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jeudi, 17 mai 2018

Europe : les arrivées de migrants depuis la Turquie sont en forte hausse en 2018, selon la Commission européenne

Publié par Guy Jovelin le 17 mai 2018

Par  le 16/05/2018

Le début de l’année a vu une hausse du nombre de migrants arrivant en Europe, selon l’exécutif européen mardi.

Les arrivées de migrants depuis la Turquie ont fortement augmenté au premier trimestre, même si elles restent largement inférieures à la période de crise, selon les chiffres de la Commission européenne qui prévient que la situation reste « fragile ».

Au cours des trois premiers mois de 2018, les arrivées depuis la Turquie ont augmenté à la fois par les îles grecques (9 349) et par la frontière terrestre (6 108). Dans le second cas, c’est neuf fois plus qu’à la même période un an plus tôt.

(…)

Ouest-France via fdesouche

mercredi, 14 mars 2018

L’UE lance une seconde aide de trois milliards d’euros pour les réfugiés en Turquie

Publié par Guy Jovelin le 14 mars 2018

immigration

L'UE a débloqué un enveloppe de trois milliards d'euros pour aider la Turquie à accueillir les réfugiés syriens sur son sol.

La Commission européenne a donné son feu vert mercredi à une deuxième enveloppe financière de trois milliards d'euros pour aider la Turquie à accueillir les réfugiés syriens sur son sol, comme promis il y a deux ans dans l'accord migratoire controversé conclu entre l'UE et Ankara.

Une deuxième tranche d'aide. Les trois milliards d'euros d'une première enveloppe ayant été attribués à plusieurs dizaines de projets, l'exécutif européen "entame aujourd'hui la mobilisation de la deuxième tranche" du même montant pour "la facilité en faveur des réfugiés en Turquie", a-t-il indiqué dans un communiqué.

Source via lesobservateurs

mercredi, 14 février 2018

Turquie : les Européens se couvrent (encore) de honte !

Publié par Guy Jovelin le 14 février 2018

Rédigé par notre équipe le 13 février 2018.

Depuis l’apparition bien étrange de Daech en Syrie et en Irak, les Européens se sont signalés par une ferme volonté d’aller d’erreur en erreur. Les djihadistes ont longtemps prospéré, les flux venant d’Europe jamais coupés, et l’attitude de la Turquie jamais remise en question. Les armes ont afflué en masse et ce sont les Kurdes – alliés d’hier – qui font aujourd’hui les frais d’une lâcheté européenne qui atteint de nouveaux sommets.

Les trahisons font de belles histoires pour le cinéma, mais il n’est pas certain qu’il restera un Kurde pour regarder le film de la lâcheté occidentale. Après avoir combattu les djihadistes venus des quatre coins du monde, les Kurdes font face à une attaque de grande ampleur dans le nord-ouest de la Syrie. Une attaque venue de Turquie, la soi-disante démocratie qui devait faire le pont entre une Europe endormie et un Moyen-Orient en plein essor. Le conte de fée était beau, mais a bien vite brûlé dans les flammes des bombes et des obus lancés contre les hérauts de la lutte anti-Bachar el-Asad.

Les Kurdes : dindons de la farce turque

Revenons au début de l’histoire. En 2011, les Syriens sont censés faire une révolution pacifique vite réprimée dans le sang par l’armée syrienne. De ce carnage serait né un groupe de djihadistes puissamment armés, entraînés, financés et qui se multiplient à volonté. L’affaire n’a jamais été syrniano-syrienne, mais il est encore de bon ton de le prétendre. Seuls ceux qui regardent le service public n’ont pas encore compris que les djihadistes étaient une création occidentale qui avait pour but de mettre au pas un régime syrien pas assez coopératif et d’aider par la même occasion à la propagation de l’islamisme. Malgré les milliards dépensés et les atrocités commises, la première mission est un échec. Pour ce qui est de la seconde…

Le régime syrien est toujours debout et c’est désormais la Turquie qui est la plus active. Après avoir laissé passer tous les apprentis terroristes venus de France et d’ailleurs, Ankara mobilise son armée contre les forces kurdes qui se sont battues contre les djihadistes et contre le régime syrien. Alliés des Kurdes, les Etats-Unis et les pays européens ne trouvent pas grand-chose à dire lorsqu’ils voient leur autre allié turc les détruire. Car après l’échec djihadiste, la Turquie a peur de combattants kurdes qui ont des envies d’autonomie. Une autonomie ou indépendance qui verrait de nouvelles frontières se tracer aux dépens de la Turquie…

Il faut donc réduire en cendre les Kurdes et la mission sera accomplie d’ici à quelques semaines tant toutes les chancelleries font semblant de croire qu’il s’agit d’une opération limitée dont l’objectif est de sécuriser la frontière. Macron, toujours désireux de faire parler de lui sur la scène internationale a sorti les trompettes et déclaré qu’il verrait d’un mauvais œil une opération kurde de grande ampleur. Du bluff jupitérien car moins de 48 heures plus tard il affirmait être rassuré par les intentions de son ami Erdogan.

La Turquie a les mains libres et les Kurdes rejoignent la longue cohorte des peuples qui ont cru pouvoir se prévaloir du soutien des Européens. Au grand jeu de la géopolitique, la force et la volonté sont deux éléments fondamentaux. L’Europe est un nain divisé qui voit à très court terme et qui a perdu toute volonté. La France – à l’image des élites bruxelloises – n’a aucune volonté de s’ériger contre une puissance même moyenne qu’est la Turquie. Un pays où l’armée est purgée, la population très divisée et les idées au pouvoir bien proches de l’islamisme radical. Mais non, l’Europe et la France ne sont plus que des momies qui continuent même de laisser la porte ouverte à des négociations en vue d’intégrer ce pays au merveilleux monde européen… Les chercheurs d’espoir feraient bien de quitter ce Continent voué à la disparition. Les Kurdes, eux, n’ont plus qu’à se battre pour éviter une annihilation complète.

 

Source :24heuresactu

mardi, 09 janvier 2018

La Turquie veut faire la chasse à l’islamophobie en Europe

Publié par Guy Jovelin le 09 janvier 2018

Turquie
 
 Le parlement turc s'inquiète du traitement infligé à des musulmans en Europe. L'assemblée souhaite dès lors mener une enquête sur l'islamophobie dans quatre pays du Vieux Continent, dont la Belgique, rapportent lundi les journaux flamands Het Nieuwsblad, Gazet van Antwerpen et De Standaard.

Une telle initiative fait suite aux nombreuses réactions racistes suscitées lors de la naissance du premier bébé de l'année 2018 à Vienne, une fille d'origine turque. De nombreux commentaires xénophobes ont ainsi afflué sur les réseaux sociaux lorsqu'un journal autrichien a publié sur Facebook une photo du nouveau-né et des ses parents à la maternité.

Cela a mené à une petite émeute dans le pays où le parti d'extrême droite FPÖ est récemment entré dans le gouvernement.

Il s'agit pour le parlement turc d'une raison suffisante pour initier une enquête sur l'islamophobie en Europe, écrivent les journaux de Mediahuis, citant des médias turcs.

Une nouvelle commission parlementaire a donc été mise sur pied. Celle-ci débutera ses travaux ce mardi.

Les députés se concentrent sur les quatre pays européens, où, selon eux, l'islamophobie est la plus forte, à savoir l'Autriche, l'Allemagne, la France et la Belgique. Ils souhaitent également être autorisés par ces pays à mener leurs recherches sur place.

 

Source via lesobservateurs

lundi, 11 décembre 2017

Les patriotes bulgares capturent les migrants, et les renvoient en Turquie

Publié par Guy Jovelin le 11 décembre 2017

 

“Quand les Etats sont absents, c’est aux citoyens d’agir”

C’est ainsi que Vladimir Rusev, commandant du Mouvement national bulgare Chipka, justifie sa mission de protection à la frontière turco-bulgare.

Car depuis la fermeture de la route des Balkans, la Bulgarie est devenue le ventre mou de l’Europe, un passage par lequel s’engouffrent les passeurs sous contrôle de la mafia turque. (Figmag du 9 décembre)

Ces volontaires et bénévoles, encadrés par d’anciens militaires ou policiers, font le travail de Frontex et de Bruxelles, totalement défaillants en la matière.

La mission : repérer les migrants, les arrêter, les renvoyer en Turquie.

Il y a bien une clôture dissuasive de 146 kilomètres, mais la frontière en fait 260 !

Il suffit de contourner ce semblant de Ligne Maginot et d’emprunter les chemins de montagnes et forêts pour gagner l’Eldorado européen.

Venus d’Afghanistan, de Syrie, d’Irak, du Bangladesh ou du Pakistan, les jeunes migrants se montrent agressifs et rendent le travail des volontaires, qui ne sont pas armés, souvent dangereux.

“Ils se réclament de l’islamisme radical”, nous dit Vladimir Rusev.

Une fois arrêtés, les migrants ont le choix entre le raccompagnement à la frontière turque ou la remise entre les mains de la police bulgare.

Après 5 siècles de domination ottomane, la motivation de ces volontaires est extrême. Pas question de céder à l’invasion musulmane.

Roumanie et Bulgarie partagent la même vision que le groupe Visegrad.

Les demandes venues  de Serbie, de Hongrie, de Roumanie, d’Allemagne, de France ou d’Autriche arrivent chez Vladimir Rusev.

Ces volontaires extrêmement motivés se veulent les remparts de l’Europe face aux  nouveaux envahisseurs.

Comme l’a dit Viktor Orban : “C’est à la frontière bulgaro-turque que va se décider l’avenir de l’Europe”.

Mais côté occidental qui est conscient du désastre qui se profile ?

Jamais le tsunami migratoire n’a été aussi impétueux. Tous les barrages aux frontières ont cédé depuis longtemps.

Et ne comptons pas sur Merkel ou Macron pour protéger l’Europe.

Ils ne savent qu’attiser les braises.

La teutonne en délire impose ses quotas et veut sanctionner les pays récalcitrants avec une amende de 250 000 euros par migrant refusé !!

Quant à Macron, il n’a aucune solution crédible pour stopper l’invasion. Des mots sans lendemain alors que le pays s’effondre sous les coûts de l’immigration.

70 milliards par an ! Deux fois le budget des armées ! Deux fois la croissance du PIB. Soit l’équivalent de notre déficit budgétaire annuel. Sans ce fardeau démentiel, la France n’aurait pas de dettes !

A titre de comparaison, Trump a fait chuter le nombre de migrants de 83% en 1 an. L’Amérique d’abord.

C’est toute la différence entre un véritable protecteur de son peuple et un immigrationniste  fossoyeur de la nation.

Jacques Guillemain

 

Source : ripostelaique