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vendredi, 25 janvier 2019

Perpignan (66) : mécontent de ne pas avoir obtenu l’asile, Ali détruit la voiture de l’association d’aide aux migrants qui l’héberge

Publié par Guy Jovelin le 25 janvier 2019

Par  le 24/01/2019

 

Ali, tout juste 20 ans, a débarqué du Koweït pour demander l’asile en France. Il est logé par une association d’aide aux migrants, c’est cette même organisation qui l’appuie dans ses démarches administratives.

Jeudi, le courrier qu’il attend depuis si longtemps tombe enfin dans la boîte aux lettres, mais la nouvelle n’est pas celle espérée : sa demande d’asile politique est rejetée.

Ali entre aussitôt dans une colère noire. Il se met à littéralement démolir la voiture de l’association. Il faudra l’intervention des gendarmes pour réussir à le calmer, non sans qu’il invective encore et encore la directrice de l’organisation et les militaires.

«  Vous aviez consommé pas mal d’alcool et de cannabis, non ? s’inquiète le président. Mais, au fait, comment avez-vous pu vous les offrir ?  »

«  Avec l’allocation versée aux demandeurs d’asile !  »

«  Il a surtout expliqué qu’il avait été prétendument mal accueilli et mal logé, fait remarquer le procureur, et comment rembourser ce véhicule qui offrait à tous la possibilité d’aller effectuer des démarches ?  »

 

L’Independant via fdesouche

mercredi, 19 août 2015

Aide aux « migrants » : compassion ou collaboration ?

Publié par Guy Jovelin le 19 août 2015

migrant.jpgPierre-Emile Blairon

Un combat se gagne aussi avec des mots : un « migrant » n’est rien d’autre qu’un clandestin. 

Un combat se gagne aussi avec des mots : un « migrant » n’est rien d’autre qu’un clandestin. L’une de ces officines venant en aide aux « migrants » édite un « annuaire des acteurs associatifs et institutionnels » de plusieurs centaines d’entrées regroupant cette nébuleuse d’organisations (dont la plupart des dirigeants sont issus de l’extrême gauche) mis à la disposition des clandestins.

On connaît l’efficacité de ce réseau, d’autant plus qu’il est parrainé et subventionné par nos structures étatiques « républicaines ». On peut être surpris d’y trouver les mentions d’institutions vénérables comme la Croix-Rouge française (fondée par le maréchal Pétain le 4 août 1940 sous son appellation actuelle) ou le Secours catholique (fondé par l’abbé Rodhain, ouvertement pétainiste, décoré de l’ordre de la Francisque), dont la vocation initiale était de venir en aide aux Français en difficulté. Ces associations traditionnelles n’avaient d’autre but que compassionnel. Étrange pied de nez de l’Histoire : infiltrées par la gauche, elles se retrouvent à la pointe de la lutte antifrançaise, de la préférence étrangère, donnant tous les moyens légaux et surtout illégaux à ceux qui vont remplacer nos peuples européens, avec la bénédiction de nos gouvernants. On appelait ces gens, sous l’Occupation, des « collabos ».

 Ces militants illuminés n’ont plus de repères, de sol auquel se rattacher, ni de sang auquel appartenir, et se croient investis d’une mission universaliste ; ils vont affronter la saleté, les insultes, les violences (il y a quelques jours, en Italie, trois clandestins égyptiens ont frappé le responsable d’un centre d’accueil et violé son employée), en abandonnant délibérément nos pauvres qui souffrent. En effet, selon une enquête de 2012 effectuée par la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES), 40 % des SDF « francophones » ne reçoivent aucune aide, alors que la quasi-totalité des « migrants » sont pris en charge par l’armada des associations d’accueil des étrangers.

 C’est que nos bons samaritains sont persuadés d’être en charge de toute la misère du monde. Le prix de passage clandestin à bord d’un bateau s’élève en moyenne à 3.000 euros. Ou bien ces gens ne sont pas dans la misère, ou bien leur trajet est payé par des organismes privés ou étatiques ; lesquels ? Quel Français pourrait s’offrir un tel voyage ? Il faut aussi savoir que nombre de djihadistes pourraient être présents parmi les gentils demandeurs d’asile, selon Gilles de Kerchove, le coordinateur de l’Union européenne pour la lutte contre le terrorisme.

Si le Grand Remplacement n’est pas une lubie, le Grand Suicide – l’ethnomasochisme – de nos populations européennes ne l’est pas non plus. Lorsque ces bénévoles inconscients auront parmi leurs proches une personne égorgée ou victime d’un attentat, ils ne pourront pas invoquer la clause de l’ignorance. Ils seront donc alors complices.

(*) Pierre-Emile Blairon est journaliste et écrivain

Source : Boulevard Voltaire cliquez là

et Le Journal du Chaos cliquez ici