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samedi, 22 décembre 2018

Oui à l’universalité des allocations familiales

Publié par Guy Jovelin le 22 décembre 2018

Auteur : Michel Janva

Oui à l’universalité des allocations familiales

 De Fabien Bouglé :

Le CESE a lancé une vaste consultation des Français suite à la mobilisation des gilets jaunes afin de connaître leurs aspirations.

Des propositions peuvent être proposées et soutenues.

A été déposé la demande de rétablissement de l’universalité des allocations familiales et à un relèvement du quotient familial.

Il nous appartient à tous de soutenir les familles qui subissent de plein fouet la politique anti-familiale de Hollande puis de Macron. Alors VOTEZ et faites VOTER !

Au moment où commence enfin à sortir dans la presse la dénonciation de l’immense scandale démocratique que fut le rejet par le CESE de la pétition de La Manif pour tous contre le mariage homosexuel, ne laissons pas passer l’occasion d’utiliser cette institution pour faire entre notre voix.

 

Source : lesalonbeige

mercredi, 24 octobre 2018

Revalorisation de l’allocation pour demandeur d’asile de 1.6% en 2019 et de 0.3% pour les allocations familiales !

Publié par Guy Jovelin le 24 octobre 2018

Auteur : Pierrot
contre-info

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C’est proprement scandaleux. Alors que Macron et sa clique rognent sur toutes les dépenses, l’allocation pour demandeur d’asile est 5 fois plus revalorisée que les allocations familiales en 2019. Les familles françaises seront gratifiées d’une augmentation de 0.3%, tandis que l’aide des migrants suivra le cours de l’inflation…

Conclusion : les familles perdent en pouvoir d’achat, les migrants, non.

Pour dégager des économies et ainsi respecter le seuil de 3% de déficit du produit intérieur brut (PIB) exigé par la Commission européenne, le gouvernement a décidé d’indexer la majeure partie des prestations en-dessous de la hausse des prix à la consommation. Ainsi, les retraites de base, les allocations familiales et les aides au logement (dont l’APL) vont être revalorisées de seulement 0,3% en 2019 et 2020, sachant que l’inflation (hors tabac) est attendue à 1,6% en 2018. Les bénéficiaires de ces prestations vont donc perdre en pouvoir d’achat durant les deux prochaines années.

Pour ne pas pénaliser les Français les plus modestes, cette désindexation ne va pas s’appliquer aux minima sociaux. Comme Emmanuel Macron s’y était engagé durant la campagne, la prime d’activité, le minimum vieillesse et l’allocation aux adultes handicapés (AAH) vont même bénéficier de revalorisations exceptions (voir plus loin). Au final, ne seront pas concernées par la sous-indexation de 0,3% les prestations suivantes :

– L’allocation de veuvage

– L’allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA), le remplaçant du minimum vieillesse

– L’allocation supplémentaire d’invalidité (ASI)

– Le revenu de solidarité active (RSA)

– L’allocation de solidarité spécifique (ASS)

– L’allocation pour demandeur d’asile (ADA)

– L’allocation temporaire d’attente (ATA). 

Source

mercredi, 08 avril 2015

UN MÉNAGE SUR DIX PERDRA DES ALLOCATIONS FAMILIALES

 Publié par Johanna

 
Un ménage sur dix perdra des allocations familiales
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vendredi, 17 octobre 2014

ALLOCATIONS FAMILIALES : LA RÉFORME SCANDALEUSE

Publié par Guy Jovelin

 
Allocations familiales : la réforme scandaleuse
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mercredi, 17 septembre 2014

Les Français en ont marre de banquer pour « les pauvres » ! (par Marie Delarue)

 

Publié par Guy Jovelin

Elle a 65 ou 66 ans. Encore toute fraîche, toujours pomponnée et bien mise, coiffeur et soins esthétiques une fois par mois. Voilà trois ans, elle s’est acheté une jolie « maison de ville » dans un quartier en hausse de l’Est parisien. Vivant depuis longtemps éloignée d’un époux architecte, cette retraitée de la fonction publique (employée de ministère) annonce en éclatant de son rire cristallin qu’ils ont enfin acté leur séparation, cela« tout à son avantage ». Femme « isolée » entrant maintenant dans la tranche des contribuables « acquittant un impôt sur les revenus soumis au barème inférieur ou égal à 2.028 € », elle bénéficie désormais des transports gratuits, de l’entrée gratuite dans de nombreux musées, de réductions sur les spectacles, clubs de gym et autres ateliers de poterie… À l’heure qu’il est, elle boucle son sac pour l’Italie : direction Lugano et le lac de Côme, avec… la mairie de Paris. Grâce à la Sécu, elle va aussi régulièrement « prendre les eaux » pour soigner son mal de dos, et peste contre la prise en charge insuffisante de ses frais de séjour. Elle vote à gauche, se plaint que la France ne veuille plus financer ou ait réduit le financement des études de ses petits-enfants qui fréquentent un lycée français de Californie. Exilés volontaires, je précise. Trouve ce gouvernement trop libéral.

Tout est vrai. Rien n’est exagéré, même en dessous de la vérité, sans doute. Alors je suis, moi aussi, comme bien des Français dont parle aujourd’hui Le Parisien« de plus en plus sévère pour les pauvres ». Parce que cette dame, au regard de nos critères sociaux, fait étrangement partie des nécessiteux. Je, vous, nous lui payons donc ses transports et ses loisirs, ses soins de cure alors qu’elle court comme un lapin, sans doute un peu aussi son coiffeur. Peut-être son téléphone.

Relatant les résultats d’une étude du CREDOC, Le Parisien assure qu’en 2014 « l’opinion porte un regard plus sévère sur les chômeurs ou les bénéficiaires de minima sociaux ». Et d’ajouter : « Les Français interrogés sont de plus en plus nombreux à “craindre les effets déresponsabilisants des politiques sociales”. » C’est peu dire que les chiffres sont décoiffants : « 76 % des Français questionnés jugent “qu’il est plus avantageux de percevoir des minima sociaux que de travailler avec un bas salaire”. 54 % pensent que les pouvoirs publics font ce qu’il faut voire trop pour les plus démunis, et 53 % considèrent que “le RSA incite les gens à s’en contenter et à ne pas travailler”. Et les aides aux familles qui ont des enfants sont jugées largement “suffisantes” à 63 % contre… 31 % seulement en 2008. »

Scandaleux ! Injuste ! diront à juste titre les vrais pauvres, les vrais chômeurs, tous ceux qui voudraient bien mais ne peuvent point. Reste qu’on en connaît tous, de ces profiteurs à la bonne conscience comme la petite dame du dessus et ses cours du Louvre. Reste aussi que la tranche des contribuables au « revenu médian », ceux qui ont trop mais néanmoins pas assez, ceux qui cependant se retrouvent, eux, à devoir payer à plein leurs transports, la cantine des gosses, les loisirs du mercredi et de la semaine raccourcie, l’entrée à la piscine et au musée, ceux qui n’ont ni CMU ni AME ni APL, et pas la possibilité de se faire faire des dents aux frais de l’État, tous ceux-là en ont marre de banquer pour les autres. Qui ne paient ni les transports ni la cantine ni la piscine, etc. (voir ci-dessus).

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