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mercredi, 18 octobre 2017

Terrorisme d’extrême-droite : attention manipulation !

Publié par Guy Jovelin le 18 octobre 2017

Auteur : Pierrot

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Alors que la France est sous pression terroriste (jihadiste) depuis 3 ans, quoi de mieux pour « l’Intérieur », que d’allumer un contre-feu en médiatisant une pseudo affaire de terrorisme d’extrême droite. C’est du deux en un : un coup de com’ à pas cher, et de quoi apeurer la ménagère en agitant le spectre de la bête immonde.

Quoi de mieux pour la République, que de mettre sur le même plan médiatique, des terroristes islamistes organisés en réseaux, avec des financements, des canaux de communication, des bases arrière, et les patriotes lassés de l’invasion migratoire ?

Les vieilles méthodes de barbouzes se révèlent toujours efficaces. La police arrête un mec perdu ainsi que son entourage, l’affaire est médiatisée en appuyant sur l’orientation « extrême droite » du dossier. Pour terminer, on insiste sur le fait que le terrorisme n’est pas une prérogative de l’islam radical. (affaire Nisin, ci-dessous)

Rappelons qu’aucun mouvement de la droite nationale contemporaine (post guerre d’Algérie), n’a incité, organisé ou financé de projets visant à attaquer mortellement la population civile ou militaire. Le peu « d’affaires terroristes » qui concerne des militants nationalistes (Brunerie en dernière date), sont le fait d’individus isolés, ne répondant à aucune commande, d’aucun groupe constitué. L’attribution même de ces projets « violents » à la droite nationale, comme le fait Le Monde (ici), relève de la plus pure malhonnêteté intellectuelle.

Dix hommes présumés proches de l’extrême droite ont été arrêtés dans les environs de Marseille et en Seine-Saint-Denis, mardi matin. Ils sont soupçonnés d’avoir participé à des projets d’attentats visant des lieux de culte musulmans et des personnalités politiques.

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mardi, 03 octobre 2017

Terrorisme : la faute à pas de chance !

Publié par Guy Jovelin le 03 octobre 2017

Rédigé par notre équipe le 02 octobre 2017

Les jours se suivent et se ressemblent terriblement. La France est un vaste champ dans lequel les terroristes s’en donnent à cœur joie tandis que les autorités détournent le regard. Le nouvel attentat perpétré hier à la gare Saint-Charles de Marseille rappelle cette triste réalité. Les « Allah akbar » sont scandés dans nos rues, mais il est de bon temps de parler d’ « internationale terroriste ». La classe politique est plus prompte à partager son émoi qu’à régler un problème sécuritaire pourtant en grande partie maîtrisable.

« La France va devoir vivre avec le terrorisme ». Manuel Valls, Premier ministre, expliquait au lendemain de la tuerie de Nice que le terrorisme était devenu consubstantielle à la France et qu’au fond, il fallait subir et être assez chanceux pour ne pas trouver la mort en allant acheter son pain ou en ayant l’idée saugrenue d’assister à un spectacle. Cette chance, deux jeunes femmes ne l’ont pas eu hier alors qu’elles se trouvaient devant la gare SNCF de Marseille. Une égorgée, l’autre éventrée par un individu qui crie « Allah Akbar ».

Le carnage aurait pu être plus grand encore si les militaires de la force Sentinelle n’étaient pas intervenus rapidement et n’avaient pas éliminé ce terroriste décidé à leur planter sa lame dans le corps. Les militaires français ont fait preuve de leur courage et de leur utilité, mais le redéploiement voulu (il faut comprendre par « redéploiement » l’arrêt de leur mission de surveillance et de protection) suivra son cours. En attendant, deux innocents sont à ajouter au tableau macabre du terrorisme en France. Des victimes qui se succèdent et des terroristes qui ont toujours un profil qui illustre le laxisme de l’Etat et de la Justice.

Un laxisme coupable

Cette fois-ci, il ne s’agit pas d’un fiché S, mais d’un délinquant multi-récidiviste en situation irrégulière sur le territoire français. De nationalité tunisienne, le terroriste du jour n’a peut être pas réussi à s’intégrer à une nation française décidément trop raciste et islamophobe… Encore une « chance pour la France » qui n’a pas trouvé sa voie ou celle du moins qu’avait en tête la gôche morale. Cette même gôche qui a refusé de parler d’un attentat islamiste après les faits. Gérard Collomb, ministre de l’Intérieur à la vision déficiente, tweete instantanément qu’il se rend à Marseille. Pour y faire quoi ? Pour expliquer qu’il faut continuer dans la pas d’amalgame et qu’il est difficile de mettre cet attentat sur le dos de l’islamisme radical ? Il est vrai que des meurtres au cri d’Allah Akbar peuvent faire penser à la piste basque…

Le gouvernement préfère entrer dans la ritournelle de l’émotion et attend sagement que l’Etat islamique revendique l’attentat. C’est désormais chose faite, mais rien, encore une fois, ne sera entrepris pour que de tels massacres n’aient plus lieu. Est-il possible de prévenir toutes les attaques sur notre sol ? Malheureusement, les politiques ont raison en affirmant que non. Toutefois, bien des vies auraient pu être épargnées si l’exécutif et la Justice remplissaient leur mission. Des centaines, si tous les fichés S, multirécidivistes, djihadistes de retour de Syrie et sympathisants islamistes déclarés étaient neutralisés et non libres de préparer des attaques et vivant des allocations.

Les bien-pensants répondent qu’un état de droit ne peut pas mettre en prison des individus qui n’ont pas encore tué. La France ne doit pas devenir une expression réelle de Minority Report. L’argument est faux est sert les actions terroristes. Un individu qui a déclaré sa joie de voir des innocents mourir sous les coups du terrorisme a sa place en prison jusqu’à la fin de ses jours. Ceux qui sont déjà passés à l’action, plus encore. L’Etat de droit devient synonyme de déliquescence morale et de trahison du peuple. Un peuple qu’on égorge et qui n’a droit qu’à une émotion feinte. Les cadavres pourront s’accumuler sous les fenêtres des ministres, la réponse des autorités ne changera pas tant qu’un grand coup de balai ne sera pas donné.

 

Source : 24heuresactu

vendredi, 25 août 2017

“Si quelqu’un crie ‘Allah Akbar’, nous l’abattrons”, prévient le maire de Venise

Publié par Guy Jovelin le 25 août 2017

 
La place Saint-Marc, à Venise, en Italie. Photo © Luca Bruno/AP/SIPA

Terrorisme. L’édile de droite Luigi Brugnaro affirme que sa ville est plus sûre que Barcelone, frappée par un attentat meurtrier, la semaine dernière.

Le maire de Venise Luigi Brugnaro assure que sa ville est plus sûre que Barcelone, où 13 personnes sont mortes dans un attentat, la semaine dernière, rapporte le Times. Lors d’une conférence à Rimini, dans le nord-est de l’Italie, l’édile de droite, réputé pour son franc-parler, a même menacé de faire tirer sans sommation sur les suspects de terrorisme.

“À l’opposé de Barcelone, où ils n’ont pas installé de protections, nous restons sur nos gardes”, a-t-il déclaré sous les applaudissements. “Si quelqu’un court sur la place Saint-Marc en criant ‘Allah Akbar’, nous l’abattrons”, a prévenu le maire. “Nous enverrons les terroristes directement chez Allah avant qu'ils ne puissent nous faire du mal”, a-t-il conclu.

 

Source : valeursactuelles

vendredi, 11 août 2017

Militaires pris pour cible : A qui la faute ?

Publié par Guy Jovelin le 11 août 2017

Rédigé par notre équipe le 10 août 2017.

 
 
 
Alors que Paris et la France tournent au ralenti en raison des vacances scolaires, un secteur pas comme les autres continue son laborieux travail : le terrorisme. La nouvelle attaque perpétrée ce mercredi contre des soldats de la force Sentinelle constitue un énième rappel du mal qui ronge la France. Et face à cet « acte lâche » pour paraphraser la ministre de la trahison Défense, on s’achemine vers une soumission intégrale.  

Après la tuerie de Bataclan, la seule réponse qu’a trouvé Hollande et sa bande a été d’envoyer des militaires sur les sites sensibles que compte notre territoire. Autant dire que la mission était vouée à l’échec, car tout est désormais une cible. On tue des enfants devant leur école, on égorge un prêtre dans son église et on mitraille les malheureux qui ont eu l’impudence de prendre un verre en terrasse. Les cibles à surveiller sont beaucoup trop nombreuses et les apprentis terroristes bien trop en liberté pour penser sérieusement à protéger Français et étrangers qui vivent et visitent notre pays. Mais bon, il fallait frapper fort après avoir fermé les yeux sur la menace terroriste et ainsi donc l’opération Sentinelle est née.

Plus de 7 000 militaires sont aujourd’hui déployés sur le territoire alors qu’il devraient être chez eux en famille ou à protéger les vrais intérêts de la France à l’étranger. Pourtant, ils jouent de bonne grâce au piquet et attendent d’être attaqués par les milliers de fichés S et leurs acolytes qui ont juré la perte de la France. Quelques jours à peine après une attaque foireuse (et foirée) à la Tour Eiffel, une autre « chance pour la France » issue d’Algérie a décidé de passer à l’action en tentant d’assassiner des militaires de la force Sentinelle déployés à Levallois-Perret. Pas vraiment téméraire, celui-là a choisi de leur foncer dessus à bord d’un puissant véhicule.

Le problème, c’est Sentinelle… !

Le bilan est plutôt lourd puisque si aucun militaire n’a heureusement succombé à ses blessures, cette attaque est la sixième depuis le début de l’année (selon le ministère de l’Intérieur) contre des forces de sécurité. Le suspect a été finalement arrêté quelques heures plus tard et se trouve à l’hôpital après avoir tenté de supprimer plusieurs agents de police dans sa fuite… Et voilà qu’à peine les bandages posés sur les plaies des militaires blessés, les médias réagissent comme un seul homme pour remettre en question le déploiement des troupes.

La force Sentinelle serait un appel au crime pour tous les djihadistes qui traînent leur misère et leur haine sur notre seul. Un « pot de miel » comme on peut le lire qui n’a vocation qu’à attirer les attaques. Le système médiatique devient complètement fou. Désormais, le problème ce sont les militaires qui nous protègent et non plus les islamistes ! Une rhétorique surprenante et calamiteuse qui fait le jeu d’un Macron qui ne se cache même plus depuis un mois pour exprimer tout le dégoût que lui inspire l’uniforme.

Le président veut réformer Sentinelle « en profondeur » et a chargé la meute des journalistes de prouver qu’elle est inutile et dangereuse. Ainsi, les avis de pseudo-experts payés pour professer ce que veut Macron, vont fleurir pour expliquer que, oui, Sentinelle est plus un problème qu’une solution. Les militaires rentreront donc dans leur caserne (si elle tient encore debout après la réduction inique du budget de la Défense) et auront tout à loisir de regarder sur leur écran les prochaines attaques meurtrières qui ne manqueront pas d’avoir lieu sur les Champs-Elysées et ailleurs. Faute de ne pas pouvoir prévenir les attentats, on va extraire des rues ceux qui peuvent en limiter l’horreur. Mettre en prison défnitivement tous les fichés S et ceux qui font l’apologie du terrorisme n’a jamais été, n’est pas et ne sera jamais une option pour nos chers politiciens. Retirons les forces de l’ordre et laissons les citoyens se débrouiller par eux-mêmes. Au fond, 239 dans nos rues depuis janvier 2015, c’est peu. La soumission à l’islamisme radical est en marche. Houellebecq avait vu juste !

 

Source : 24heuresactu

dimanche, 11 juin 2017

Rangez les bougies !

Publié par Guy Jovelin le 11 juin 2017

Par Mathieu Bock-Côté

Ce billet tord heureusement le cou à quelques uns des simplismes par lesquels on croit combattre le terrorisme [Journal de Montréal, 6.06].Mathieu Bock-Côté a particulièrement raison d'écrire qu'il faut lui opposerune perspective globale, qu'on ne le vaincra pas en misant exclusivement sur les services de sécurité. Nous avons écrit ici tout à fait la même chose. Pour l'instant, l'intense formatage systémique que subit notre société l'empêche de développer la réaction appropriée. Lafautearousseau   

Scène ordinaire de notre temps: des islamistes posent une bombe ou canardent une foule, à moins qu’ils ne s’y ruent en camion-bélier, avant d’en descendre pour poignarder les passants.

Nous sommes horrifiés. Le lendemain, pour riposter, la population descend dans la rue avec des bougies et des fleurs.

Nous voulons répondre à l’horreur par la compassion: nous donnons surtout l’image de la faiblesse. 

Faiblesse

Quoi qu’on en pense, on ne vaincra pas l’islamisme avec des prières, des chandelles et des chansons. Il y a des limites à croire que l’amour est plus fort que tout.

Plusieurs l’ont noté après le massacre de Londres, nous nous habituons aux attentats. Ils meublent désormais l’actualité. Comme si l’horreur était désormais banale.

Il nous faudrait plutôt développer une perspective globale sur le terrorisme islamiste. D’abord en cessant de dire que ces attentats sont insensés. C’est faux. Ils ont un sens. Ils visent à terroriser les populations occidentales et à assurer la progression de l’islamisme chez nous.

Ils doivent nous convaincre de notre impuissance et de la victoire inéluctable des combattants du Djihad.

On ne vaincra pas l’islamisme en misant exclusivement sur les services de sécurité. Il faut combattre le terreau où il recrute ses militants.

On sous-estime, de ce côté-ci de l’Atlantique, à quel point l’islam radical a pris racine en Europe et exerce sa loi dans de nombreux quartiers.

Guerre

Il n’est pas toujours meurtrier. Il est toujours conquérant. Il est là pour imposer sa loi.

Il ne nous demande pas de le tolérer gentiment et de reconnaître son identité. Il veut nous imposer la sienne, avec ses symboles, ses références culturelles, ses mœurs, sa vision du monde.

Comme vient de le dire Theresa May, la première ministre britannique, il faut mener la guerre idéologique contre l’islamisme. Il faudrait commencer par ranger les bougies. Pour l’instant, notre société y rechigne.   

Mathieu Bock-Côté    

 

Source : lafautearousseau