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mardi, 11 juillet 2017

Indre : mutation d’office pour l’instituteur qui voulait étudier la Bible en classe

Publié par Guy Jovelin le 11 juillet 2017

L’hebdomadaire catholique « La Vie » revient sur une affaire qui a fait grand bruit et ne s’est pas éteinte avec la fin de l’année scolaire : à Malicornay (Indre), un instituteur d’école publique a été suspendu puis sanctionné par l’Éducation nationale parce qu’il avait fait étudier des extraits de la Bible dans le cadre de ses cours de CM1-CM2. Le départ du maître suscite l’incompréhension et le désarroi des parents, qui se battent pour le faire revenir.

 (église de Malicornay)

Depuis plusieurs mois, l’ambiance est électrique sur le territoire du « Regroupement pédagogique intercommunal » (RPI) de Malicornay. Début février, le maître d’école, très apprécié des parents et des élèves, a dû quitter sa classe brutalement en raison d’un manquement à la laïcité, dénoncé par une lettre anonyme adressée à l’inspecteur de l’Éducation nationale (IEN) de La Châtre, la sous-préfecture dont dépend Malicornay. Après quatre mois de suspension, l’enseignant (qui souhaite garder l’anonymat) a été muté d’office dans une école à l’autre bout du département par les instances locales de l’Éducation nationale pour « faute professionnelle ». En cause ? Son « étude du christianisme par les textes » prévue sur 10 séances et qui présentait une partie du livre de l’Exode et des Évangiles. Impuissance, injustice, sidération… La mobilisation d’une bonne vingtaine de familles (sur 27 élèves) – sans compter les parents des anciens élèves et plusieurs élus locaux – a pris les couleurs d’un véritable combat contre les abus d’une administration opaque et néanmoins puissante.

Reprenons les faits. Le 30 janvier 2017, l’IEN de La Châtre, Jean-Éric Rouyer, reçoit une lettre anonyme venant de « parents et de grands-parents d’élèves d’enfants (sic) scolarisés à l’école de Malicornay ». Nous avons pu la consulter. La lettre dactylographiée, déposée directement dans la boîte aux lettres de l’Inspection, fait trois pages. Elle est titrée : « Cas de prosélithysme (sic) religieux (ces deux derniers mots sont écrits en gras) à l’école de Malicornay ». « Ne voulant pas mettre nos enfants dans une position très inconfortable en allant nous adresser à leur maître, nous préférons solliciter votre aide pour indiquer son grand égarement à ce professeur vis-à-vis des principes de l’école laïque et républicaine», explique-t-on. Le ou les auteurs détaillent ensuite précisément le contenu des cours menés par l’enseignant « entre le lundi 16 janvier et le vendredi 27 janvier » en dressant une liste des épisodes les plus connus de la vie de Jésus (une petite vingtaine), assortis ici ou là de commentaires outrés. Par exemple : « la lapidation de la femme adultère (avec explication de la lapidation comme mort très dure !!!) ». Ils relèvent aussi que l’enseignant a fait visiter l’église du village aux enfants et qu’il a – moins choquant pour les auteurs, semble-t-il – « l’habitude d’emmener les enfants faire chorale à l’église » en raison de l’acoustique du lieu.

Le directeur académique des services de l’Éducation nationale de l’Indre (plus connu sous l’acronyme « Dasen »), Pierre-François Gachet, est immédiatement alerté. Un inspecteur est dépêché par le directeur académique à Malicornay le lendemain même. Trois jours plus tard, l’enseignant est convoqué devant M. Gachet. « Après deux heures de remontrances musclées», selon le témoignage de l’enseignant, on lui signifie sa suspension « à titre conservatoire », le temps de l’enquête administrative. Pourquoi une telle suspension ? Le directeur évoque une mesure de protection pour l’enseignant et les élèves. L’instituteur serait en effet menacé par des parents en colère. Un motif totalement fallacieux, selon lui : il ne s’est jamais senti menacé.[…]

La Vie

lundi, 10 juillet 2017

Colère après l’agression de deux hommes aux Puces de Saint-Ouen

Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2017

Gwenael Bourdon|09 juillet 2017, 21h18|

Saint-Ouen, dimanche 9 juillet. Un commerçant et un habitué des Puces ont été blessés à l’arme blanche, rue Lecuyer. L’agression a eu lieu devant la boutique (fermée) ornée d’un gros graffiti. LP/Gwenael BOURDON
 
Deux hommes ont été blessés à l’arme blanche ce dimanche dans le quartier des Puces. Ces agressions soulèvent l’émoi chez les commerçants.

Des linges tachés de sang sont roulés en boule sur le trottoir. «Regardez, c’est là que ça s’est passé !», lance Antonio, un vieux commerçant de la rue Lecuyer. Ce dimanche, vers 12 h 30, c’est dans cette rue du quartier des Puces, à Saint-Ouen, que deux hommes ont été agressés à l’arme blanche, une machette ou un sabre selon les témoins. Il s’agit d’un jeune homme âgé de 23 ans, habitué des lieux, qui a été blessé d’un coup de lame à la nuque, et d’un commerçant âgé, qui souffre d’une profonde entaille au bras. Les victimes sont désormais hors de danger. Deux agresseurs étaient recherchés par la police.

 

L’enquête, confiée au commissariat local, débute à peine. Les deux victimes n’avaient pas encore déposé plainte ce dimanche soir. Mais sur place, témoins directs et indirects, commerçants et proches des victimes accusent tous les pickpockets sévissant dans ce secteur, bordant le périphérique parisien. «Ils sont parfaitement identifiés, on sait même où ils se postent pour observer les passants, et où ils se partagent leur butin», assure un commerçant, qui refuse de donner son nom, par peur des représailles.

 

La municipalité accusée

Une première altercation aurait eu lieu la veille entre le jeune homme, fils d’un vendeur de vêtements du quartier, et le groupe de voleurs à l’arrachée. Ces derniers seraient revenus à la charge dimanche, d’abord sans arme, puis munis d’une machette. «J’ai entendu les cris, je suis sorti et j’ai vu le jeune homme se débattre de loin», décrit un restaurateur. La seconde victime, le gérant d’une petite boutique de la rue Lecuyer, a été blessée en tentant de s’interposer. Les agresseurs ont ensuite pris la fuite.

Cette agression soulève l’émoi et la colère dans ce secteur des Puces, plus populaire que celui des antiquaires, où les biffins disputent l’espace aux étals autorisés. «Les vendeurs à la sauvette, ça a toujours existé ici, explique une ancienne du quartier. Mais ce qui est nouveau, c’est cette violence.» Fin mai, déjà, un homme est mort dans une bagarre, rue des Entrepôts, non loin d’ici.Parmi les commerçants, la colère gronde : «On est complètement livrés à nous-mêmes ici, estime un restaurateur. Quand la police vient, elle interpelle quelques vendeurs à la sauvette, mais elle ne fait rien contre les pickpockets.» L’une de ses voisines renchérit : «On n’ose rien dire, parce qu’on est insultés et menacés en permanence.» Certains accusent la municipalité : «On ne voit jamais la police municipale.» Antonio, lui, se dit prêt «à venir travailler armé».

Bientôt des opérations de police conjointes entre Paris et 93

Les Puces, 4 millions de visiteurs par an, à la lisière entre Paris et Saint-Ouen. Comment assurer la sécurité de ce quartier touristique et en proie à la délinquance ? Mis en cause par les commerçants, le maire (UDI) de Saint-Ouen, William Delannoy, estime qu’il ne peut faire davantage : «Nous avons déjà recours à des vigiles privés, qui coûtent 20 000 € à la ville. Mais je ne peux pas mobiliser la police municipale, qui a déjà d’autres missions.» L’édile en appelle donc à l’Etat : «Pourquoi ne voit-on pas sur ce site touristique la police et l’armée comme dans d’autres lieux à Paris ?»

Du côté de la préfecture, on rappelle qu’une brigade spécialisée, rattachée au commissariat de Saint-Ouen, existe bel et bien. Mais on annonce surtout que le préfet de Seine-Saint-Denis et le préfet de police de Paris s’apprêtent à lancer des opérations conjointes sur ce secteur, «peut-être dès le mois de juillet», après un travail préparatoire de plusieurs mois. Des réunions de concertation doivent permettre d’associer tous les acteurs concernés, parmi lesquels les représentants des commerçants des Puces.

 

Source : leparisien

Députés tabassés – Cela se passe comme cela au Venezuela…

Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2017

Venezuela – Le parlement envahi par des hommes armés de bâtons et de barres de fer qui rossent les députés de l’opposition.

Les images montrent une véritable prise d’assaut du parlement. Les assaillants semblent être des partisans du président Maduro, mais celui-ci nie toute implication dans ces tentatives de lynchage de parlementaires.

 
 

La Patrie, aux grands hommes reconnaissante

Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2017

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Bernard Plouvier

Certes, la grandissime Simone ne sera nullement la première femme à être panthéonisée, mais elle sera la première à y entrer avec la dépouille de son mari, pour complaire aux exigences familiales et personnelles (on est modeste ou on ne l’est pas). 

Une panthéonisation n’est toutefois pas un gage de reconnaissance durable de la Nation. Le premier quidam défunt à avoir été admis, le 4 avril 1791, en l’église Sainte-Geneviève, non encore achevée à l’époque, le sieur Honoré Riquetti, ci-devant comte de Mirabeau (et superbe canaille incestueuse, en plus d’avoir été escroc, plagiaire, flambeur, écrivain pornographique, coureur de dot et pilier de bourdeaux – comme l’on disait à l’époque), en fut chassé ignominieusement le 21 septembre 1794… le jour même où l’on y amenait, en grande pompe patriotique, la dépouille de Jean-Paul Marat, que l’on chassera le 26 février 1796.

Sur les sept premières panthéonisations de la période révolutionnaire, soit de 1791 à 1799, seule la dépouille de René Descartes (N°4) ne fut pas sortie, à la différence, outre les sieurs Mirabeau et Marat déjà envisagés, de messieurs Arouet-« Voltaire », Le Peletier de Saint-Fargeau, Jean-Jacques Rousseau et du général comte de Dampierre tué à l’ennemi… et les quatre autres admissions votées par les pitres sanguinaires de la Convention Nationale (variante, au choix : les héros des années 1792-95) ne furent jamais réalisées (il s’agissait de deux adolescents et deux hommes tués à l’ennemi : Nicolas Beaurepaire, Joseph Viala et Joseph Bara, enfin le député Claude Fabre, représentant de l’Hérault).

Très intelligemment, en effet, après les bacchanales et les turlupinades de l’An II, les conventionnels de bon sens avaient fait voter, le 8 février 1795, un décret exigeant un délai de dix années après la mort d’un citoyen réputé « grand homme » avant d’admettre sa dépouille à l’honneur patriotique par excellence.

Nul ne peut en effet prévoir l’évolution, si changeante, des us et coutumes politiques, ni celle des critères d’admission et d’exclusion. Napoléon Ier, toujours pressé, annula l’un des rares décrets sensés des conventionnels et fit entrer 43 hommes (dont 18 militaires) durant son règne.

Notre nouveau Président, fortement sollicité par une communauté parfois réputée avide de distinctions, n’a pas eu la sagesse d’attendre avant de panthéoniser le couple Veil. Qui sait si, dans dix ou quinze ans, un gouvernement populiste ne chassera pas la dépouille de « Simone du déclin nataliste », la grande pourvoyeuse des morts fœtales par convenance maternelle ?

 

Source : synthesenationale

dimanche, 09 juillet 2017

Détenteurs légaux d’armes à feu : bientôt hors-la-loi !

Publié par Guy Jovelin le 09 juillet 2017

Publié le 7 juillet 2017 - par   
 

Un fois de plus c’est l’Union Nationale des Propriétaires d’Armes de Chasse et de Tir qui monte au créneau. En une ligne au J.O, les tireurs possédant un certain type d’armes se retrouvent d’un coup hors-la-loi. « Les détenteurs de ces armes doivent donc s’en dessaisir selon l’une des modalités suivantes : vente à un armurierneutralisationdestruction par un armurierremise à l’état aux fins de destruction. » La circulaire est déjà en préfectures (comme quoi, quand l’Administration veut être rapide et efficace…)

Que s’est-il encore passé en catimini ?

Depuis plus de six ans, l’UNPACT veille sans relâche à la défense des détenteurs légaux d’armes à feu. Un travail considérable tant l’aspect technique et juridique est devenu complexe dans un contexte évident où certains politiciens s’activent à rendre toujours plus contraignante la législation. Surtout lorsqu’elle concerne d’honnêtes citoyens. L’affaire a, bien entendu, pris une dimension européenne dans une union européenne qui oeuvre à la destruction des nations.

Ainsi nous apprenons que ;

« … ce mois de mai 2017, au moment où la France dite républicaine a refusé « la haine », « le rejet de l’autre » et « pense Printemps » pendant qu’elle est « en marche », une autre France a bel et bien entériné ce rejet de l’autre en sacrifiant quelques personnes sur l’autel du prétendu bien commun. Ça s’est passé par décret, en coulisses, loin des manifestations de liesse parisienne et pyramidale, dans ces salons où les Stratèges (tellement au-dessus de nous qu’ils méritent la capitale initiale !) décident qui doit être sacrifié pour que le plus grand nombre puisse vivre en paix. Décision difficile que celle du Stratège, car lui sait le pays malade. Lui sait que « penser printemps » n’est qu’un slogan… » 

L’UNPACT se rebiffe

« Nous allons attaquer le décret par tous les moyens légaux à notre disposition, et il y en a. Rejoignez-nous. »

« Ils ne veulent pas défendre les tireurs, soit, c’est entendu haut et clair. Eh bien l’UNPACT va s’en charger. Nous avons d’ores et déjà demandé au « pas grand-monde » de se manifester et de se faire connaître. 

Nous allons attaquer le décret par tous les moyens légaux à notre disposition, et il y en a. Rejoignez-nous »

Si vous en faites partie et si vous ne l’avez pas encore fait, prenez contact avec nous grâce à ce formulaire que vous voudrez bien remplir :http://www.unpact.net/justicedecret.html.  Et une fois que nous vous connaîtrons tous, ou presque, nous vous représenterons… Il faut aller vite ! »https://www.unpact.net

L’UNPACT en deux mots

« L’Union Nationale des Propriétaires d’Armes de Chasse et de Tir a été fondée par des chasseurs, des tireurs et des collectionneurs peu de jours après la publication de la proposition de loi votée le 25 Janvier 2011 ; elle est le fruit de l’indignation et de la volonté de réagir manifestées par ses fondateurs. Ils se sont lancés dans cette action, car de nombreux citoyens propriétaires d’armes leur ont immédiatement apporté leur soutien et leur participation. » 

« Plus que jamais, l’UNPACT a un véritable avenir au service de tous les propriétaires d’armes légitimes. Et, plus que jamais, vous devez venir grossir ses rangs ! Même si, en très peu de temps, L’UNPACT est probablement devenue à ce jour la plus importante association indépendante de propriétaires légaux d’armes à feu en France. Mais, surtout, elle est devenue une cause ! » https://www.unpact.net

Bon à savoir :

Pour une cotisation très modeste de 10 €uros par an, tout chasseur, tireur, collectionneur, tireur sportif, ou simple détenteur légal d’une arme à feu a à sa disposition connaissance d’une législation qui ne cesse d’évoluer défavorablement et qu’il faut impérativement connaître. Car attention : les préfectures ne sont pas tenues d’avertir les particuliers visés par tel ou tel décret. Avec le risque de sérieux ennuis pour les détenteurs de bonne foi.

Repères :

https://ripostelaique.com/foire-de-digoin-prefet-interdit...

https://ripostelaique.com/legislation-europeenne-armes-co...

https://ripostelaique.com/ne-pas-etre-arme-cest-etre-inca...

https://ripostelaique.com/valls-cazeneuve-incitent-lue-a-...

https://ripostelaique.com/leurope-veut-desarmer-citoyens-...

https://ripostelaique.com/lue-veut-desarmer-europeens-qui...

https://ripostelaique.com/larmement-civils-reponse-valabl...

https://ripostelaique.com/armes-repondre-aux-terroristes....

https://ripostelaique.com/carl-lang-reclame-nation-armes-...

Jacques CHASSAING

 

Source : ripostelaique