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mercredi, 16 janvier 2019

Les assassins de l’Europe et leur arme de destruction massive

Publié par Guy Jovelin le 16 janvier 2019

 Comme chacun sait qu’un assassinat est un meurtre commis avec préméditation.

Le Pacte de Marrakech, approuvé par un pape et des prélats catholiques délirants, par Angela Merkel qui reste en place bien qu’elle ait été désavouée par ses électeurs, par Grand Président Macron qui est sur une sellette éjectable, ne fait que reprendre, en l’étendant, le génocide initié en 1976 par Valéry Giscard d’Estaing et Jacques Chirac, qui, rattrapés par la sénilité, mourront impunis pour leur décret 76-383 du 29 avril, paru au Journal Officiel de la Ripublique le 2 mai 1976.

migrants

Quel dommage de ne pouvoir croire raisonnablement en un Enfer ! On aimerait que ces êtres, vendus stricto sensu à la Finance anonyme et vagabonde – il n’est pas besoin de cultiver la fleur royaliste en France pour adopter cette phrase prononcée par un prétendant au trône il y a près de 120 années –, subissent des tourments jusqu’à la fin des temps.

Une autre fin est programmée, celle des Nations européennes, amenant inévitablement leur remplacement par les migrants massivement importés… sauf réaction puissante des Européens, encore majoritaires sur un continent qui n’appartient qu’à eux.

Rien qu’en France, en additionnant aux adultes les rejetons nés sur le sol réputé français et devenus citoyens « par droit du sol », on compte environ 15 millions de sujets d’origine africaine. On sait que dans de nombreuses régions, plus du tiers des naissances sont à risque de drépanocytose, soit un marqueur génétique d’origine africaine.

En Allemagne, on sait que depuis 2015, la folle chancelière a importé 50 % d’illettrés – il n’existe pas de statistique disponible de ce type dans la très démocratique République française. En revanche, l’INSEE nous apprend que chez les « immigrés de première génération », le taux de chômage des sujets en âge et en état de travailler est de 35 %… on a importé des masses sans qualification autre que l’intense désir de participer à la féérie de consommation qui est le fondement de l’économie actuelle.

Consommer sans Produire ou sans avoir produit, c’est aussi le slogan des immigrés âgés importés inutilement et auxquels l’État français offre une retraite… parfaitement illégale, puisque non ouverte par des cotisations antérieures. Que ceux des retraités français autochtones qui ont travaillé et cotisé 41 années pour gagner à peine de quoi survivre soient heureux : leurs cotisations servent à payer des retraites aux vieillards importés !

Lorsque, durant les années 1980-2000, des toqué(e)s écrivaient qu’il fallait importer des immigrés pour « payer les retraites », ils ou elles (sans compter les personnes de sexe-genre à géométrie variable) ne croyaient pas si bien dire : on a importé un tiers de chômeurs et un nombre imprécis, mais fort grand si l’on en croit les statistiques allemandes et scandinaves, de populations inutilisables.

Il est évident qu’il existe, au sein de la très composite immigration, des techniciens, voire des savants, mais cette élite africaine ou moyen-orientale devrait retourner dans son continent ou son sous-continent d’origine, pour l’amener au même degré de civilisation que les Européens ont haussé l’Occident.

Le gouffre financier de la Sécurité sociale a pleinement bénéficié de l’immigration : on soigne – pour quelques milliards d’euros de plus – toutes les familles importées, dont certaines utilisent abusivement de façon collective une seule carte individuelle d’accès aux soins. Et l’on soigne bien évidemment aussi les clandestins dits « sans papier », sans existence légale, mais néanmoins pourvus d’allocations spécifiques et de droits.

Car l’on a inventé un droit des clandestins, un droit des illégaux ! Nos politicards ignorent jusqu’à la sémantique, mais ils sont servis par une armée de juristes oubliant sur commande les fondements du Droit… en quelle que sorte des parjures.

La réaction nécessaire des Européens est à l’évidence double. D’abord et de façon urgente, il leur incombe de se révolter et de chasser les guignols irresponsables et corrompus qui ont trompé leurs électorats et qui ruinent le continent pour le seul profit des financiers cosmopolites, des producteurs exotiques et des distributeurs, en principe européens. Ensuite, il faut stimuler la natalité autochtone en combattant le féminisme délirant des folles du « droit à la non-grossesse ».

Les Nations européennes menacées dans leur survie n’ont pas besoin de ringards de la politique atteints par la limite d’âge, ni même de « penseurs ». Elles ont besoin d’hommes d’action qui sont prêts à se battre pour assurer l’avenir de leur peuple et le dynamisme de leur patrie. Elles ont besoin de femmes décidées à mettre au monde de véritables enfants d’Europe.

 

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mercredi, 06 juin 2018

Il faut rétablir la peine de mort !

Publié par Guy Jovelin le 06 juin 2018

Auteur Roland DUBOIS

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Quand la peine de mort est hors-la-loi, seuls les hors-la-loi infligent la peine de mort (*).

La majorité des Français est probablement favorable à l’application de la peine de mort aux auteurs de crimes particulièrement odieux et pour lesquels aucune circonstance atténuante ne peut raisonnablement être invoquée au regard du forfait perpétré.

Les nombreux sondages faits dans les années écoulées vont tous dans ce sens.

Il y a toujours eu une majorité pour estimer qu’elle demeurait un mal nécessaire pour punir, et aussi, ce qu’on occulte trop souvent, mettre hors d’état de nuire à nouveau, les monstres que sont devenus certains hommes.

Remarquons que, sur ce sujet de société majeur, on s’est bien gardé de demander par référendum leur avis aux Français, sans doute parce que la réponse n’aurait pas été celle que nos dirigeants souhaitaient.

Ce qui a joué contre le principe même de son application, c’est, psychologiquement, le côté barbare de l’exécution au moyen de la guillotine.

Nous étions les seuls dans le monde civilisé à pratiquer encore la décapitation.

On aurait pu trouver quelque chose de moins choquant.

Mais que des criminels en série, des assassins d’enfants, de vieillards, des monstres joignant la barbarie au meurtre, des terroristes ayant perpétré leurs forfaits aveugles dans des lieux où, nécessairement, ils allaient tuer et blesser n’importe qui, n’encourent pas la peine qu’ils n’hésitent pas à infliger à des innocents est une injustice. Et un encouragement.

Un meurtrier a intérêt à tuer les témoins possibles de son acte.

Dans le meilleur des cas, il augmente ses chances d’échapper à la police et à la justice.

Dans le cas contraire, deux, trois ou quatre victimes ne changeront guère son sort.

En outre, si on veut que, demain, notre société trouve encore des défenseurs en la personne des juges et des policiers, il faut aussi penser à les protéger.

Et la meilleure protection, c’est la possibilité que leur assassinat puisse mener tout droit au gibet. Peu d’humains en Occident ont de l’attirance pour le martyre.

Un argument fort contre la peine capitale est le risque de l’erreur judiciaire, hélas sans recours. Mais on pourrait modifier les textes, au moins dans ce cas, pour que la sentence ne puisse pas être prononcée sur la seule « intime conviction des jurés » – notion qui, dans un pays démocratique, est en elle-même, et dans tous les cas, une étrangeté, convenons-en.

Quand une sentence irréversible est possible, il faut des preuves indiscutables de la culpabilité ; et c’est de moins en moins utopique grâce aux progrès considérables, accomplis dans les années passées, et ceux à venir, par la police scientifique.

Les humanistes autoproclamés de ce pays vont sans doute être horrifiés de ce propos.

Ils ont deux arguments principaux : retirer la vie à un homme, fût-il un assassin, est contraire à nos valeurs, c’est se rabaisser à son niveau, et le risque du châtiment suprême n’est pas dissuasif, n’a aucune vertu préventive.

Déjà discutable dans une société en paix, où les crimes sont rares et ne remettent pas en cause les fondements de la société, ce point de vue est hors du temps quand on a affaire à des groupes ou des individus qui s’attaquent à n’importe qui dans le but ultime de détruire une société qu’ils haïssent, par la confusion, le désordre et la peur qu’ils propagent, et in fine par les affrontements qui surgiront inévitablement au sein de la population si l’État n’est pas inflexible.

Voilà près de 5 ans que le président et le Premier ministre de ce pays ont prononcé le mot guerre pour qualifier ce qui se passe chez nous ; sans toutefois oser nommer l’ennemi.

Infliger la mort est inséparable de l’acte de guerre. D’ailleurs, on n’est pas si regardant quand il s’agit d’aller bombarder les Syriens qui ne nous ont rien fait, du moins dans le passé récent, et qui ont les mêmes ennemis que nous.

Alors ? On peut tuer là-bas des étrangers anonymes assez inoffensifs pour nous, mais pas chez nous des ennemis déclarés de notre patrie, Français de surcroît généralement, donc des traîtres ? Ça n’a pas de sens.
Malheureusement, je pense qu’il faudra encore bien d’autres attentats et massacres, pour que nos chefs descendent enfin sur terre. Le courage et le bon sens ne sont toujours pas au pouvoir en France.

* « Supprimer la peine de mort ? D’accord ! Que Messieurs les assassins commencent ! » (Alfred Capus)

 

Source : les4verites