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mercredi, 16 mai 2018

Schiappa, le compte n’y est pas !

Publié par Guy Jovelin le 16 mai 2018

Rédigé par notre équipe le 16 mai 2018. 

Peut-on être Secrétaire d’État chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes et mettre les enfants en danger ? La réponse vient d’être donnée par Marlène Schiappa et elle ne plait pas à tout individu doué de raison et d’un peu d’humanité. En faisant voter un article qui tend à brouiller juridiquement la notion de viol sur mineur, ce sont les coupables qui saluent le Gouvernement. Les familles de victimes pourront toujours se retourner vers la Secrétaire d’Etat qui plaidera certainement l’ignorance. Ce n’est pas faute de lui avoir collé le nez sur les monstruosités de son texte…

Marlène Schiappa est une Secrétaire d’Etat aussi jeune qu’occupée. On la voit partout donnant son avis sur tout et laissant un grand sentiment de rien. Parfois, il faut aussi se mettre à un travail gouvernemental censé être plus sérieux, mais malheureusement, les limites de la Secrétaire d’Etat se révèlent à une vitesse prodigieuse. Portée à bout de bras par une myriade de conseillers et de juristes, Marlène Schiappa n’a pas réussi à rédiger une courte loi dont l’objectif est de mieux protéger les mineurs des violences sexuelles.

Les désastres de l’idéologie libertaire

Nous avons affaire à un double drame. Celui presque comique d’une Secrétaire d’Etat qui ne se « calme pas » et celui bien plus sombre de futures victimes de violences sexuelles qui verront peut-être leur bourreau s’en sortir avec une petite tape sur l’épaule. L’article 2 de la loi a été voté hier soir après plus de cinq heures de débats. Une opposition ferme de droite et de gauche a enfin pris son rôle au sérieux et a lutté pour le bien des citoyens. Malheureusement, cela n’aura pas suffit face aux légions d’En Marche qui ont voté pour un texte qui tend in fine à faire du viol un petit délit, certes pas sympa, mais sans grande importance.

Alors que la sonnette d’alarme avait été tirée depuis des mois pour que la loi proposée par le Gouvernement ne constitue pas un recul sidérant de la protection de l’enfant, Schiappa n’a écouté que son idéologie libertaire qui lui a permis d’arriver là où elle est. La Secrétaire d’Etat soutenait un âge de consentement à 13 ans avant qu’elle ne soit invitée à faire machine arrière face au rejet de ce délire monstrueux. Les députés attendaient donc un âge de consentement fixé à 15 ans. Un minimum pas forcément idéal, mais qui avait au moins le mérite d’exister. C’était son compter sur Schiappa qui n’a pas voulu fixer d’âge tout en hurlant que l’ « article est ferme » et « protège mieux les enfants ».

Pourtant, la rhétorique de la Secrétaire d’Etat vole en éclat face au contenu de l’article 2. Il y est introduit l’idée que les notions de contrainte et surprise, constitutives d’un viol, pourront « être caractérisées par l’abus de vulnérabilité de la victime ne disposant pas du discernement nécessaire pour consentir à ces actes ». Autrement dit, le viol sera laissé à l’appréciation du juge qui pourra aisément le requalifier d’attouchement sexuel. Les sanctions ont beau être relevées, s’il n’y a pas de crime, il n’y a pas de sanction…

Les cas horrible comme celui d’un homme de 28 ans qui a eu une « relation sexuelle » avec un enfant de 11 ans sans que cela ne soit considéré comme un viol par la justice vont donc se multiplier. Le législateur sous l’emprise du Gouvernement vote des monstruosités et ceux qui osent les dénoncer sont balancés en pâture dans les médias avec l’étiquette de rétrograde. S’il y avait plus de rétrogrades de ce genre sur les bancs de l’Assemblée et dans les palais de justice, la France serait quand même mois malade. Schiappa a une autre mission. La vocation de ce Gouvernement est ailleurs !

 

Source : 24heuresactu

mercredi, 24 janvier 2018

La politique est un cirque, la preuve…

Publié par Guy Jovelin le 24 janvier 2018
  23 janvier 2018
 
La politique est devenue un cirque, certes moins enthousiasmant que chez Bouglione, mais tout de même très éloigné de ce qu’on est en droit d’attendre de personnes à qui on confie le sort de l’Etat.

Pour preuve, Marlène Schiappa, secrétaire d’Etat à l’Egalité entre les femmes et les hommes, montera bientôt sur une scène de théâtre avec les deux ex-ministres Roselyne Bachelot et Myriam El Khomri, pour une représentation des « Monologues du vagin » le 7 mars, veille de la journée du droit des femmes.

 

Source : medias-presse.info

 

samedi, 16 décembre 2017

La laïciste Marlène Schiappa, égérie de la franc-maçonnerie, met ses enfants dans une école catholique

Publié par Guy Jovelin le 16 décembre 2017

 par   16 décembre 2017

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Marlène Schiappa, secrétaire d’Etat à l’égalité « des femmes et des hommes » a reçu le 8 décembre dernier le prix spécial laïcité du Grand Orient de France.

Au magazine La Vie, elle avait déclaré se faire sa propre religion. En l’occurrence, ses références sont toujours maçonniques, comme le lui a inculqué son père, Jean-Marc Schiappa, président de l’Institut de recherches et d’études de la Libre Pensée.

En 2015, en tant qu’ajointe au maire socialiste du Mans, elle accueillait la Ligue des droits de l’homme en ces termes : « Elles ne sont pas si nombreuses, par les temps qui courent, les organisations qui affirment leur combat contre le cléricalisme, les cléricalismes, la doctrine sociale de l’Eglise ! » et terminait son discours par l’expression maçonnique « salut et fraternité ! ».

Sa dernière initiative : subordonner les subventions associatives au respect d’une charte de la laïcité.

Mais une révélation a de quoi susciter l’étonnement.

Sylvie Tolmont, ancien député socialiste, a dévoilé sur Twitter que Mme Schiappa, chantre du laïcisme, de l’école laïque et républicaine ainsi que du libertinage sexuel, met ses enfants dans une école privée catholique du Mans !

Et de mettre en exergue « l’incohérence manifeste entre sa communication valorisant l’école publique laïque et son choix de scolariser ses enfants dans une école confessionnelle, tant il me semble qu’on puisse légitimement interroger cette contradiction majeure ».

Le moins que l’on puisse écrire, c’est que Marlène Schiappa n’a guère apprécié qu’on lève le voile sur son hypocrisie.

Bien sûr, elle ne dément pas, et pour cause, mais dénonce une atteinte à sa vie privée.

Précisons qu’elle est loin d’être la seule, au sein de la gauche laïcarde, à préférer l’école catholique pour ses enfants.

 

Source : medias-presse.info

lundi, 13 novembre 2017

LA RÉPUBLIQUE EN MARCHE VERS LA DISPARITION DE LA PÉDOPHILIE À L'ÂGE DE 13 ANS

Publié par Guy Jovelin le 13 novembre 2017

la secrétaire d'Etat à l'Egalité entre les femmes et les hommes et entre les hommes et les femmes [Réflexe gauche tarée : pour qu'il y ait égalité entre les deux sexes, je les nomme une fois chacun à la première place. NDL], Marlène Schiappa n'en finit pas de surprendre :


La République en marche vers la disparition de la pédophilie à l'âge de 13 ans

"L'âge de présomption de non-consentement des mineurs, seuil en dessous duquel un enfant ne pourrait être considéré comme sexuellement consentant, est "en train d'être débattu" et se situera entre "13 et 15 ans", a indiqué aujourd'hui la secrétaire d'Etat à l'Egalité entre les femmes et les hommes, Marlène Schiappa". 

Cela signifiera que par défaut, un enfant de plus de 13 ans - si c'est l'âge qui est retenu - pourra être reconnu consentant. Débauche pour tous et pédophilie voilée, voilà ce qui attend la jeunesse de demain. 

 


Lahire