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mercredi, 20 septembre 2017

Un contrat d'armement à 3 milliards d'euros aurait aidé à la libération du journaliste Loup Bureau

Publié par Guy Jovelin le 20 septembre 2017

Photo © TRISTAN REYNAUD/SIPA
Photo © TRISTAN REYNAUD/SIPA

Otage. Nos confrères de Challenges révèlent en exclusivité qu'un contrat d'armement à plusieurs millions d'euros serait à l'origine de la libération du journaliste français Loup Bureau, retenu en prison en Turquie pendant 51 jours.

C'est une information exclusive révélée par nos confrères du journal économique Challenges : “la négociation en cours d’un contrat d’armement de plusieurs milliards d’euros entre la France et la Turquie a accéléré la libération, le 17 septembre, du journaliste Loup Bureau, détenu pendant 51 jour à Sirnak”, le journal ajoutant que “le sujet sera d'ailleurs discrètement évoqué par Emmanuel Macron et Recep Tayyip Erdogan, lors de leur rencontre, le 19 septembre à New-York”.

“Un contrat à trois milliards d'euros”

Challenges explique que le contrat en question porte sur un appel d'offre du ministère de la défense turc sur l'architecture d'un futur système de défense aérien du pays où le spécialiste de l'électronique militaire français Thalès et le fabriquant européen de missiles MBDA ont concouru ensemble.

 

Source : valeursactuelles

vendredi, 28 juillet 2017

La France vassale de la Sublime Porte !

Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2017

POSTÉ LE 25 JUILLET , 2017, 12:00

erdogan,france,turquie,vassale de la sublime porteLa lecture des médias étrangers est un exercice aussi intéressant que troublant, car, lorsqu’ils parlent de la France, un Français supposerait facilement qu’ils parlent d’une autre planète, tant « nos » médias sont conformistes.

C’est ainsi que j’ai découvert avec stupéfaction que la France avait accepté de payer pour que la Turquie maintienne sa signature à l’accord de Paris sur le climat.

Non seulement cet accord risque de mettre en péril la compétitivité de nos entreprises, mais le contribuable français va donc être mis à contribution pour permettre à la Turquie de jouer les bons élèves en matière d’écologie.

Inutile de dire que les dirigeants français ne se sont pas empressés de nous le faire savoir.

Au demeurant, nous ignorons  toujours ce que cet accord de Paris va bien pouvoir faire pour « sauver la planète ».

Certains médias se gaussent de M. Macron – ou le félicitent – qui voudrait faire de la France une start-up. Comme s’il était possible de diriger un État millénaire comme une entreprise internet.

Mais, du moins, cela permettrait-il de mettre en œuvre des réformes administratives trop longtemps attendues.

Le problème, c’est que, bien plus qu’une start-up, M. Macron – fidèle en cela à ses prédécesseurs – souhaite faire de la France une ONG.
Une ONG environnementale, une ONG d’accueil des « migrants ». Bref une ONG sur tous les sujets à la mode.

Donc tout sauf un pays devant se protéger et protéger ses citoyens dans un contexte international particulièrement tendu.

Il est d’autant plus absurde de payer pour la Turquie que celle-ci insulte de plus en plus ouvertement l’Union européenne et ses États membres, qui ont le front de ne pas l’abreuver suffisamment de milliards de subventions et d’émettre quelques réserves sur la réislamisation entamée par M. Erdogan.

L’UE a pourtant été d’une longanimité peu commune.

Nous avons d’ores et déjà donné des milliards au titre de la « pré-adhésion ».

Alors même que la Turquie occupe illégalement un État membre (Chypre en l’occurrence). Et que la Turquie continue à pénaliser les personnes qui croient que le génocide arménien a été une réalité.

Imaginons quelles seraient les réactions des médias de gauche si l’Allemagne avait dans son Code pénal une disposition prévoyant d’envoyer pour 10 ans en prison toute personne qui affirmerait que les chambres à gaz ont existé !

Là, silence. Toute la classe politique, ou peu s’en faut, considère que la Turquie est un pays d’Europe, phare d’un islam modéré et « compatible avec la laïcité ». Sans rien comprendre à ce qu’a fait naguère Atatürk et ce que fait aujourd’hui Erdogan.

Pour ma part, j’ai toujours trouvé idiot d’humilier la Turquie, comme cela se pratique régulièrement en Europe. Mais tout aussi idiot de la faire rêver à ces chimères impossibles.

Non, la Turquie n’a pas sa place en Europe. Et, oui, il faudrait profiter de la grogne actuelle du « Sultan » Erdogan pour le lui dire clairement.

En attendant, ce que nous constatons est fort éloigné de ce bon sens élémentaire.

La Turquie nous insulte, mais nous courbons l’échine en la priant humblement de bien vouloir accepter, avec nos excuses empressées, quelques milliards supplémentaires.

On se demande parfois si cette Europe avachie a quelque chose à voir avec celle qui, jadis, résista à la Sublime Porte, et la mit magnifiquement en déroute, à Lépante ou à Vienne.

Mais, plus généralement, l’Union européenne a-t-elle quelque chose à voir avec l’Europe et sa civilisation sans équivalent dans l’histoire du monde ?

 

Source : les4verites

mardi, 30 mai 2017

Jacques Mézard, un ministre de l’Agriculture au service de la Turquie, y compris au sujet du génocide arménien

Publié par Guy Jovelin le 30 mai 2017

Qui est Jacques Mézard, nouveau ministre de l’Agriculture ? Cet ancien sénateur a présidé au sein de cette assemblée sénatoriale le Rassemblement Démocratique et Social Européen (RDSE) ainsi que le groupe d’amitié franco-turc.

Et Jacques Mézard s’est en effet révélé un ami très dévoué à la vision turque de l’Histoire, y compris au sujet de la négation du génocide arménien. Jacques Mézard ne manque jamais une occasion de rappeler avec fierté à ses amis turcs d’avoir été à l’origine, en 2012, de la censure par le Conseil constitutionnel de la loi pénalisant le négationnisme du génocide arménien.

Et c’est d’ailleurs en instrumentalisent les agriculteurs qu’il avait manœuvré, déférant la loi condamnant le négationnisme du génocide arménien au nom de… la Fédération nationale bovine !

Jacques Mézard avait été raconté aux producteurs bovins que la Turquie boycotterait la viande française si la France pénalisait le négationnisme du génocide arménien.

Voilà pourquoi, selon les médias turcs, Jacques Mézard incarne « les valeurs françaises« . Rien que cela… Les Arméniens, et plus généralement les chrétiens, apprécieront.

Et Macron, il en pense quoi du génocide arménien ?

 

Source : medias-presse.info

mercredi, 19 avril 2017

Un parti musulman soutenu par la Turquie islamiste va présenter 51 candidats aux élections législatives

Publié par Guy Jovelin le 19 avril 2017

BREIZATAO – POLITIKEREZH (19/04/2017) Dans la foulée du référendum turc donnant de larges pouvoirs au président islamiste turc Recep Tayyip Erdogan, le gouvernement turc poursuit dans sa lancée, mais cette fois-ci en Europe.

Pour rappel, le président islamiste turc avait menacé l’Europe de soulever contre elle « le monde musulman » ainsi que les « étrangers » établis sur le continent (source), ajoutant « qu’aucun Européen ne pourrait plus marcher en sécurité, nulle part dans le monde » (source). Erdogan n’en est pas resté au stade des menaces : un parti islamiste turc piloté depuis Ankara présentera plus d’une cinquantaine de candidats aux élections législatives de juin prochain.

L’agence de presse de l’Etat Turc s’en ait complaisamment fait l’écho (source) :

Crée en 2015, le « Parti Egalité Justice » (PEJ), composé essentiellement de jeunes issus de l’immigration, se lancera pour la première fois aux Législatives françaises de juin. Sakir Colak, président de la formation politique française «Parti Egalité Justice» (PEJ), estime qu’il était «inévitable» de créer un nouveau parti politique pour répondre aux attentes des jeunes issus de l’immigration. C’est d’autant plus nécessaire que le «système politique actuel [en France, NDLR] n’accepte plus la différence»,a poursuivi le président du PEJ.

Le nom du parti rappelle naturellement celui au pouvoir en Turquie, une formation islamiste affiliée aux Frères Musulmans : le « Parti Justice et Développement ». Cette formation est identifiée comme une structure d’extraction gouvernementale turque via les associations ethniques historiquement implantées dans diverses villes françaises (source).

Le but du gouvernement turc est d’utiliser l’immigration afro-musulmane comme d’un levier contre l’Europe.

L’article poursuit :

Alors que les partis des extrêmes prennent de plus en plus de place dans le paysage politique, le PEJ est l’un des nouveaux partis conduits par des jeunes issus de l’immigration qui tentent de se frayer un chemin dans la vie politique en Europe à l’instar de la formation «Denk» aux Pays-Bas. Forts du sentiment de rejet ressenti au sein des partis, dits classiques, certains jeunes issus de l’immigration espèrent changer les préjugés et autres stéréotypes en devenant des acteurs actifs de la vie politique.

Sans grande surprise, cette branche islamiste turque nie ses liens avec le gouvernement turc :

Estimant qu’il existe une place pour un nouveau parti politique en France, les fondateurs du PEJ ont lancé leur parti, en janvier 2015, avec comme principal objectif de lutter contre les inégalités et les injustices, poursuit le jeune président du parti. Dès sa création, le PEJ a suscité l’intérêt de nombre de médias régionaux et nationaux, dont certains l’ont précipitamment accusé, d’être «l’arrière garde de la Turquie en France». « Nous sommes un parti politique français” rétorque, de butte en blanc, Sakir Colak à ces détracteurs qui l’accusent à tort.

La ligne politique est claire : structurer l’invasion islamique et diaboliser la résistance identitaire autochtone en usant de la rhétorique antiraciste en usage au sein de la gauche.

Ce que propose le PEJ “est un changement radical de politique pour permettre à notre société de retrouver le vivre-ensemble. Il faut arrêter de diviser la société pour des raisons électoralistes”, souligne, avec force, le président du PEJ.

Rappelons qu’aujourd’hui, des centaines, voire des milliers de jeunes issus de l’immigration, sont membres aussi bien du PEJ que d’autres partis politiques. Pour Colak, « ce n’est pas en les marginalisant, ou en les stigmatisant, qu’on fera avancer les choses”. “Il faut passer au delà des origines et parler du progrès social, de la lutte contre les inégalités et les injustices», a-t-il conclu.

Cette formation entame l’infiltration des enclaves afro-musulmanes de l’Hexagone, notamment en Alsace où se concentrent beaucoup de turcs.

Le PEJ a été crée en 2015 par des jeunes citoyens essentiellement issus de l’immigration. Le PEJ a, officiellement, lancé le week-end écoulé, sa campagne électorale pour les prochaines législatives (juin 2017) dans la ville de Strasbourg (Est), lors d’une réunion de formation des cadres du parti. Le PEJ compte présenter 51 candidats aux prochaines législatives en juin prochain, essentiellement dans les grandes villes.

Présentation des candidats par le PEJ :

Avec la formation d’une république néo-ottomane sous la férule des islamistes, la Turquie vise désormais clairement à soutenir le troisième assaut historique de l’islam contre l’Europe.

 

Source : breizatao

mardi, 11 avril 2017

Provocation : Erdogan veut organiser une prière musulmane en la Basilique Ste Sophie ce Vendredi Saint

Publié par Guy Jovelin le 11 avril 2017

Notre consœur grecque Irène Dimopoulou, directrice du journal EMPROS, nous adresse cet article.

Le président turc Recep Tayyip Erdogan a annoncé qu’il organisera une prière musulmane dans l’Église de la Sagesse de Dieu, plus connue sous le nom de Basilique Sainte-Sophie, à Constantinople. La prière devrait avoir lieu vendredi prochain, Vendredi Saint pour tous les chrétiens, juste avant le 16 Avril, jour du referendum turc visant à lui attribuer des pouvoirs de sultan. Lui-même y sera présent, ainsi que tous les fonctionnaires de l’AKP, son parti au pouvoir.

Ce sera une démonstration, écrivent les médias turcs, contre les Croisés, en même temps que la transformation de l’église – devenue musée – à nouveau en mosquée pour le culte musulman, « selon des sources sérieuses signalées du Palais (le palais présidentiel à Ankara) ».

Il faut aussi signaler qu’en même temps, la presse turque, met en avant une démarche pour l’ouverture de deux mosquées à Athènes. La construction de la première mosquée à Athènes depuis la libération de la Grèce suite à la guerre de 1821, est en cours. Selon le reportage de notre journal EMPROS, la démolition de l’église de St. Savvas, qui se trouve sur la route menant à la mosquée, est aussi demandée, parce que son existence est jugée «provocante » pour les pèlerins musulmans.

Il revient aux Chrétiens d’Orient comme d’Occident, de se soumettre une fois encore aux agressions turques et musulmanes, ou de se regrouper pour faire face aux nouvelles menaces d’Erdogan. La Basilique Sainte Sophie, occupée depuis 1453, n’est plus utilisée comme église. Au moins devrait-elle être respectée comme musée.

Irène Dimopoulou

 

Source :medias-presse.info