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mardi, 20 octobre 2015

« Toutes les Françaises sont des putes » : la motivation raciste du viol d’Evry non retenue

Publié par Guy Jovelin le 20 octobre 2015

« T’es blanche, tu manges du porc, on va te violer. Toutes les Françaises sont des putes ». Les juges ne retiennent pas la motivation raciste dans l’affaire du viol d’Evry… Ces sombres petites fientes étrangères méritent une balle dans la tête, pourtant ils ressortiront un jour de prison sans même avoir à répondre de leur haine des Français.

En mars 2014, une jeune fille blanche de dix huit ans sort du RER. Sous la menace d’un couteau elle est entraînée par trois Turcs et un Marocain dans un terrain vague. Et pendant deux heures elle est violée à plusieurs reprises. Torturée. Battue jusqu’au sang.

Durant l’instruction, les mis en cause avaient avancé des motivations racistes. Lors de sa garde à vue, le plus âgé avait ainsi lancé : « Quand je sortirai, je niquerai la France. » Un autre avait demandé ses origines à la victime. Et un troisième déclaré s’en être pris à cette jeune fille parce qu’elle était française et qu’il n’aime pas les Françaises. Des éléments que les autorités policière et judiciaire locales avaient refusé de confirmer à l’époque.

L’information avait été relayée sur Internet et les réseaux sociaux, accusant les médias et les politiques de cacher la vérité sur un fait divers tragique survenu dans la ville du Premier ministre, Manuel Valls.

« J’ai été amené à gérer les choses avec le maire de Courcouronnes (Stéphane Beaudet, Les Républicains). Il y avait eu des consignes de diète médiatique, à la demande des parents. Ce n’était pas pour l’image de la ville », assure Francis Chouat (PS), le maire d’Evry. Au final, la dimension raciste n’a pas été retenue.

« Les juges ont choisi de retenir les qualifications les plus graves de viols et d’actes de tortures et barbarie, qui font encourir la peine la plus forte. Y ajouter l’injure raciale ne change rien à la peine encourue, confie une source proche du dossier. Mais ces propos ont été évoqués et seront abordés lors du procès. » Le Parisien via FDS

 

 

 

 

 

samedi, 01 août 2015

La mise en oeuvre du plan national de lutte contre le racisme et l’antisémitisme déclarée grande cause nationale de l’année 2015

Publié par Guy Jovelin le 1er août 2015

La mise en oeuvre du plan national de lutte contre le racisme et l’antisémitisme déclarée grande cause nationale de l’année 2015

Le gouvernement Valls continue de gouverner avec à coups d’obsessions et de phobie. On savait que le chômage,...

 

 

 

Lire la suite : http://www.medias-presse.info/la-mise-en-oeuvre-du-plan-n...

vendredi, 10 juillet 2015

France TV lance une campagne de culpabilisation des blancs

 Publié par Guy Jovelin

Voici en substance, le message délivré par un groupe audiovisuel financé par le racket républicain : c’est pas bien d’être blanc et d’en être fier ! Il faut accepter tous les immigrés (surtout les extra-européens) qui se présentent aux frontières qui n’existent plus. Nous devons tous nous métisser au plus vite afin de précipiter l’extinction irrévocable de la race blanche. Enfin nous aurons atteint le stade suprême de l’homme déraciné, sans attaches ethniques, religieuses et culturelles, qui aura pour seul objectif dans la vie, de consommer. Merci Rance Télévision.

 

 

Source : http://www.contre-info.com/france-tv-lance-une-camp...

 

samedi, 24 janvier 2015

Délire féministe et ethnomasochiste : les Blancs et les hommes doivent parler les derniers !

 

 Publié par Guy Jovelin

C’est la dernière trouvaille d’une équipe d’activistes féministes de l’université Dalhousie de Halifax au Canada : pour en finir avec le racisme et la misogynie, il faut imposer de nouveaux rites dans l’enseignement. Les Blancs et les hommes doivent s’exprimer les derniers ! Dans les discussions en classe, en d’autres termes, les femmes et les Noirs doivent avoir la parole en premier.

Une « règle consciente » pour contraindre les hommes à parler les derniers !

Sans surprise, ce nouvel avatar du politiquement correct nous vient d’un programme d’études de genre. Il paraîtrait que les femmes et les filles sont éduquées – « socialisées » – dans notre monde pour ne pas parler les premières. « Fabriquer une règle consciente, délibérée, qui soit explicite, selon laquelle “non, les hommes n’ont pas le droit de s’exprimer les premiers”, est certainement une manière forte d’agir sur ce problème », assure Jacqueline Warwick, professeur de musicologie et ancienne coordinatrice du programme d’études de genre de Dalhousie.

Les hommes, grands perdants du genre

Et tant pis pour les réalités. Les hommes parlent certes moins au cours de la journée, mais se lancent plus facilement que les femmes, ils ont moins peur de se tromper. Dans le même temps on leur reproche de ne pas assez communiquer. Les femmes parlent davantage, nous disent encore les sociologues.

Vrai ou pas, ce qui se joue dans le cadre des études de genre est bien de l’ingénierie sociale : modifier ce qui existe pour obtenir un résultat différent, quitte à perdre l’identité (et même pour perdre l’identité). Les femmes n’ont-elles aucune envie de répondre les premières, préférant prendre la mesure de ce qui se dit ? Elles n’en auraient plus le droit.

Les hommes et les Blancs seraient-ils supérieurs ?

Le plus drôle, c’est que de tout temps, dans les assemblées de réflexion civilisées, c’est au plus jeunes, aux moins instruits, aux petits nouveaux qu’on donne la parole en premier, afin qu’ils ne soient pas intimidés ou influencés par les prises de positions de ceux qui ont plus de sagesse et d’expérience : question de sincérité et de réel intérêt pour ce que les plus inexpérimentés diront. En réclamant que les hommes parlent après les femmes, ces féministes canadiennes à la petite semaine affirment tacitement une préséance des hommes sur les femmes, des Blancs sur les Noirs.

Pour ce qui est de parler le premier ou le dernier, tous les couples savent l’avantage de celui – ou celle ! – qui a le dernier mot. On pourrait peut-être faire une loi ?

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jeudi, 22 janvier 2015

Accusé de racisme, Haribo arrête sa production de bonbons de couleur noire

 

 

Le triomphe de la bêtise semble universel.

Vendredi 17 janvier, le fabricant de bonbons Haribo a fait savoir qu’il arrêtait la vente en Suède et au Danemark de leurs bonbons au réglisse présents dans l’assortiment Skipper Mix. Ces bonbons, au réglisse et de couleur noire, représentait des masques s’inspirant de l’art primitif africain. La production de ces confiseries avait été lancée par Haribo il y a quelques années déjà, sans que ça ne fasse jusqu’alors polémique.

Le géant mondial de la fabrication de bonbons a déclaré tenir compte des nombreuses réclamations des consommateurs [organisées par qui ?] : « Nous avons estimé que nous pouvions garder ce produit et en retirer les parties que certains consommateurs ont jugées offensantes » a déclaré à l’AFP le directeur d’Haribo Suède.

En France, les bonbons dit tête de nègre ont été définitivement retiré de la vente en 2013.

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