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vendredi, 08 février 2019

Gucci, accusé de racisme, retire ce pull de la vente

Publié par Guy Jovelin le 08 février 2019

 

Par  le 07/02/2019

 

 

POLÉMIQUE – Devant les réactions suscitées par son pull, tiré de sa dernière collection, la marque italienne Gucci a décidé de le retirer de la vente. Sa coupe, entre cagoule et col roulé, évoque une « blackface ».

Le terme « blackface » désigne le fait que des personnes blanches se maquillent en personne noire avec des traits exagérés conformes aux pires stéréotypes de l’époque coloniale. Le pull au col roulé, vendu pour la modique somme de 890 dollars, présente une bouche rouge et surdimensionnée, détail utilisé dans ces caricatures racistes.

 

mercredi, 09 janvier 2019

Miss Algérie noire : une première qui provoque un déferlement de racisme sur les réseaux sociaux

Publié par Guy Jovelin le 09 janvier 2019

Par  le 08/01/2019

 

C’est la première fois qu’une Miss Algérie est originaire du sud du pays. Khadidja Benhamou, noire de peau, a eu les faveurs du jury et… les insultes de certains internautes. « L’indignation ne suffira pas. Ces comportements doivent trouver une réponse des pouvoirs publics qui nous renvoient sans cesse à l’identité nationale. L’Algérie est diverse. Mais cette diversité n’est pas incarnée dans la représentation politique, dans les médias et dans la production audiovisuelle », analyse Nidal Aloui dans TSA.

Cette polémique remet en exergue l’identité africaine de l’Algérie. Bien qu’originaire d’Adrar, à 1 400 km au sud-ouest d’Alger, Khadidja Benhamou ne peut représenter l’Algérie à cause de sa couleur de peau « trop foncée », pour certains Algériens.

Un élan de solidarité s’est formé spontanément pour défendre la nouvelle Miss Algérie.

France TV Info via fdesouche

jeudi, 03 janvier 2019

Le racisme anti-Blancs est systématiquement sous-traité

Publié par Guy Jovelin le 03 janvier 2019

 

En cette fin d’année 2018, alors que la République française accepte le Diktat de Marrakech qui va accroître l’intensité de l’immigration exotique en Europe, le petit monde des journalistes à scandale retentit des cris d’orfraie de ces dames et des vociférations des messieurs, pour un motif jugé « très sérieux » : des manifestations hostiles auraient accueilli un joueur de football noir sur un terrain sportif de France !

Que les cris et insultes racistes soient immondes, d’où qu’elles viennent, on l’admet volontiers…


Que les cris et insultes racistes soient immondes, d’où qu’elles viennent, on l’admet volontiers…

Que ces messieurs-dames (et autres personnes de sexe-genre indéterminé) veuillent bien se documenter : c’est par milliers de cas que sont quotidiennement entendus sur le sol français des injures racistes anti-Blancs.

Que les cris et insultes racistes soient immondes, d’où qu’elles viennent, on l’admet volontiers. Mais il faut reconnaître que seules les rares insultes dirigées contre des Extra-Européens sont relevées par les maîtres de l’information, alors que le racisme anti-Blancs est systématiquement sous-traité, quand il n’est pas nié purement et simplement.

Il est important de constater qu’au moment où ce joueur d’origine africaine se faisait conspuer stupidement, des racailles exotiques ravageaient la ville de Joué-les-Tours, dans la plus profonde indifférence des médias bien-pensants et bien-disants.

Dans cette cité, où l’on observe l’une des plus fortes concentrations maghrébines du Centre de ce que l’on nommait autrefois la France, le maire, pourtant fort peu excité dans la répression des troubles, avait instauré un couvre-feu pour les mineurs d’âge, tant cette cité est devenue infréquentable de nuit. En guise de réponse, de merveilleux rejetons de l’immigration extra-européenne ont fait flamber voitures et poubelles en une nuit de fiesta du style : « Vivre ensemble, c’est réellement l’enfer ».

D’un côté, un footballeur noir fait un scandale public parce qu’on l’a insulté – pauvre chéri : si j’avais dû me révolter à chaque fois que l’on m’a traité, à Roubaix, Lille ou Douai, de « Face de craie », j’aurais usé vainement ma vie ! D’un autre côté, la racaille inutilement importée transforme une cité tourangelle en zone de guérilla urbaine.

Dans le premier cas, les médias hurlent à la mort. Dans le second, ils se font bénins, voire silencieux.

Bizarre, bizarre. Vous avez dit bizarre, Macroniens ? Comme c’est bizarre !

 

Extrait de: Source et auteur via lesobservateurs

 

mercredi, 19 décembre 2018

Les sites de rencontres sont-ils propices au « racisme » ?

Publié par Guy Jovelin le 19 décembre 2018 

Par  le 19/12/2018

 

De plus en plus de voix s’élèvent contre des commentaires ou des critères racistes sur les applications de rencontres en ligne. Sans que les choses n’avancent beaucoup ….

« Je ne veux pas d’une Asiatique, désolé », répond-on souvent à Lucie, jeune femme d’origine vietnamienne, sur Tinder. Une attitude qu’on pourrait aisément qualifier de raciste dans la vraie vie, mais qui semble passer tout naturellement sur les applications de rencontres. D’après une étude de l’Ifop publiée ce mardi, les Parisiennes expriment leur refus de s’unir avec des hommes originaires d’Afrique sub-saharienne (62 %) ou du Maghreb/Moyen-Orient (57%).

Ce phénomène n’est pas nouveau et a déjà été mis en lumière par The Independent dans une longue enquête sur le sujet, recensant le racisme banalisé sur ces applications. Le compte Twitter Grindr Racism, aujourd’hui inactif, a également pendant longtemps relayé les propos racistes sur cette application de rencontres LGBT. En voici quelques-unes pour se faire une idée :

Grindr Racism@GrindrRacism
This profile needs to be removed for racism @Tinder @TindrProbs
 

Mais comment expliquer une telle impunité concernant des propos discriminants ? Fred Pailler, sociologue travaillant sur les usages sexuels d’Internet et des technologies numériques, explique l’excuse avancée par de nombreux utilisateurs : « Ils se défendent en invoquant leur goût sexuel et des préférences. Ils s’appuient sur une limite complexe et floue de ce que seraient le désir sexuel et la séduction. » Des justifications qui ne parviennent pas à convaincre Lucie : « On pourra me dire ce qu’on veut, exclure une catégorie de personne en raison de sa couleur, c’est du racisme. »

Et son cas est loin d’être isolé. En 2011, une étude australienne montrait que 64 % des hommes blancs gays et bisexuels interrogés considéraient qu’il est acceptable d’indiquer des préférences raciales sur des sites de rencontres. Ce que beaucoup de plateformes ne se privent pas d’autoriser.

Trois ans plus tard, Christian Rudder, cofondateur l’un des plus gros sites de rencontres au monde, OkCupid, publie un essai Dataclysm : Who We Are, regroupant comme son nom l’indique les données datas de ce site. Sur son application, les hommes peuvent noter leurs matchs potentiels entre une et cinq étoiles. Et les chiffres ne mentent pas : les femmes noires sont jugées 19 % moins attirantes que la moyenne, tandis que les femmes blanches sont jugées 7,5 % plus attirantes.

On vous voit venir avec les « c’est normal, chaque groupe ethnique privilégie son propre groupe, halala ces bobos de journalistes je vous jure ». Sauf que non : les hommes noirs jugent ainsi sur OkCupid les femmes noires moins attirantes que la moyenne des femmes. Une notation qui se retrouve assez peu dans les faits, comme l’expliquait Christian Rudder : « Au Royaume-Uni, les personnes noires qui utilisent OkCupid ont un taux de réponse d’à peine 1,1 % plus faible que celui des utilisateurs blancs. » Donc finalement un jugement discriminant qui ne se répertorie pas forcément en dehors de l’application. D’ailleurs 84 % des utilisateurs de celle-ci indiquent qu’ils ne pourraient pas sortir avec une personne ayant tenu des propos xénophobes. […]

Les plateformes essaient timidement de s’améliorer. Grindr notamment propose depuis quelques mois un programme KINDR censé éduquer ses usagers aux questions de discrimination raciale. Des utilisateurs de toute plateforme demandent aux autres de ne pas afficher clairement leur préférence ethnique sur leur profil et leur propos, et de laisser l’outil de sélection s’en charger, histoire de ne pas le subir. […]

20minutes via fdesouche

mardi, 26 juin 2018

Etats-Unis: le prix littéraire « Laura Ingalls Wilder » débaptisé en raison du racisme de « La Petite Maison dans la prairie »

Publié par Guy Jovelin le 26 juin 2018

Par  le 25/06/2018

 

Une section de l’Association américaine des bibliothécaires a décidé de débaptiser son prix littéraire « Laura Ingalls Wilder » en raison du racisme qui imprègne l’œuvre de l’auteur de « La Petite Maison dans la prairie ».

« Les œuvres de Mme Wilder restent l’objet d’études et d’analyses littéraires qui mettent souvent en lumière des sentiments anti-Amérindiens et anti-Noirs », a expliqué l’Association des bibliothèques pour enfants (ALSC). « L’ALSC reconnaît que l’héritage de l’auteur est complexe et que l’oeuvre de Mme Wilder n’est pas universellement acceptée », a-t-elle ajouté.
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Basée sur la vie de Laura Ingalls Wilder, cette série a connu un immense succès de librairie avant d’être adaptée à la télévision.
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Sud Ouest via fdesouche