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lundi, 25 juin 2018

Les migrants de l’Aquarius jettent aux ordures les couvertures et les vêtements offerts par la Croix Rouge.

Publié par Guy Jovelin le 25 juin 2018

Le 24 juin, plusieurs utilisateurs de Facebook ont ​​critiqué le fait que de nombreux migrants du bateau l'Aquarius avaient jeté des vêtements et des serviettes qui leur avaient été offerts par la Croix-Rouge.

Les vêtements ont été trouvés dans des bennes à ordures du complexe éducatif de Cheste, où de nombreux migrants ont été logés jusqu'à ce qu'ils aient finalisé leurs demandes d'asile.

Et ceci malgré le fait que dès la première nuit en Espagne, certains migrants ont été vus dans un restaurant à Cheste en payant des boissons avec des billets de 100 €.

Même les plus jeunes migrants, qui étaient logés dans une résidence étudiante à Alicante comme nous l'avons déjà signalé ici, ont été aperçus en train de faire la fête dès leur première nuit, malgré les Espagnols libéraux prétendant que ces migrants étaient "choqués" et "traumatisés" par leur voyage depuis la Libye.

Caso Aislado@CasoAislado_Es
 
 

Y así acabó la ropa que se le entregó a los inmigrantes del Aquarius. En contenedores de basura. https://casoaislado.com/tiran-contenedores-basura-la-ropa-donada-cruz-roja-los-inmigrantes-del-aquarius/ 

Encuentran en contenedores de basura la ropa donada por Cruz Roja a los inmigrantes del Aquarius

Las fotos están circulando en las redes sociales. En ellas se ve numerosa ropa donada por Cruz Roja en los contenedores de basura.

casoaislado.com 

Comme on peut le voir sur la photo, les conteneurs débordent de vêtements, serviettes et couvertures distribués par la Croix-Rouge - certains colis sont même intacts et leur contenu est indiqué : «1 survêtement, 1 t-shirt, 1 paire de chaussettes, 1 sous-vêtements ".

Les habitants locaux s'indignent du manque absolu de gratitude que ces immigrés soi-disant «stressés».

Source Source2 Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

mercredi, 29 novembre 2017

Belgique – La Croix Rouge fait retirer les crucifix de ses locaux, multiculturalisme oblige…

Publié par Guy jovelin le 29 novembre 2017

Ecrit parPierre-Alain Depauw

 

belgique,croix rouge,multiculturalisme

Comme en témoigne cette ancienne publicité ci-dessus, datant de 1951, la Croix Rouge de Belgique assumait autrefois un enracinement chrétien, utilisant même l’image du Croisé pour récolter des fonds.

Mais les temps ont bien changé et la Belgique, à l’image de la France, est soumise à la pression combinée du multiculturalisme et du laïcisme. La direction de la Croix Rouge de Belgique a donc demandé de retirer les crucifix de tous ses locaux, créant le mécontentement chez une bonne partie de ses bénévoles.

Quant à parler de neutralité religieuse, pourquoi alors continuer à utiliser le terme Croix Rouge. Pourquoi ne pas passer au point rouge, façon nez de clown. Avant de passer de la laïcité à l’allahicité et finir au Croissant Rouge… qui a bien une signification religieuse.

 

Source :medias-presse.info

 

 

mercredi, 19 août 2015

Aide aux « migrants » : compassion ou collaboration ?

Publié par Guy Jovelin le 19 août 2015

migrant.jpgPierre-Emile Blairon

Un combat se gagne aussi avec des mots : un « migrant » n’est rien d’autre qu’un clandestin. 

Un combat se gagne aussi avec des mots : un « migrant » n’est rien d’autre qu’un clandestin. L’une de ces officines venant en aide aux « migrants » édite un « annuaire des acteurs associatifs et institutionnels » de plusieurs centaines d’entrées regroupant cette nébuleuse d’organisations (dont la plupart des dirigeants sont issus de l’extrême gauche) mis à la disposition des clandestins.

On connaît l’efficacité de ce réseau, d’autant plus qu’il est parrainé et subventionné par nos structures étatiques « républicaines ». On peut être surpris d’y trouver les mentions d’institutions vénérables comme la Croix-Rouge française (fondée par le maréchal Pétain le 4 août 1940 sous son appellation actuelle) ou le Secours catholique (fondé par l’abbé Rodhain, ouvertement pétainiste, décoré de l’ordre de la Francisque), dont la vocation initiale était de venir en aide aux Français en difficulté. Ces associations traditionnelles n’avaient d’autre but que compassionnel. Étrange pied de nez de l’Histoire : infiltrées par la gauche, elles se retrouvent à la pointe de la lutte antifrançaise, de la préférence étrangère, donnant tous les moyens légaux et surtout illégaux à ceux qui vont remplacer nos peuples européens, avec la bénédiction de nos gouvernants. On appelait ces gens, sous l’Occupation, des « collabos ».

 Ces militants illuminés n’ont plus de repères, de sol auquel se rattacher, ni de sang auquel appartenir, et se croient investis d’une mission universaliste ; ils vont affronter la saleté, les insultes, les violences (il y a quelques jours, en Italie, trois clandestins égyptiens ont frappé le responsable d’un centre d’accueil et violé son employée), en abandonnant délibérément nos pauvres qui souffrent. En effet, selon une enquête de 2012 effectuée par la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES), 40 % des SDF « francophones » ne reçoivent aucune aide, alors que la quasi-totalité des « migrants » sont pris en charge par l’armada des associations d’accueil des étrangers.

 C’est que nos bons samaritains sont persuadés d’être en charge de toute la misère du monde. Le prix de passage clandestin à bord d’un bateau s’élève en moyenne à 3.000 euros. Ou bien ces gens ne sont pas dans la misère, ou bien leur trajet est payé par des organismes privés ou étatiques ; lesquels ? Quel Français pourrait s’offrir un tel voyage ? Il faut aussi savoir que nombre de djihadistes pourraient être présents parmi les gentils demandeurs d’asile, selon Gilles de Kerchove, le coordinateur de l’Union européenne pour la lutte contre le terrorisme.

Si le Grand Remplacement n’est pas une lubie, le Grand Suicide – l’ethnomasochisme – de nos populations européennes ne l’est pas non plus. Lorsque ces bénévoles inconscients auront parmi leurs proches une personne égorgée ou victime d’un attentat, ils ne pourront pas invoquer la clause de l’ignorance. Ils seront donc alors complices.

(*) Pierre-Emile Blairon est journaliste et écrivain

Source : Boulevard Voltaire cliquez là

et Le Journal du Chaos cliquez ici