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jeudi, 14 septembre 2017

Saint-Martin – C’est la chasse aux Blancs !

Publié par Guy Jovelin le 14 septembre 2017

Le journal La Dépêche, peu suspect d’être un média suprématiste blanc, révèle le témoignage d’Isabelle, Toulousaine de naissance, qui vit sur l’île antillaise de Saint-Martin depuis 25 ans.

Cette médecin, qui séjourne actuellement en vacances à Toulouse, a habituellement, du fait de son métier, les nerfs solides. Mais depuis hier, elle est en panique totale et lance un appel au secours car elle craint pour la vie de son mari et de son fils qui sont, eux, sur l’ïle antillaise ravagée par l’ouragan Irma.

Ses dires sont corroborés par les témoignages d’autres résidents de l’île, qui, sur les réseaux sociaux, racontent que ces gangs défoncent les portes des maisons et disent « dehors les Blancs ».

« Mon mari et mon fils sont en danger de mort, comme une grande partie de la population. C’est la guerre civile là-bas. On commence à entendre parler dans les médias des pilleurs qui ont dévalisé les magasins après le passage de l’ouragan, mais on est bien loin de la réalité. Des bandes de voyous ont en effet dévalisé le bâtiment des douanes, qui a été très abimé et ont volé le stock d’armes qui s’y trouvait. Depuis jeudi soir, ils sillonnent l’île masqués et cagoulés et s’attaquent aux maisons encore debout dans lesquelles les habitants se sont réfugiés« , raconte-t-elle, au bord des larmes.

« Je les ai eu hier soir au téléphone, ils sont tétanisés de peur. Ca tire autour de notre maison dans laquelle ils sont barricadés avec six amis qui sont chez nous parce leur villa a été détruite, poursuit-elle. Ils ne peuvent pas sortir. Ils disent que les agresseurs circulent par bande de dix, sont sans foi ni loi et sont prêts à tirer pour récupérer de la nourriture ou de l’argent. »

La Dépêche

mercredi, 20 avril 2016

Chasse aux Blancs à Mayotte (département « français ») !

Publié par Guy Jovelin le 20 avril 2016

19 avril 2016 par admin4

L’île de Mayotte, dans l’océan Indien, a été faite département français d’Outre-mer en 2011.
Grâce à l’argent de la métropole, le niveau de vie a très fortement augmenté et une large partie de la population, désormais considérée administrativement comme « française » vit des aides de l’Etat.
Par ailleurs, tous les jours, des immigrés clandestins de cette région du monde se précipitent sur l’île pour bénéficier de l’argent français.

Mais voilà que depuis le 30 mars, Mayotte est paralysée par une grève générale lancée par une intersyndicale du territoire. Les Mahorais, qui réclament une « égalité réelle » entre leur île et la métropole française, sont mécontents. Des violences urbaines marquent le quotidien des habitants.

Le Télégramme a interrogé des expatriés bretons :

« L’île est totalement bloquée et on est dans un climat proche de la guerre civile. Il y a deux nuits, 85 voitures ont été incendiées pas loin d’ici, des bandes de jeunes mènent des attaques avec des tronçonneuses ! C’est comme une guérilla urbaine ! », explique un Breton joint mercredi soir par téléphone.
Dans la capitale Mamoudzou, « des bandes de jeunes armés de  » chumbos « , de grands coupe-coupe, et de  » m’pangas « , des machettes, ont mis en place des barrages sauvages où ils rackettent les automobilistes. Si tu paies, tu passes, sinon, tu risques de te prendre une caillasse sur la figure ou de te faire agresser », témoigne la cousine Léa.
Avant d’ajouter « des blindés de la gendarmerie traversent le village, un hélicoptère tourne en permanence avec des projecteurs la nuit et lance des bombonnes lacrymogènes pour faire fuir les groupes de délinquants. L’autre jour, une chasse aux « n’zungus » (ndlr, les blancs) a été lancée par des jeunes. On n’ose plus sortir pour aller au travail. Mes enfants sont déscolarisés depuis le début des événements […]  »