Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mardi, 18 juillet 2017

Une mère vend sa fille de 12 ans : reflet de la société républicaine

Publié par Guy Jovelin le 18 juillet 2017

 par   16 juillet 2017

36 mois de prison dont 6 fermes,  ainsi qu’une somme de 6.500 à régler à la petite victime et à son père, c’est la peine requise contre une mère de famille originaire de la région d’Issoudun (Indre) et un homme originaire de Cholet (Maine-et-Loire).

Totalement imprégnée des valeurs de l’école républicaine, cette femme tenait à prendre en main l’éducation sexuelle de sa fille de 12 ans. Elle organisa donc une soirée libertine pour y recruter l’homme chargé de cette besogne, le « vainqueur » ayant le « privilège » de profiter de la gamine pour toutes les vacances scolaires et « d’étudier » avec elle le programme de SVT de 4e.

Notons également que la mère de famille et le « vainqueur » étaient totalement en phase avec la société du 21e siècle, vivant dans le monde virtuel des réseaux sociaux et des jeux vidéos. De parfaits citoyens, qui eux ne contestent pas les valeurs de la République. Une mère qui ne fait qu’appliquer au fond le programme de l’enseignement de l’école laïque sous forme de « travaux pratique ». Comme elle n’était pas contre l’avortement et qu’elle n’avait aucune opposition de principe au LGBTQI (bien au contraire visiblement), ce n’est pas elle qui subit les contrôles des flics de l’ordre (im)moral républicain qui préfère se concentrer contre les familles catholiques.

Il y a quelques jours de cela, dans une école catholique hors-contrat particulièrement visée par le régime, la police de la pensée a débarqué en masse (8 sbires) à l’improviste et raflé quelques gamines de 4e et leur ont ordonné de décrire l’acte sexuel. Cela est à mettre en lien avec un renforcement de la répression qui va amener à la fermeture prochaine de tout établissement scolaire refusant de faire l’apologie de l’avortement ou de la luxure.

La multiplication d’ouverture d’écoles hors-contrat par la Fraternité Saint-Pierre – ou du moins ses associations satellites – a alarmé le régime qui va réprimer férocement l’enseignement libre. Les ralliés auront toujours recours aux écoles diocésaines,  les sans-papiers de l’Eglise, eux, n’auront aucun recours. La répression qui vient va frapper tout le monde, sans distinction. Les vrais catholiques seront liquidés, qu’ils soient ralliés ou non, avec ou sans tamponuna cum ou non una cum, papistes ou sédévacantistes, on sera tous dans la même casserole et mitonnés aux mêmes petits oignons.

La chanteuse auvergnate Annie Chancel, plus connue sous le nom de scène de Sheila, à qui j’adresse au passage toutes mes condoléances pour la mort tragique de son fils Ludovic, avait interprétée en 1967 une chanson appelée « la Famille ».  Deux couplets de cette chanson (que je colle l’un à l’autre pour des raisons pratiques) pourrait tout à fait s’appliquer à notre petit monde catholique au sens large, c’est-à-dire ayant le « minimum syndical » (latin et soutane), à l’heure des périls grandissants :

« On discute pendant des heures entières
On se fâche je me demande pourquoi
Puisque chaque année de toute manière
On s’retrouve toujours au même endroit
 » (…)

« Quand on est réunis tous ensemble
Des beaux-frères jusqu’aux petits cousins
Y a les murs de la maison qui tremblent
J’vous assure qu’on nous entend de loin
Mais si un étranger veut s’en mêler
Pour savoir qui a raison ou tort
Il nous voit bientôt réconciliés
Et tous unis pour le flanquer dehors
 ».

Si personne n’a jamais réussi à soumettre l’Afghanistan,  c’est parce que, entre deux guerres civiles, ces derniers savent faire front commun contre l’envahisseur…  A bon entendeur, salut !

Hristo XIEP

 

Source :medias-presse.info

Val-d’Oise : tirs de mortiers sur les bâtiments des familles de gendarmes !

Publié par Guy Jovelin le 18 juillet 2017

Cela se passe en France ! Dans la soirée du 13 juillet, à Fosses, dans le Val-d’Oise, des tirs de mortiers ont frappé les bâtiments des familles des gendarmes.

Les faits ont eu lieu dans la nuit de jeudi à vendredi peu après 1h du matin.

Les gendarmes ont ensuite été confrontés à un groupe d’une quarantaine d’individus, certains munis de bâtons ou de barres de fer, dans le quartier du Plateau. Mais ces racailles se sont dispersées en voyant se déployer  des gendarmes mobiles, des pelotons de surveillance et d’intervention de la gendarmerie, le tout sous le survol d’un hélicoptère de la gendarmerie.

Durant la même soirée, le commissariat de Jouy-le-le-Moutier a également été visé. Et d’autres incidents se sont produits à Garges, Sarcelles Goussainville ou à Argenteuil.

Au cours de cette soirée, 21 personnes ont été interpellées dans le Val-d’Oise par les forces de l’ordre pour ces violences urbaines.

 

Source : medias-presse.info

lundi, 17 juillet 2017

Inversion des valeurs au Canada

Publié par Guy Jovelin le 17 juillet 2017

canada,inversion des valeurs,lgbtqiPlusieurs faits se télescopent au pays des caribous, qui, lorsqu’on les mets en perspectives, donne une idée de l’état de décadence de ce pays.

Tout d’abord, le vote en Ontario de la « Loi 89 » qui élargit les pouvoirs des services sociaux en vue de placer des enfants dont les parents contreviendraient à l’idéologie dominante. Adoptée à une large majorité – 63 contre 23 – la loi prévoit que les enfants puissent être arrachés à leurs foyers si leurs parents s’opposent aux droits LGBTQI et à l’idéologie du genre. Premiers visés : les chrétiens.

La loi permet également d’empêcher les couples opposés à ces droits et à cette idéologie d’adopter ou d’être reconnus comme familles d’accueil. L’intitulé de la loi, dans la plus pure tradition d’inversion de la Pravda et du « Newspeak » orwellien, annonce le contraire de ce qui sera fait : « Soutien aux enfants, aux jeunes et aux familles ». Le texte ajoute les facteurs d’« identité de genre » et de l’« expression de genre » à tous ceux qui doivent être pris en considération pour déterminer « l’intérêt supérieur de l’enfant » en fonction duquel celui-ci pourra être séparé de ses parents et placé auprès d’adultes ayant obtenu l’agrément des pouvoirs publics. On est très exactement dans la situation décrite par l’écrivain américain de science-fiction Harold Armstead Covington, aussi weirdo et aussi talentueux que Philip Kindred Dick, mais situé à l’autre extrémité de l’échiquier politique.

Au même moment, on apprend que Karla Homolka était revenue au Canada où elle travaillait comme bénévole… auprès d’enfants. Karla Homolka n’est pas n’importe qui. Avec son mari Paul  Bernardo,  elle a enlevé, violé et tué trois jeunes filles dont sa propre petite sœur. On les avait surnommé « Barbie & Ken » car ils étaient bien faits de leur personne. Libérée au bout de 12 ans, elle quitta le Québec clandestinement pour se rendre en Guadeloupe et, sous le nom de Leanne Bordelais, travailler comme… enseignante dans une école. Mariée et mère de trois enfants, elle fut identifiée par une journaliste canadienne en 2012.

En résumé, le Canada est le pays où l’on peut retirer des enfants à des familles catholiques pour les confier à une violeuse d’adolescente. Mais bon, dans le Canada de Trudeau, Homolka est quelqu’un de bien puisque LGBTQI. Il est plus que temps de faire sécession avec cette société et hisser sur quelque coin de terre notre drapeau bleu-blanc-vert.

Hristo XIEP

 

Source : medias-presse.info

Braquage démocratique : le parti de Macron va toucher plus de 100 millions d’euros

Publié par Guy Jovelin le 17 juillet 2017

17 juillet 2017 par Pierrot

Après avoir bénéficié du soutien financier de richissimes donateurs privés lors de la campagne, Macron va pouvoir désormais remplir les coffres de son jeune parti, né il y a un an.

Au total, le parti peut espérer collecter 21 millions d’euros de subventions publiques tous les ans, soit 105 millions au cours de la législature ! “Ses 6 390 871 voix récoltées au 1er tour des élections législatives, soit 28,21% des suffrages exprimés, lui donnent droit, en effet, à 9 M€ par an. Ensuite, ses 314 députés lui rapporteront quelque 12 M€”, explique le quotidien.

Source : contre-info

La guerre froide du gaz et les inacceptables sanctions des États-Unis contre l’Europe !

Publié par Guy Jovelin le 17 juillet 2017

 

gaz-schiste.jpg

Marc Rousset

Que ne feraient pas les États-Unis pour exporter leur gaz de schiste nouveau et contrer la puissance stratégique de la Russie aussi bien en Europe qu’au Moyen-Orient !

Le russe Gazprom (Газпро́м) veut construire un nouveau gazoduc (Nord Stream 2) de 9,5 milliards d’euros dans la Baltique, qui augmenterait d’un tiers en 2019, soit de 55 milliards de m3, le gazoduc sous-marin Nord Stream 1 déjà existant entre Vyborg (Выборг, Russie) et Greifswald (Allemagne).

Suite à l’opposition de l’Ukraine et de la Pologne, dont les gazoducs continentaux Yamal et Brotherhood passant par leurs territoires sont court-circuités, Gazprom a été amené à être le seul actionnaire du projet. Le français Engie, les allemands Uniper (ex-E.ON) et Wintershall (BASF) ainsi que l’anglo-néerlandais Shell ont décidé d’être seulement des financiers à hauteur de 10 % chacun, et non plus des actionnaires, ce qui était initialement prévu. Nord Stream, passant sous la mer, échappe à la juridiction de Bruxelles ; les Allemands considèrent ce projet comme strictement commercial.

Mais le 15 juin 2017, le Sénat américain a décidé, au grand dam de l’Europe, d’envisager des sanctions contre les entreprises européennes « du fait des effets préjudiciables de Nord Stream 2 sur la sécurité énergétique européenne ». Bref, l’Amérique est plus royaliste que le roi Europe, alors qu’il s’agirait bien au contraire de diminuer la sécurité énergétique de l’Europe et de nous obliger à acheter du gaz de schiste américain transporté sous forme liquéfiée à partir des États-Unis jusqu’à des ports terminaux européens. À noter qu’aux États-Unis mêmes, l’idée d’exporter du gaz de schiste est considérée par l’Industrial Energy Consumers of America comme stupide car contribuant à augmenter la cherté du gaz dans les industries manufacturières porteuses de valeur ajoutée.
 
Selon Isabelle Kocher, directrice générale d’Engie, « il s’agit d’une ingérence spectaculaire et inacceptable dans les affaires européennes », après les sanctions financières des États-Unis contre BNP Paribas, Alstom et les contraintes imposées à Renault, PSA et Total pour investir en Iran. Cette implication est d’autant plus surréaliste, impérialiste et inacceptable que Nord Stream est un projet non américain avec des entreprises non américaines et un financement sans dollars américains.

L’Europe ne peut, au contraire, que se réjouir de diversifier son approvisionnement en gaz naturel pour 40 % en provenance de la Russie, pays frère continental européen, d’autant plus que la production chute au Royaume-Uni (mer du Nord) et au Pays-Bas.

La folle agressivité américaine se comprend d’autant mieux que la Russie, suite à son intervention victorieuse en Syrie, est devenue le maître du jeu au Moyen-Orient pour le gaz en provenance du Qatar et d’Iran. Le projet « Turkish Stream » prévoit la construction en Turquie par la Russie de deux conduites d’une capacité de 15,75 milliards de m3 par an chacune, qui formeront un gazoduc sous la mer Noire, évitant encore une fois l’Ukraine, pour fournir l’Europe. Le Qatar a dû passer sous les fourches caudines russes et renoncer au projet initial « sunnite » évitant l’Irak, passant par l’Arabie saoudite et une Syrie non Bachar el-Assad. La Russie devient le pivot central pour que le gaz tant iranien que qatari transite vers l’Europe sans déposséder Moscou via le futur gazoduc russo-turc « Turkish Stream ». À quand une Europe européenne et enfin libre ?

Boulevard Voltaire cliquez ici