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mardi, 12 février 2019

Hongrie : les femmes avec quatre enfants ou plus ne paieront plus d’impôt sur le revenu de leur vie. Six autres mesures fortes pour la natalité.

Publié par Guy Jovelin le 12 février 2019

Par  le 11/02/2019 

Le Premier ministre hongrois a annoncé une série de mesures visant à stimuler le taux de natalité en baisse et à réduire l’immigration.

Le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, a annoncé dans son discours annuel sur l’état de la nation, dimanche, un « Plan d’action pour la protection de la famille » en sept points, destiné à promouvoir le mariage et la famille.

Les mesures annoncées comprenaient des exonérations de l’impôt sur le revenu des personnes physiques pour les femmes qui élèvent au moins quatre enfants pour le reste de leur vie et des subventions pour les familles nombreuses qui veulent acheter des voitures plus grandes. Le « plan d’action » a également étendu un programme de prêts pour aider les familles ayant au moins deux enfants à acheter une maison. Toute femme de moins de 40 ans aura également droit à un prêt préférentiel lors de son premier mariage.

Le gouvernement a également déclaré qu’il dépensera davantage pour le système de santé hongrois et qu’il créera 21.000 places en crèche. De plus, les grands-parents seront admissibles à des frais de garde d’enfants s’ils s’occupent de jeunes enfants à la place de leurs parents, a dit Orban.

« Il y a de moins en moins d’enfants nés en Europe. Pour l’Ouest, la réponse (à ce défi) est l’immigration. Pour chaque enfant disparu,on devrait en faire venir un et alors les chiffres seront bons », a déclaré M. Orban, selon Reuters.

« Mais nous n’avons pas besoin de bons chiffres. Nous avons besoin d’enfants hongrois « , a-t-il dit en annonçant le programme d’incitation.
[…]

CNBC via fdesouche

dimanche, 30 décembre 2018

Sondage : la majorité des Japonais opposés à une loi, votée par le Parlement, qui vise à accueillir davantage de travailleurs étrangers

Publié par Guy Jovelin le 30 décembre 2018

Par  le 29/12/2018

 

TOKYO — Jusqu’à 55 pour cent des personnes interrogées ont déclaré dans le dernier sondage Mainichi Shimbun qu’elles n’appuyaient pas la récente décision du Parlement d’accepter davantage de travailleurs étrangers à partir d’avril 2019 en modifiant la loi sur l’immigration, tandis que 30 pour cent se sont dites favorables à cette mesure. 15 pour cent ne se prononcent pas.

Paul Cébille@Ellibec
Incroyable de voir que les politiques d'immigration se font régulièrement contre l'opinion des citoyens sur la question, même au Japon https://mainichi.jp/english/articles/20181217/p2a/00m/0na/004000c 
 

55% negative over foreign worker bill; 40% disapprove, 37% support PM Abe: Mainichi poll

TOKYO -- As many as 55 percent of respondents said in the latest Mainichi Shimbun poll that they didn't support the recent Diet decision of accepting

mainichi.jp

Mainichi


La coalition au pouvoir du Premier ministre japonais Shinzo Abe a fait voter dans la nuit du vendredi 7 au samedi 8 décembre une loi autorisant l’accueil de davantage de travailleurs étrangers afin de combler en partie la pénurie de main-d’œuvre.

La Chambre haute a adopté le texte aux premières heures de samedi. La Chambre basse l’avait voté fin novembre. Au travers de ce nouveau programme, le gouvernement prévoit d’attirer quelque 345 000 travailleurs étrangers pour une période de cinq ans dans des secteurs précis dont le bâtiment, les services de restauration, les soins aux personnes âgées.

La loi crée un nouveau statut de visa, qui permettra en théorie à des immigrés ayant des qualifications inférieures à celles habituellement requises d’entrer sur le territoire japonais pour y travailler durant cinq ans. Deux sous-catégories existeront et les personnes remplissant les conditions les plus élevées (en termes de compétences professionnelles et d’aptitudes en langue japonaise) pourront faire venir leur famille et obtenir un visa permanent.

(…) RFI via fdesouche

mercredi, 26 décembre 2018

Conséquence de l’immigration, l’Allemagne va-t-elle autoriser les mariages avec enfants ?

Publié par Guy Jovelin le 26 décembre 2018

Ecrit par Pierre-Alain Depauw

Allemagne – Pour lutter contre les mariages d’enfants pratiqués au sein de certaines communautés immigrées, le Bundestag avait voté l’an passé une loi relevant à 18 ans l’âge requis pour se marier. Cette loi prévoyait en conséquence de ne pas reconnaître la validité des mariages pratiqués à l’étranger avec des personnes âgées de moins de 16 ans.

Mais la Cour suprême fédérale (BGH) vient de se prononcer à ce sujet, considérant comme incompatible avec la constitution l’annulation automatique en Allemagne de mariages contractés selon un droit étranger avec des personnes âgées de moins de 16 ans.

La Cour suprême allemande voit dans la loi destinée à lutter contre les mariages d’enfants une violation de plusieurs articles de la constitution.

Cette problématique est apparue en 2015 avec l’arrivée massive de “réfugiés”.

Le ministère de l’Intérieur allemand a recensé sur son territoire 85 cas de mariages avec mineure parmi les immigrés syriens, 84 cas parmi les immigrés bulgares, 21 cas parmi les immigrés roumains, 18 cas parmi les Irakiens et 16 cas parmi les immigrés afghans.

 

Source : medias-presse.info

jeudi, 20 décembre 2018

Les Bretons auraient perdu leur bienveillance envers l’immigration selon un sondage BVA

Publié par Guy Jovelin le 20 décembre 2018

 
 

62 % des Bretons ont une opinion négative de l’action menée par la France en matière d’immigration et 58 % estiment que l’Union européenne devrait faire preuve de plus de fermeté au sujet de l’accueil des migrants, selon un sondage réalisé par BVA pour la presse régionale paru ce mercredi. Ces chiffres restent inférieurs à la moyenne nationale (respectivement 67 % et 59 %). Mais ils montrent que, sur les questions migratoires, la Bretagne ne fait plus bande à part.

« Même si les Bretons restent davantage bienveillants que la moyenne nationale, la bienveillance n’est plus majoritaire dans la région », résume Erwan Lestrohan, directeur d’études au département opinions de l’institut BVA.

À la question « La France accueille-t-elle trop de migrants ? », 60 % des Bretons répondent « oui ». Pas si loin des scores mesurés dans le Grand-Est (72 %), les Hauts de France (67 %) ou la Normandie (67 %), les trois régions où l’opinion est la plus rigide en la matière.

« Il y a quelques années, les habitants des régions Bretagne et Pays-de-la-Loire étaient systématiquement bienveillants sur les questions de société. Une tendance qu’on retrouve de moins en moins », remarque Erwan Lestrohan. […]

Le Télégramme via fdesouche

mercredi, 19 décembre 2018

La fermeté envers l’immigration plébiscitée en France comme en Occitanie

Publié par Guy Jovelin le 19 décembre 2018

Un sondage BVA pour la presse régionale porte à 67% de Français mécontent de la politique migratoire menée par la France et l’Union européenne. En Occitanie, 53% des sondés demandent plus de fermeté. 

La politique migratoire ne satisfait plus les Français. Selon un sondage BVA pour la presse régionale, réalisé entre 26 novembre et le 6 décembre 2018, sept français sur dix jugent négative l’action menée par la France ou l’Union européenne en matière d’immigration. Ils sont 67% à avoir une opinion négative, 21% positive contre 12% ne souhaitant pas se prononcer.

Lire aussi : Lauren Southern piège une ONG pro-migrants aux pratiques malhonnêtes

Parmi les insatisfaits, 6 français sur 10 (59%) demandent plus de fermeté concernant l’accueil des migrants de la part de l’Union européenne. Seulement 21% demandent plus « d’humanisme ». 63% des Français interrogés pensent d’ailleurs que la France accueille trop de migrants. Ce sentiment est même plus diffus encore chez les employés et ouvriers (69%), les membres des classes populaires (68%) et les habitants de villes périurbaines (67%)

En Occitanie, 53% de la population demandent plus de fermeté

Dans le détail des régions, les régions du Grand-Est (66%) et des Hauts-de-France (65%) sont parmi celles qui demandent le plus de fermeté dans la politique migratoire menée par la France. Le podium est complété par la Normandie (63%), suivie des Pays de la Loire, la Bourgogne-Franche-Comté (61%), la Provence-Alpes-Côte d’Azur et le Centre (60%). La Bretagne et Rhône-Alpes-Auvergne s’approchent de la barre des 6 français sur 10 avec 58%, l’Aquitaine (56%), l’Île de France (55%) sont en queue de peloton.

Lire aussi : Les députés de Haute-Garonne adoptent la loi asile et immigration

L’Occitanie quant à elle se place en dernière position, même si une majorité d’habitants (53%) aimeraient voir une politique migratoire moins accueillante. Ils sont d’ailleurs 58% dans la région à penser que la France accueille trop de migrants, contre 63% sur le plan national.

Signe d’une évolution des opinions sur la question, seuls 52 % des Français répondent que la France doit accueillir les réfugiés qui lui demandent l’asile parce qu’ils sont persécutés dans leur pays, soit treize points de moins qu’en janvier 2018. Sur cet indicateur, les opinions sont notamment au plus bas auprès des habitants de communes rurales (48%) ou périurbaines (47%).

Ce sondage intervient dans une période de crispation autour de ce sujet. Si le Gouvernement a refusé d’intégrer le thème de l’immigration dans le grand débat nationaldéclenché par les Gilets jaunes, il est surtout allé à l’encontre de l’opinion publique en signant le Pacte de Marrakech, le 10 décembre dernier et plus discrètement le pacte mondial des Nations unis sur les réfugiés, le 17 décembre. Une énième illustration du décalage entre les hautes sphères dirigeantes et son peuple.

Étienne Lafage.

 

Source : infos-toulouse