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jeudi, 05 janvier 2017

Marseille, capitale française 2016 de l'insécurité

Publié par Guy Jovelin le 05 janvier 2017

 Par Auteur valeursactuelles.com
/ Mardi 3 janvier 2017 à 19:44
Des policiers à Marseille. Photo © SIPA
 
Insécurité. La ville de Marseille détient en 2016 l’inquiétant record national du nombre de tués par balle : 34.

Dans les derniers instants de l’année 2016, un ultime mort est venu s’ajouter à la longue liste des personnes tuées par balle dans la cité phocéenne au cours de l’année passée. Le 31 décembre, un homme âgé de 23 ans était mortellement touché par un tir d’arme à feu, dans les quartiers Nord de Marseille.

Violence extrême

Son corps est retrouvé plus tard, brûlé. Ce genre de scènes d’une incroyable violence, les habitants de ces quartiers désormais désignés par le terme coupablement pudique de “sensible” y sont habitués. Un jour, un homme handicapé est attaqué par derrière et dépouillé par de courageux individus qui prennent soin de le tabasser avant de s’enfuir. Un autre, des collégiens sont visés par des tirs de flèches professionnelles venant d’immeubles environnants.

On retrouve un homme ligoté, brûlé, une balle dans la tête. On construit un mur pour protéger la cour d’une école maternelle des tirs de kalachnikov fréquents dans le quartier, qui ne font même plus sursauter les élèves. On assiste à des échanges de tirs à l’arme de guerre dans le quartier de la gare, à deux pas de la Canebière et du vieux port. On déplore la mort de deux personnes, abattues à l’arme automatique à 200 mètres du commissariat.

34 tués par balle en 2016

A Marseille, en 2016, un octogénaire peut être sauvagement attaqué et tué pour une chaine en or. La liste est encore longue. Le nombre de tués par balle l’année passée dans le chef-lieu de Provence-Alpes-Côte-D’azur, trente-quatre, n’est qu’une illustration éloquente de la violence et de l’insécurité qui règnent dans la ville.

 

Source : valeursactuelles

jeudi, 29 décembre 2016

Soupçonné de jihadisme, un médecin exerçant à Marseille arrêté en Turquie

Publié par Guy Jovelin le 29 décembre 2016

Décrit comme "solitaire" par ses collègues, l'homme travaillait comme interne depuis trois ans à l'hôpital de la Timone.

AFP
Vue extérieure de l'hôpital de la Timone où exerçait l'interne soupçonné de jihadisme arrêté en Turquie.

TERRORISME - Soupçonné de jihadisme, un jeune interne exerçant en chirurgie orthopédique à l'hôpital de la Timone à Marseille a été arrêté dimanche 25 décembre en Turquie puis remis aux enquêteurs français dans la foulée, rapporte La Provence ce mercredi 28 décembre. Une information confirmée à l'AFP par une source proche de l'enquête.

Âgé de 29 ans, Amine L. a été repéré après avoir tenu des "propos inquiétants" sur son compte Twitter et consulté régulièrement des contenus jihadistes. C'est notamment via Pharos (Plateforme d'Harmonisation, d'Analyse, de Recoupement et d'Orientation des Signalements) que les enquêteurs ont été alertés et ont pu établir son identité.

Il a été signalé à plusieurs reprises sur cette plateforme en 2015, a précisé la source proche de l'enquête. Une enquête préliminaire a ensuite été ouverte à Marseille, puis le parquet antiterroriste s'est saisi du dossier à la suite du départ du jeune homme en octobre vers la Turquie.

"Un type très inquiétant"

"Il menaçait notamment souvent de commettre des attentats, c'est un type très inquiétant", a confié une source au quotidien régional. Que faisait-il en Turquie? Quelles étaient ses intentions? L'interne en médecine est actuellement entendu dans les locaux de la sous-direction antiterroriste (SDAT) à Levallois-Perret pour répondre à ces questions.

À La Provence, ses collègues de l'hôpital de la Timone l'ont décrit comme "intelligent, professionnel et passionné, tout en étant, certes, taciturne et solitaire". "Lorsqu'on évoquait les attentats dans des discussions, [il] était plutôt dans la condamnation de ces actes", apprend-on encore.

L'homme n'avait plus donné signe de vie depuis le mois d'octobre. "Il devait enchaîner sur un nouvel internat, toujours à la Timone, au 1er novembre, mais il ne s'est jamais présenté", a confié un cadre de l'AP-HM au quotidien régional. Les enquêteurs cherchent à savoir si le jeune homme cherchait à se rendre à Syrie. Sa chambre d'interne a été perquisitionnée.

 

Source : huffingtonpost

vendredi, 26 février 2016

Marseille : un professeur juif qui se disait victime d’une agression antisémite placé en garde à vue

Publié par Guy Jovelin le 26 février 2016

25 février 2016 par admin4

Un professeur d’une école juive marseillaise, qui assurait, mi-novembre, avoir été agressé par trois hommes antisémites est entendu pour « dénonciation mensongère ».

Il faut bien reconnaître que ce schéma est devenu un grand classique…

« Son agression présumée intervenait moins d’une semaine après les attentats du 13 novembre à Paris. Un professeur d’une école juive, qui assurait avoir été agressé par trois hommes a été placé en garde à vue mercredi matin, selon La Provence. Il est entendu par les enquêteurs de la sûreté départementale de Marseille pour « dénonciation mensongère ». »

« Légèrement blessé. Le 18 novembre dernier, alors que la France est en pleine sidération post-attentats, un professeur d’une école juive de Marseille assure avoir été blessé à coups de couteau par trois hommes à scooter, dans le 13e arrondissement de Marseille. Selon son récit, ces derniers auraient proféré des menaces et des insultes antisémites, avant d’exhiber un tee-shirt estampillé Daech.
Le soir des faits, le préfet de police des Bouches-du-Rhône rassure, précisant quede très importants moyens policiers avaient été déployés pour en retrouver les auteurs. La victime, blessée aux bras aux jambes et au ventre, est hospitalisée, mais son pronostic vital n’est pas engagé. Il s’en sort avec quelques plaies et quitte l’hôpital le soir même.
Hollande avait appelé à une réponse impitoyable. L’affaire avait suscité une pluie de déclarations politiques et associatives. François Hollande avait vivement condamné cette agression, en appelant à une « réponse impitoyable ». Michèle Teboul, présidente du Crif Marseille-Provence, s’était dit « très choquée ». « Cela fait deux affaires du même type en très peu de temps », avait-elle relevé, se disant « très inquiète ».
Des incohérences dans le récit de l’enseignant. L’enquête, confiée à la sûreté départementale, a finalement mis en lumière les incohérences du récit de l’enseignant. « Les blessures font un peu rigoler si l’on peut dire, et les constatations médico-légales qui ont été effectuées ne collent pas à ce qu’il raconte, tout comme d’autres examens qui ont été réalisés au cours de ces semaines d’investigations », a confié une source proche de l’affaire, interrogée parLa Provence. »

Source Europe 1

mardi, 09 décembre 2014

Marseille : un Africain qui aurait dû être en prison viole une fillette de 2 ans

Une fillette de 2 ans a été violée et hospitalisée jeudi à Marseille (Bouches-du-Rhône), a rapporté samedi le quotidien «La Provence», précisant qu’un homme, le « compagnon » de sa mère, a été interpellé.

L’enfant qui était gardée par cet homme s’est plainte d’avoir mal quand celle-ci est rentrée à la maison. La mère de famille a alors appelé les marins pompiers. Outre des traces de coups et des morsures sur le corps de la fillette, les secouristes ont également constaté que l’enfant avait subi des sévices sexuels.
Un constat confirmé à l’hôpital. La thèse du viol est alors évoquée. D’autant que l’enfant a dû subir une opération chirurgicale.

Les policiers ont mis peu de temps pour mettre la main sur le beau-père de la fillette, principal suspect, raconte encore «La Provence».

Cet homme de 28 ans, de nationalité belge et d’origine camerounaise, avait passé l’après-midi en compagnie de la fillette et de sa soeur au domicile de la mère, boulevard de Paris, dans le IIIe arrondissement de Marseille. Il a été interpellé et conduit au commissariat où il a été entendu.

Portant un bracelet électronique au moment de son interpellation, l’homme est connu pour des faits de violences envers des fonctionnaires de police.

Bref, il aurait dû être en prison, mais grâce à la République en général et à Taubira en particulier, il a pu sévir encore, en attendant la prochaine fois !

Sourcer :  http://www.contre-info.com/marseille-un-africain-qu...

mardi, 14 octobre 2014

À Marseille, les violences des racailles dans plusieurs cinémas conduisent au retrait d’un film

 

Publié par Guy Jovelin

Le film d’horreur Annabelle a été retiré de l’affiche dans plusieurs cinémas marseillais depuis son lancement mercredi dernier. Le multiplex Les 3 palmes, l’a retiré « pour des raisons de sécurité », sans autre précision, le film de l’affiche après que des racailles eurent perturbé plusieurs séances.

Le cinéma du Prado (VIIIe arrondissement) a également retiré le film, se cachant derrière des « raisons techniques ».

« Ça amène une clientèle de jeunes pas facile [sic] » précise tout de même la direction.

Source