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vendredi, 24 février 2017

L’état réel de la France

Publié par Guy Jovelin le 24 février 2017

POSTÉ LE 23 FÉVRIER , 2017

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Les multiples campagnes présidentielles qui se déroulent depuis des mois ont provoqué un vacarme médiatique assourdissant. Les discours, conférences, interviews, commentaires et commentaires de commentaires se succèdent jour nuit. Mais ce sont des mots. La réalité, c’est autre chose. Que l’on en juge :

La sécurité, c’est 3,75 millions de crimes et délits par an (plus ceux qui ne sont pas déclarés), 802 assassinats, hors attentats islamistes (238 morts, prêtre égorgé et médecins poignardés), et 200 viols par jour. On a enregistré 243 000 cambriolages de logements en 2016, soit une effraction toutes les deux minutes. Imaginons avec optimisme que 10 % seulement des auteurs de ces crimes et délits méritent, une fois jugés, la prison ferme, soit 370 000 individus. Où les mettra-t-on, sachant qu’avec 65 000 détenus, les prisons sont surpeuplées ? 7 500 gendarmes et policiers ont été blessés en 2015 au cours de leur mission, rendue de plus en plus risquée, moins en raison des coups qu’ils reçoivent que des sanctions dont ils peuvent faire l’objet de la part de la justice, apparemment très attentive à protéger de facto les délinquants.

Tous les jours, des manifestations, autorisées ou non, organisées par des associations et syndicats subventionnés par l’argent public, donnent lieu à des pillages de magasins, à des incendies de restaurants ou de voitures, à la destruction systématique du mobilier urbain. Toutes les demi-heures, un incident violent se produit dans les hôpitaux, provoqué souvent par le mari musulman d’une patiente qui doit être soignée sans qu’on la regarde et sans auscultation.

On recense, en outre, en France, 183 bandes armées qui opèrent dans les banlieues des grandes villes, et se livrent presque ouvertement au trafic de stupéfiants. Tous les 15 jours, un adolescent de l’une de ces bandes est assassiné à coups de couteau. Son nom n’est jamais publié et vous savez pourquoi… De façon générale, le vandalisme coûte au contribuable plusieurs milliards d’euros par an.

L’immigration, qui, depuis des décennies, envahit le territoire national, est en grande partie la cause de cette anarchie meurtrière et destructrice. La France compte désormais 10 à 12 millions d’immigrés de tout statut, dont 6 à 8 millions de musulmans, en majorité originaires d’Afrique, beaucoup d’entre eux étant sans qualification ni ressource. Il en arrive environ 1 000 nouveaux par jour. La progression démographique en Afrique, l’anarchie qui y règne, les guerres dans presque tous les pays musulmans, font que cette immigration sans frein ne pourra que s’amplifier, sans possibilité pour les pays dits « d’accueil » de renvoyer ces populations d’où elles viennent. La seule action efficace qui est menée par les États, les organisations internationales et les associations, est de les aider à débarquer en Europe. Les mesures démagogiques de toute nature, claironnées par la presse, sont autant d’appels pour toute la misère du monde à venir en Europe de l’Ouest, et en particulier en France, là où l’immigré sait qu’il sera logé, nourri, soigné et qu’il ne risque pas grand-chose à piller et à voler. Le salaire universel sonne la mobilisation générale pour des dizaines de millions de candidats au départ qui pensent recevoir 1 000 € par mois, simplement en tendant la main, alors qu’en Afrique noire, hormis les dirigeants archi-corrompus, les familles vivent péniblement avec quelques euros par jour.

Tout cela conduit inexorablement à la ruine. La France consacre en effet plus de 700 milliards d’euros à son budget social, chaque année. Soit 31,9 % en pourcentage de PIB. C’est la championne du monde – étant évidemment, de ce fait, la championne du monde des prélèvements obligatoires (57 % du PIB). Si bien que le Français qui a un emploi travaille jusqu’au 29 juillet pour payer les 300 impôts et taxes inventés par l’administration fiscale. Il faut aussi rétribuer quelque 6 millions de fonctionnaires, chiffre en augmentation constante, y compris des jeunes Français surdiplômés mais qui, bien que salariés, sont sans emploi puisque les services sont en sureffectif – avec un absentéisme moyen de 30 jours par an dont le coût annuel est estimé à 140 milliards d’euros, sans parler de 2 millions de jours de grève par an organisées par les syndicats ultra-subventionnés par l’argent public. Ceci explique que les entreprises écrasées par l’impôt et tourmentées par l’État de 1 000 façons sont en faillite (630 000 par an) et surtout n’embauchent pas. Le chiffre du chômage est officiellement de 9,9 % en France. C’est faux. Si on intègre toutes les catégories de chômeurs, on obtient un taux de chômage de 21,2 %, entretenu notamment par les 200 000 jeunes qui sortent de l’onéreux système scolaire sans aucun diplôme, sachant à peine lire, écrire et compter, alimentant les 9 millions d’habitants vivant en France sous le seuil de pauvreté et sans doute les 70 000 SDF des trottoirs, sans parler de ceux qui ont la « chance » d’être logés dans des taudis à vermine. C’est cela la réalité. En même temps, on constate que la balance commerciale de la France reste largement déficitaire avec 48 milliards d’euros de déficit en 2016, alors que la balance allemande est en 2016, positive de 278 milliards d’euros. Dans une France sans croissance réelle, à la désindustrialisation et à la crise agricole, s’ajoutent les déboires du tourisme dus à la dégradation de l’image de notre pays, à la porte de la guerre civile. Personne ne l’ignore. Tout cela se fait, en outre, dans une complexité effroyable. Je relève à ce propos la réflexion de Bernard Zimmern, polytechnicien et fondateur de l’Ifrap, qui écrit dans Les profiteurs de l’État (Plon), page 270 : « Tout est fait pour que personne ne comprenne rien. » 12 700 décrets, 36 269 communes, 13 régions et 101 départements (dont l’un, récemment créé, est entièrement musulman et misérable, mais à la maternité la plus prolifique du monde – ce qui permet de célébrer le « dynamisme démographique rassurant de la France »). Comment peut-on comprendre ce charabia administratif, lorsqu’on relève l’obligation de payer la redevance pour pollution diffuse, la taxe sur les boues d’épuration et celle affectée au CTCPA et au CTIFL, etc. Ainsi en est-on revenu aux cités antiques où le pouvoir était détenu par des grands prêtres au langage secret que le peuple ne pouvait comprendre, n’étant autorisé qu’à se prosterner et à payer !

 

Source : les4verites