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mardi, 06 septembre 2016

Terrorisme : des agents armés dans les trains à partir de début octobre

Publié par Guy Jovelin le 06 août 2016

INFO RTL - Cette mesure, prise après l'attaque du 21 août 2015 dans un train Thalys, prévoit que des agents de sûreté puissent assurer la sécurité des passagers.

Terrorisme : des agents armés dans les trains à partir de début octobreCrédit Image : JACQUES DEMARTHON / AFPCrédit Média : Jean-Alphonse Richard / RTL


Ces hommes et ces femmes, appartenant exclusivement aux polices de la SNCF et de la RATP, la Surveillance générale (SUGE) et le Groupe de protection et de sécurisation des réseaux (GPSR), seront présents dans les voitures de manière discrète. Ces agents, en civil au milieu des usagers, auront pour mission de sécuriser les convois, notamment lors de l'embarquement des passagers. Ils pourront donc être capables d'intervenir très rapidement en cas de problème à bord d'un train.

Rassurer les usagers

La loi encadre strictement leur mission. Ces agents, qui patrouilleront deux par deux, pourront par exemple maintenir un individu qui refuse un contrôle d'identité, ou qui a une attitude menaçante. Ils devront cependant le remettre au plus vite à un officier de police judiciaire, policier ou gendarme. Quant à l'utilisation de leur arme de poing, elle est strictement réservée aux situations d'urgence ou d'attentat. D'une manière générale, leur présence sert avant tout à rassurer les usagers.

Le nombre exact de ces marshalls ferroviaires, formés spécifiquement à ces missions, restera secret. Idem pour leurs affectations, en priorité les trains régionaux et les TGV. Ils seront également présents sur les trains de banlieue.

 

Source : rtl

lundi, 01 août 2016

Terrorisme : la presse oublie de parler des violences maçonniques

Publié par Guy Jovelin le 01 août 2016

Rédigé par Philippe Lesage le 01 août 2016.

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Énorme curée de désinformation en ce premier lundi d’août 2016, les propriétaires des gros journaux (Le Figaro, le Monde, Libération, Le Parisien …) ont décidé de convaincre les Français que le drame de Rouen n’a rien à voir avec l’Islam. La preuve «c’est le Pape qui le dit», plus une petite dose de Padamalgam : «un musulman a failli se faire égorger à Rouen». Les clowns-journalistes se distinguent sans nuance dans l’ordre du mensonge médiatique, lisons entre les lignes :

Pour cela, prenons comme exemple les titres du Figaro de ce matin : «Pape François: Si je parle de violence islamique, je dois parler de violence catholique». Donc, le Figaro fait dire au Pape que la religion catholique porte le même lot de violences que la religion islamique. Si, nous poursuivons cette ligne de rédaction, alors pourquoi oublier de rappeler que le fanatisme historique touche aussi la secte-religion rampante de la République : la Franc-Maçonnerie ? Secte qui ne revendique pourtant jamais les terreurs révolutionnaires qu’elle a enfantées et qui ensanglantent la planète entière depuis 200 ans, dont les persécutions religieuses en France (1793, 1848, 1870, 1880, 1903, 1905, 1977).

S’il est toujours possible de ressasser l’Histoire avec son lot d’interprétations idéologiques (croisades, guerres de défense ou guerres d’agression ? Guerres de religion ou guerres politiques ? Etc…), la presse ignore ces faits pourtant indiscutables : en 2016, il n’y a pas de terrorisme catholique (sauf peut-être en Irlande ?), depuis 1453 jusqu’en 2016 l’Islam, soutenu par la croissance démographique de ses populations, massacre sans complexe la Chrétienté partout où il la rencontre. Car en 2016, les deux terrorismes meurtriers sont, d’une part le terrorisme islamique qui a assassiné deux cent trente Français cette année, et d’autre part le terrorisme économique occidental sous contrôle américain qui a fait UN MILLION TROIS CENTE MILLE MORTS CIVILS au Moyen-Orient et en Asie centrale depuis le déclenchement de la deuxième guerre du Golf en 2003.

Donc, les journaux peuvent gloser longtemps sur les violences aux couleurs religieuses pour noyer le poisson, le terrorisme de masse soutenu par les politiques souterraines d’États barbouzes comme la France socialo-sarkozyste, les ramènera bien vite à la réalité des morts innocentes. Le Figaro fait donc dire au Pape «Ce n’est pas juste d’identifier l’islam avec la violence, ce n’est pas juste et ce n’est pas vrai». C’est ignorer qu’une partie, difficile à estimer certes, mais une partie des musulmans de France approuve les actes terroristes commis en France. Pourquoi ? Parce qu’ils en trouvent une justification dans un fond culturel imprégné par la loi du Talion. C’est devant cette réalité «multi-culturelle» que la classe médiatico-politique fait l’autruche et ment. Combien de temps encore ?

 

Source : 24heuresactu.com

samedi, 30 juillet 2016

Terrorisme : nous goûtons les fruits amers du nouvel ordre mondial

Publié par Guy Jovelin le 30 juillet 2016

Rédigé par 1000itant le 27 juillet 2016.

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Les dérégulations économiques en Europe et la guerre au moyen-Orient sont deux ingrédients d’un même poison : le nouvel ordre mondial. Combien de morts faudra t-il comptabiliser pour que les peuples cessent de faire confiance à l’oligarchie mondialiste qui nous gouverne ? Dans cet article, nous démontrons que les dérégulations économiques et démographiques imposées par Bruxelles, amplifient les effets destructeurs des initiatives mercantiles et guerrières qui gouvernent la guerre au moyen-Orient, car le paradigme libéral-libertaire du nouvel ordre mondial est intrinsèquement pervers.

A ce titre, l’espace Schengen est mortifère parce que non régulé. Le sang Français a payé 230 morts cette année pour le savoir. Aucun système, absolument aucun, qu’il soit naturel, anthropique ou naturel-anthropisé ne fonctionne sans régulation. La sélection naturelle est un des mécanismes de régulation les mieux connus aujourd’hui, mais il est aveugle, violent et impitoyable : il fait des morts. Or, aussi invraisemblable que cela puisse paraître, Schengen impose une sorte de régulation naturelle des flux migratoires et des communautarismes en Europe, et cela commence à faire des morts, comment s’en étonner ?

Dans ce contexte non maîtrisé, les utopies mercantiles de ceux qui ont voulu (et veulent toujours) des États informes et sans aucune régulation aux frontières ont, pendant quarante ans, construit la poudrière sur laquelle nous sommes assis en 2016. Nous sommes bien obligés de constater que des intérêts financiers pétroliers et gaziers, soutenus par des partis politiques, notamment français, qui mélangent électoralisme, géo-stratégie, clanisme économique et religions mal comprises, se sont autorisés à enclencher un mécanisme infernal : la guerre civile au moyen-orient, en entretenant sur notre sol les factions terroristes qui se retournent aujourd’hui contre le peuple Français.

La bombe a été amorcée à Schengen en 1985, elle a été armée en Irak en 1990 (première guerre du Golf) et encouragée à Maastricht à partir de 1992 (ouverture de l’Union Européenne sur la mondialisation sauvage). La mèche a été allumée en Irak par les USA en 2003 (deuxième guerre du Golf). Et à nouveau, puisque le balais infernal avait été ouvert par l’empire américain, leurs vassaux européens n’ont rien trouvé de mieux que d’encourager l’embrasement de la Syrie à partir de 2011.

Avec Nicolas Sarkozy et François Hollande, les diplomaties anglaises et françaises ont agi dans le secret et contre les intérêts supérieurs de leur pays. Mais les retombées parisiennes et niçoises n’ont manifestement pas encore été suffisamment sanglantes pour donner à la classe politique l’ouverture d’esprit suffisante : nous n’avons entendu absolument aucun mea culpa alors qu’elle a construit avec un entêtement aveugle les drames d’aujourd’hui.

Car entretenir des réseaux terroristes sur notre territoire en prétendant les instrumentaliser à des fins géo-stratégiques est une folie dans laquelle nos gouvernants se sont fourvoyés, persistent, mais ne signent pas : les morts autour de la Mare Nostrum se comptent en centaines de milliers, et les populations déplacées déplacent avec elles le chaos qu’on leur a imposé. L’absence de frontières en Europe interdit toute réaction efficace, mais n’était-ce pas l’effet recherché ? La situation est devenue incontrôlable.

Nous devons alors reconnaître que pendant quarante ans de construction européenne, nous nous sommes trompés. Car le paradigme du nouvel ordre mondial que l’Union Européenne veut imposer, notamment à travers Schengen est intrinsèquement pervers. En effet, tout système «dérégulé» ne peut qu’être injuste et violent. Le système américain est injuste et violent. Les États-Unis d’Europe sur le mode américain ne pourraient-être qu’injustes et violents.

Ainsi, une France dérégulée, dans une Europe dérégulée, dans un monde dérégulé, est déjà une catastrophe, combien de morts faudra t-il pour s’en persuader ? Nous en goûtons partout en Europe les fruits amers : agressions quotidiennes décuplées, banlieues incendiées à chaque nouvel an, inauguration des viols de masse en Allemagne, prolifération de la voyoucratie clanique et des réseaux de pillages organisés, arrivent aujourd’hui les attentats de masse. Si nous échappons encore aux affrontements armés en France, c’est uniquement parce que les populations civiles ne sont pas encore officiellement armées, c’est la seule raison. Distribuez quelques armes, et vous aurez la Guerre syrienne en France.

Il nous faut donc de toute urgence affirmer politiquement que le credo libéral du nouvel ordre mondial imposé par la finance internationale consanguine de la commission bruxelloise est une monstruosité, portée en France par LR-PS. Pendant que les Niçois pleurent leurs morts innocents, on trouve pourtant un Julien Dray pour les accuser sans aucune pudeur d’avoir aggravé le risque par eux-mêmes, on trouve encore Natacha Polony pour pleurnicher sans honte dans le Figaro. L’intellectuelle voudrait que «cette guerre ne devienne pas civile» ! Mais toutes ces guerres sont déjà civiles. Comment peut-elle encore faire preuve d’un tel aveuglement ? La guerre est civile en Irak, la guerre est civile en Syrie, et la guerre en France ne demande qu’à être armée pour devenir civile !

«Ne pas céder à la haine», comme on entend le répéter les journalistes aveugles ou vendus, c’est d’abord reconnaître que le paradigme qui sous-tend le nouvel ordre mondial imposé aux peuples européens à travers l’Union Européenne détruit l’Europe, parce que ce paradigme du tout-libéral-libertaire détruit l’unité de ses populations, les appauvrit irrémédiablement, et les dresse les unes contre les autres : le nouvel ordre mondial génère le Chaos, parce qu’il espère s’imposer sur un chaos qu’il aura patiemment construit. Le paradigme est mauvais, il nous faut en changer de toute urgence et remettre en chantier les fondamentaux de la construction européenne.

 

Source : 24heuresactu

mercredi, 20 juillet 2016

Toulouse, Paris, Bruxelles, Nice : 100 % des terroristes sont issus de l’immigration

Publié par Guy Jovelin le 20 juillet 2016

19 juillet 2016 par Bucheron

 

Source : contre-info

mardi, 19 juillet 2016

En finir avec le règne du hastag mobilisateur et de la résonance émotionnelle

Publié par Guy Jovelin le 19 juillet 2016 

 

Par Anne-Sophie Letac

Une très belle réflexion, dans une tribune d'hier sur Figarovox, qui confirme en termes vivants et avec profondeur ce que nous-mêmes écrivions ce 18 juillet. Anne-Sophie Letac y constate que les médias en général et davantage encore les réseaux sociaux servent de caisse de résonance aux attentats. Le risque est alors grand de suivre la « voie étroite et faussement vertueuse de l'indignation et de l'émotion collective ». Nous n'avons rien à ajouter à cette très exacte analyse. LFAR   

         

duel_2.jpgEn 1973, le premier film de Steven Spielberg, le thriller allégorique Duel, mettait en scène un camion semi-remorque personnifié par ses gros phares globuleux, qui poursuivait sans visage ni raison la voiture d'un voyageur de commerce au nom métaphorique, David Mann, afin de l'écraser. Mann, l'Homme, faible et sans défense, se trouvait confronté à une version déshumanisée et arbitraire du mal, dont il finissait par triompher dans une confrontation directe avec la machine, le David à la petite voiture rouge acceptant le duel et projetant dans l'abîme le Goliath de tôle et d'acier. Dans l'attaque terroriste de Nice, le camion criblé de balles et l'homme abattu ne sont en revanche qu'un triomphe piteux sur la machine aveugle, puisque le camion frigorifique, version quatre saisons et maraîchage niçois de Duel, lancé par la volonté démoniaque d'un conducteur parfaitement identifié, Mohamed Lahouaiej-Bouhlel, a réussi à broyer les os de 84 êtres humains. Pourtant, Duel a quelque chose à voir avec cette épouvante. Le choix du camion relève certes en partie d'un terrorisme «artisanal», d'une réponse à l'injonction de l'Etat islamique de tuer les «méchants et sales Français» de « n'importe quelle manière », y compris en les égorgeant au couteau ou en les écrasant en voiture. Mais sa transformation en machine de mort prouve aussi que le terrorisme islamiste appartient pleinement à la civilisation technologique et déshumanisante que dénonçaient Spielberg dans Duel ou Georges Lucas dans l'un de ses premiers films, THX1138. La machine porteuse de progrès retournée contre l'homme, voici ce qu'incarne l'attentat de Nice.

Si la technologie nourrit généreusement le terrorisme, celui-ci est aussi enkysté comme un parasite dans une civilisation de l'image dont nous maîtrisons aussi mal les conséquences que celles du nucléaire. L'attentat terroriste est conçu pour être vu et filmé, ou du moins pour que ses effets le soient, et nous obéissons docilement à cette injonction implicite. Les journaux sont pleins d'images de badauds qui « smartphonent » l'horreur. Le téléphone qui filme un être humain en train de mourir ou une panique de rue pose la question morale de l'obscénité du geste, la question juridique de la non-assistance à personne en danger, mais aussi plus froidement la question de la complicité inconsciente de toute une civilisation. Le rituel d'après attentat est sinistrement bien rodé : les réseaux sociaux transmettent rapidement les informations, partagent les vidéos amateurs, les avis de recherche et autres safety check, laissant les médias traditionnels pédaler derrière. L'onde de choc se propage, générant l'effroi et son corollaire, l'empathie, la résonance compassionnelle, le règne du hashtag mobilisateur.

En effet, la compassion est mise en scène selon un rituel qui crée, à peine les traces de sang effacées, des lieux de mémoire instantanés. L'émotion collective est canalisée par des fleurs et des bougies, des cellules psychologiques, des marches blanches. L'exigence d'immédiateté conduit au pire : les journalistes interviewent des gens qui viennent de perdre leur enfant, on emploie l'horrifiante expression « commencer à faire son deuil » associée à « se reconstruire » quelques heures après le drame, ou celui de « tragédie » (qui renvoie à une situation indépendante de la volonté humaine) au lieu de l'approprié « crime de masse ». De manière révélatrice, on confond systématiquement le choc immédiat et le traumatisme, syndrome de longue durée et imperceptible dans l'instant. Parce que c'est télégénique, les victimes se doivent d'être immédiatement « traumatisées », alors que le vrai traumatisme ne survient, que le vrai deuil ne se vit, on le sait fort bien, que des mois plus tard, dans l'indifférence générale. L'obscénité des intérêts financiers est à peine masquée : un représentant des hôteliers de Nice affirme ainsi que continuer à faire du tourisme est un acte citoyen, des experts psychiatres crédibilisent l'inanité de l'analyse instantanée. Les grandes chaînes d'information bavardent, relayant sans filtre le frère tunisien qui dédouane le meurtrier, les voisins plus sceptiques mais pas plus crédibles, ou l'avocat de l'épouse commis d'office pour la défendre.

L'omniprésence de l'image, la cacophonie de la parole nous intiment de regarder l'événement comme on visionnerait un film d'horreur, et de le mettre à distance aussi rapidement qu'il nous a été présenté. Il ne nous laisse, si nous ne nous en défendons pas, que la voie étroite et faussement vertueuse de l'indignation et de l'émotion collective. Assuré que l'indignation est « unanime », que l'hommage est « pudique », que les badauds sont « bouleversés » et que la terreur « n'épargne pas ceux qui l'ont côtoyée » (sic), le spectateur flotte dans une téléréalité impitoyable qui empêche de nommer l'ennemi. Ainsi, encore plus téléréel que nous, encore plus immédiat, vient d'apparaître sans crier gare le fast muslim, le radicalisé à grande vitesse, qui à peine la dernière pute baisée et le dernier verre avalé, rachète instantanément sa vie par un meurtre de masse. 

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Anne-Sophie Letac

 

Source : lafautearousseau