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vendredi, 12 février 2016

Des nouveaux ministres liés à la franc-maçonnerie et aux sociétés secrètes

Publié par Huy Jovelin le 12 février 2016

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Analysons qui sont les nouveaux ministres choisis par François Hollande.

D’emblée, notons que les milieux maçonniques se réjouissent que deux nouveaux ministres, Jean-Michel Baylet et Jean-Vincent Placé, ont en commun avec Manuel Valls, Jean-Yves Le Drian et Alain Vidalies d’avoir été initiés au Grand Orient de France (GODF).

Jean-Michel Baylet, 69 ans, nouveau ministre de l’Aménagement du territoire, de la Ruralité et des Collectivités territoriales, est un radical de gauche, ce qui ne l’empêche pas d’être également le PDG du groupe de presse La Dépêche et de faire partie des 500 plus grandes fortunes professionnelles françaises. Sa mère, Evelyne Isaac, née en Algérie dans une famille juive originaire d’Alsace, avait été la première femme présidente de conseil général en France, de 1970 à 1982.

Le 13 mars 2003, Jean-Michel Baylet avait été condamné par la cour d’appel de Toulouse pour abus de biens sociaux.

Jean-Michel Baylet, comme la plupart des radicaux de gauche, est un « frère » du GODF.

Jean-Vincent Placé, 47 ans, devient secrétaire d’Etat auprès du premier ministre, chargé de la réforme de l’Etat et de la simplification.

Passé par les radicaux de gauche avant d’entrer chez EELV. Il est également initié au GODF et a fréquenté le temple de la Loge La Pierre Angulaire. Il co-préside le Club EREL (Ecologie, République et Libertés) avec la sénatrice Esther Benbassa.

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 En 2012, Jean-Vincent Placé a été condamné par le tribunal correctionnel de Paris pour diffamation à l’encontre de Christian Vanneste.

En avril 2014, Placé déclare à RTL avoir réglé les 18.000 euros de PV impayés relatifs à des infractions routières commises avec une voiture de fonction du conseil régional.

Ericka Bareigts, 48 ans, devient secrétaire d’Etat en charge de l’Egalité réelle.

Membre du PS depuis 1986, elle fait aussi partie de la franc-maçonnerie.

Audrey Azoulay, 43 ans, devient ministre de la Culture et de la Communication. Elle est née au Maroc. Son père André Azoulay est membre du club mondialiste Le Siècle. David Azoulay, un cousin, est un responsable du B’naï B’rith.

Source : http://www.medias-presse.info/

jeudi, 28 août 2014

À l’Éducation nationale, le ministre est interchangeable et il le sait (par Pierre Van Ommeslaeghe)

Publié par Guy Jovelin

 
À moins d’une semaine de la rentrée scolaire, le ministre de l’Éducation nationale change. Après la sortie de Benoît Hamon ce dimanche, il est certain que François Hollande ne pouvait pas le garder à ce poste (ni ailleurs au gouvernement). Il n’en reste pas moins que cela fait désordre. Cela ne remet pas en cause la rentrée. Elle est préparée depuis longtemps, et l’expérience et le professionnalisme des personnels sur le terrain suffisent à assurer une bonne rentrée. Mais symboliquement, l’effet est désastreux.

Car cela prouve qu’il n’y a pas vraiment besoin de ministre pour faire fonctionner l’Éducation nationale. On sait depuis longtemps que ce ministère est en réalité une technocratie achevée où ce sont les directeurs d’administration centrale qui font la loi. Les ministres passent, eux restent. Et les ministres le savent. Ceux qui ont tenté d’y remédier s’y sont cassé les dents faute de soutien politique du chef de l’État, les autres y ont renoncé s’ils en avaient eu la velléité. Il n’y a donc pas de direction politique à l’Éducation nationale. Plus exactement, la politique suivie par ce ministère n’est ni démocratique (le peuple n’y a pas sa place) ni républicaine (ce n’est pas l’intérêt général qui y est poursuivi).

Mais la séquence de l’éviction de Benoît Hamon et sa signification sont peut-être plus graves encore. La politique, disait Thomas d’Aquin, est la plus haute des charités car elle est le souci du bien commun. Du moins doit-elle l’être. Particulièrement en ce qui concerne l’éducation puisqu’il s’agit de transmettre le patrimoine intellectuel et moral de la nation aux enfants, pour les insérer dans notre monde commun.

Benoît Hamon avait cette haute responsabilité. Il occupait un poste où il pouvait agir pour le bien commun, du moins pour ce qui lui semblait l’être. Or, à une semaine d’une date importante pour les enfants de France, il a choisi d’aller à l’affrontement avec le président de la République. On peut concevoir qu’il ne soit pas d’accord sur l’orientation de la politique de ce dernier. Mais étant au gouvernement, on peut penser qu’il y avait d’autres manières de lui faire savoir son désaccord, voire d’infléchir cette politique.

On peut aussi penser que, si cet affrontement lui semblait inévitable, il pouvait le différer de quelques semaines, le temps d’assumer cette rentrée qu’il avait préparée. Il a préféré agir comme il l’a fait, sachant que cela serait plus profitable à sa carrière politique. Affichant son mépris des enseignants, des parents, des élèves.

Benoît Hamon manifeste ainsi ouvertement qu’il se moque de l’intérêt de la France, qu’il est prêt à le sacrifier à ses intérêts propres. Il n’est, hélas, pas le seul, et pas seulement à gauche.

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