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jeudi, 21 février 2019

Marseille : rixe lors du tournage de la série « Plus belle la vie », gentil est timide « Rachid n’avait pas toute sa tête… mais avait un couteau »

Publié par Guy Jovelin le 21 février 2019
Par  le 20/02/2019
 

Ce jour-là, le tribunal s’est mué, bien malgré lui, en scène de crime. Alors que des magistrats se retiraient pour délibérer sur quelque affaire d’importance, ils allaient assister, depuis la fenêtre du palais, à une agression au couteau. La même agression qui se déroulait place Monthyon (6e), le 19 décembre dernier, devant les caméras de Plus belle la vie. L’auteur des faits n’avait convoqué personne. C’est lui qui s’était convoqué tout seul sur la scène de Plus belle la vie.

Un cameraman qui, fort heureusement, faisait encore la différence entre la fiction et la réalité, est allé quérir un policier des geôles du palais pour lui dire que l’heure était grave et qu’un homme avait l’avant-bras en sang. Tout ce beau monde s’en est retourné place Monthyon. Et la scène de crime confirma que Plus belle la vie s’était effectivement arrêtée de tourner. On n’était pas au spectacle. Ou plutôt on était au spectacle de la vraie vie. Celle de la folie des hommes et de leurs caprices ordinaires.

« Il s’est blessé tout seul ! »

Rachid Dib, 34 ans, n’avait pas toute sa tête. C’est ce que l’on a déduit très vite. Pas toute sa tête, mais un couteau dans la main, prêt à faire mal. Très mal. Un couple qui passait par là n’a pas vraiment eu le temps d’esquiver le coup. Le mis en cause a longtemps prétendu que c’était l’homme du couple qui l’avait regardé de travers, vieux démon marseillais qui permet de trouver réponse à tout, y compris au pire. « Il s’est blessé tout seul. Moi, je sais pas ! » a-t-il argué hier à la barre du tribunal qui le jugeait. Un policier hors service a lui aussi assisté à la scène. Il a raconté que l’homme de forte corpulence avait crié « Allah Akbar ! », après s’être mis à genoux, comme s’il priait, a rappelé hier la présidente du tribunal Karine Sabourin.

[…]

La Provence via fdesouche

vendredi, 15 février 2019

Marseille : 3 racailles qui se font passer pour des policiers écopent seulement d’une amende de 135€ !

Publié par Guy Jovelin le 15 février 2019

Auteur : Pierrot
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Incroyable ! 3 racailles (probablement des allogènes) se servent d’un gyrophare, prennent en chasse une voiture, arrêtent son conducteur et se font passer pour des policiers de la BAC; ils écopent de seulement 135€ d’amende. Pas de prison avec sursis, pas de travaux d’intérêt généraux, seulement 135€ ! C’est moins qu’un stationnent gênant à paris…

France Bleu : « C’est un sketch, un très mauvais signal envoyé par la justice », s’exclame Rudy Manna, secrétaire régional PACA du syndicat Alliance Police national, lorsqu’il apprend la décision de la justice marseillaise concernant les trois « faux policiers », interpellés dans le 15e arrondissement dans la nuit de mardi à mercredi. Placés en garde à vue après avoir tenter un faux contrôle vers 3h30 du matin, ils ont été remis en liberté.

Bien connus des services de police, les individus âgés de 19, 25 et 29 ans, ont équipé leur voiture d’un gyrophare et ont pris en chasse un véhicule, obligeant son conducteur à s’arrêter. Ils se sont ensuite présentés comme un équipage de la BAC, sans savoir que l’homme qu’ils venaient de stopper était lui-même policier de la BAC Nord, en civil.

Le parquet a finalement décidé de ne pas les condamner pour s’être fait passer pour des agents de police, mais uniquement pour détention d’un gyrophare. Les trois hommes écopent donc d’une amende de 135 euros.


Source : : contre-info

vendredi, 08 février 2019

Marseille : des militants antifascistes se mettent à l’arabe pour leurs appels à manifester

Publié par Guy Jovelin le 08 février 2019

Par  le 07/02/2019

mardi, 22 janvier 2019

Attentats de Barcelone : Les terroristes préparaient « un carnage de la même intensité que le Bataclan » à la Tour Eiffel et à Marseille

Publié par Guy Jovelin le 22 janvier 2019

Par  le 22/01/2019 

Un an et demi après les attentats en Espagne, les policiers français et espagnols ont désormais la preuve de repérages des terroristes à Paris.

Le 17 août 2017, une camionnette lancée à toute vitesse dans la foule sur les Ramblas faisait 15 morts et 126 blessés. Dans la soirée, des complices attaquaient Cambrils une station balnéaire catalane plus au sud, tuant une femme.

Un an et demi plus tard, l’enquête conjointe des polices espagnole et française laisse à penser qu’un attentat simultané à la tour Eiffel a été évité. « Nous avons échappé à un carnage de même intensité que le Bataclan« , résume une source policière française. Des indices essentiels ont en effet été retrouvés dans une carte mémoire SD, saisie dans la planque des terroristes à Alcanar (Espagne).

Ce support se trouvait parmi les décombres : la maison venait d’être soufflée par les produits explosifs qui y étaient stockés. Explosion qui a conduit la cellule, composée de jeunes Marocains ralliés à Daech, à passer à l’action de manière précipitée. (…)

Outre la piste de la Sagrada Familia, l’exploitation d’une cinquantaine de photos et vidéos contenues dans cette carte SD prouve que des repérages minutieux ont été effectués à la tour Eiffel cinq jours avant les massacres. Les images, prises par deux des terroristes abattus en Catalogne, s’attardent sur les files d’attente des touristes et les passages protégés alentours. (…)

Selon les enquêteurs, ce repérage « laisse supposer la préparation d’une action d’envergure sur ce site ». Soupçons renforcés par la découverte en Espagne, dans l’ordinateur d’un djihadiste, d’un document PowerPoint contenant six diapositives sur la tour Eiffel. Dont une présentation, schéma à l’appui, des caractéristiques techniques de l’édifice : hauteur, étages, ascenseurs…

Les enquêteurs disposent aussi d’une vidéo troublante d’une quarantaine de secondes, extraite de cette même carte mémoire. On voit et on entend l’un des membres de la cellule déclarer : « Je jure par Allah que vous les chrétiens, vous allez voir ce qui va vous arriver. Dieu a préparé les Moudjahidin de Ripoll, si Dieu veut jusqu’à Paris ».

Enfin, en perquisition, les enquêteurs catalans sont tombés sur un agrandissement d’une autre ville française, Marseille, où était inscrit : « Centre-ville, attaque expert cousin« . (…)

Le Parisien via fdesouche

mercredi, 16 janvier 2019

L’Algérie ne veut plus enterrer nos Franco-Algériens de Marseille !

Publié par Guy Jovelin le 16 janvier 2019

Auteur : Manuel Gomez

L’Algérie refuse à présent de recevoir les dépouilles des Algériens assassinés dans les Bouches-du-Rhône et plus précisément à Marseille.

Trop c’est trop.

Les autorités algériennes en ont fait une demande officielle à l’État français.

L’Algérie ne veut plus des corps de ces Algériens qui sont victimes de règlements de comptes entre gangs qui se disputent le monopole du trafic de stupéfiants.

Depuis 2012 on compte officiellement 137 morts, dont 29 en 2016 (c’est le record pour le moment) et chaque rapatriement de dépouille de l’un de ces trafiquants fait éclater des tensions entre les familles sur le territoire algérien.

Car il faut savoir que ce sont principalement deux familles originaires de l’Est algérien, plus précisément des régions de Khenchela, Menzel, pour l’une, et de Kais pour l’autre, qui se livrent une guerre sans merci dans la région marseillaise et a des prolongements très inquiétants en Algérie.

Les « Remadnia » et les « Tir », soutenus par une autre famille de trafiquants algériens, les Berrebouh, dirigent le trafic de drogue depuis quelques années dans toutes les Bouches-du-Rhône, avec leur siège social dans les quartiers nord de la cité phocéenne et cela dans une relative impunité des services de police qui se contentent de comptabiliser les cadavres.

Ces deux familles s’éliminent physiquement mais elles sont confrontées également à d’autres gangs de ces quartiers nord, celui des « Gitans » et celui des « Blacks », composés également de quelques Algériens dissidents qu’il est nécessaire d’éliminer afin de conserver la suprématie.

Ils sont bien loin les Spirito et Carbone de l’avant-guerre et les frères Guérini de l’après-guerre, il n’y a plus ces noms qui fleuraient bon le « vieux Marseille » : Francis le Belge, Jacky le Mat, Tany Zampa et j’en passe.

Aujourd’hui comment peut-on retenir les patronymes de ceux qui tombent, les Medhi, Karim, Saïd, Farid, etc. souvent « résidents » de ces cités de la Castellane glorifiées quelques années plus tôt par la réussite d’un Zidane ?

Mercredi 9 janvier 2018, c’est un jeune Algérien, âgé de 25 ans, qui a été abattu par balles en pleine rue, devant un garage à Bastille, dans le quartier Saint-Louis. Il était, soi-disant, revendeur de voitures. Sera-t-il inhumé en Algérie ?

L’Algérie réclame depuis des années les crânes des 37 résistants « à la colonisation » (de 1830 à 1962) conservés au Musée de l’Homme, à Paris mais refuse les cadavres des délinquants marseillais, d’origine algérienne.

Il est vrai qu’ils sont bien plus nombreux que ceux des résistants et qu’il y en aura d’autres chaque nouvelle année.

Il est vrai également que si ces criminels binationaux étaient tout simplement expulsés dès leur première condamnation, la question ne se poserait pas car ils retourneraient dans « leur pays » vivants… pour le moment !

Manuel Gomez

 

Source : ripostelaique