoire de 30 euros, et de multiples subventions (394 800 euros du conseil régional et 51 000 euros de la Mairie). Jusqu’à sa mutation en association cultuelle, Les Jardins de la paix, en 2014 et, six mois plus tard, en mosquée, inaugurée en toute discrétion par Valérie Boyer, députée LR des Bouches-du-Rhône alors maire du 6e secteur de la cité phocéenne.

« La mosquée salafiste des Caillols a pu prendre racine sur un terrain municipal, arrosée de subventions et en violation totale de la loi de 1905 ! », s’insurge la conseillère municipale des XIe et XIIe arrondissements de Marseille, Élisabeth Philippe, qui s’est autosaisie du dossier. Après des courriers adressés aux préfets de région et de police, elle attend une réponse à celui envoyé début avril au ministre de l’Intérieur.

Valeurs Actuelles via fdesouche

samedi, 27 janvier 2018

Le cas Karim Zéribi : le juteux business du vivre-ensemble

Publié par Guy Jovelin le 27 janvier 2018

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Il s’appelle Karim Zéribi. C’est le champion marseillais du « vivre-ensemble ». Il a été chargé de mission auprès du ministre Chevènement. Il a été candidat socialiste ou écologiste dans les quartiers nord. On l’entendait souvent dans l’émission d’Olivier Truchot, « Les Grandes Gueules », sur radio Monte-Carlo. A présent, on l’entend souvent devant les tribunaux. Il est aujourd’hui gravement mis en cause pour abus de confiance et abus de biens sociaux.

C’est que le vivre-ensemble est un fabuleux business. Zéridi, qui est malin, a compris très jeune comment marchait le système. Il s’est inscrit au Parti socialiste, a créé toutes sortes d’associations, attrape-gogos et attrape-monnaie, comme « le parlement des banlieues », « Agir pour la citoyenneté » etc. Ces associations ont décroché des subventions de toutes natures. Pensez, c’était pour le vivre-ensemble ! Il faut « faciliter l’accès des habitants des quartiers populaires et des jeunes à la citoyenneté », proclamait Zéribi à qui voulait l’entendre. Et il fallait surtout faciliter cet accès à un habitant des quartiers populaires, un jeune : lui-même.

Car cet argent collecté, ces subventions énormes du conseil régional, du conseil général, de mairies, d’entreprises même, semblent avoir surtout été utilisées à son profit personnel. C’est ce que, pudiquement, les contrôleurs ont appelé la création d’un « clientélisme politique ». Zéribi se comportait comme un politicien d’Afrique noire, façon République Démocratique du Congo de Kabila, par exemple. Un billet par-ci, un billet par-là, la famille rémunérée pour coller les affiches du parti etc.

Il faut dire qu’en jouant la carte du PS marseillais, ainsi que celle des écologistes, il était tombé dans un sacré panier de crabes, et ne bénéficiait pas de l’exemple de ses ainés pour ce qui est de l’intégrité.

Il était le « vivre-ensemble » fait homme !

L’acte d’accusation est rempli d’exemples d’utilisation des fonds pour permettre le « vivre-ensemble » sur un grand train de vie, pour Karim Zéribi et son clan. Néanmoins, quand il allait frapper à la porte du conseil général, il bénéficiait toujours d’une oreille attentive et complaisante de la part de l’ex-caïd socialiste local, Jean-Noël Guérini qui, indirectement, tirait parti de ce « vassal » stipendié. Un exemple parmi tant d’autres : le 13 novembre 2007, il vient demander 50 000 euros pour son association du vivre-ensemble. Le 30 novembre, il repart avec un chèque signé de Guérini. Même les fonctionnaires du conseil général, qui en avaient pourtant vu d’autres, n’en revenaient pas ! Vous pourriez, vous, frapper à la porte d’un conseil général, au nom de n’importe quelle association douteuse ou même réellement caritative, et repartir avec un tel chèque ? Zéribi y arrivait sans problème. Il était « l’Arabe de service » du PS, le « vivre-ensemble » sur pattes, le « vivre-ensemble » fait homme.

Après une dizaine d’années de gabegies, il a été « fait aux pattes », précisément. Il va vraisemblablement passer devant le tribunal correctionnel, après enquête du Parquet de Marseille. Cinq de ses complices et commensaux devraient être de la charrette des condamnables.

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Extrait de: Source et auteur

lundi, 02 octobre 2017

POUR ÉRADIQUER LE TERRORISME ISLAMIQUE, DÉCOLONISONS ET DÉSISLAMISONS LA FRANCE !

Publié par Guy Jovelin le 02 octobre 2017

Le Parti de la France

 
Lundi 2 Octobre 2017
13:44