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lundi, 25 juin 2018

Mayotte: Deux gendarmes du GIGN entre la vie et la mort

Publié par Guy Jovelin le 25 juin 2018

Par  le 25/06/2018 

Deux gendarmes de l’antenne locale du GIGN ont été grièvement blessés, dimanche, à Mayotte, apprend 20 Minutes de source proche du dossier. Les faits ont eu lieu, vers 15h (14h à Paris), à Bandrélé, au sud-est de l’île. Les deux militaires participaient à une opération visant à interpeller un individu suspecté d’avoir commis des violences sur des touristes et visé par un mandat de recherche.

Lorsqu’ils l’ont interpellé, les deux gendarmes ont été pris pour cible par une dizaine de personnes qui leur ont jeté des cailloux et des pavés. Le plus grièvement blessé, qui se trouve entre la vie et la mort, a eu le crâne fracturé et a été plongé dans le coma. L’autre souffre d’un traumatisme crânien. Ils seront évacués à la Réunion lundi après-midi. La section de recherche de Mayotte est chargée de l’enquête.

mercredi, 20 avril 2016

Chasse aux Blancs à Mayotte (département « français ») !

Publié par Guy Jovelin le 20 avril 2016

19 avril 2016 par admin4

L’île de Mayotte, dans l’océan Indien, a été faite département français d’Outre-mer en 2011.
Grâce à l’argent de la métropole, le niveau de vie a très fortement augmenté et une large partie de la population, désormais considérée administrativement comme « française » vit des aides de l’Etat.
Par ailleurs, tous les jours, des immigrés clandestins de cette région du monde se précipitent sur l’île pour bénéficier de l’argent français.

Mais voilà que depuis le 30 mars, Mayotte est paralysée par une grève générale lancée par une intersyndicale du territoire. Les Mahorais, qui réclament une « égalité réelle » entre leur île et la métropole française, sont mécontents. Des violences urbaines marquent le quotidien des habitants.

Le Télégramme a interrogé des expatriés bretons :

« L’île est totalement bloquée et on est dans un climat proche de la guerre civile. Il y a deux nuits, 85 voitures ont été incendiées pas loin d’ici, des bandes de jeunes mènent des attaques avec des tronçonneuses ! C’est comme une guérilla urbaine ! », explique un Breton joint mercredi soir par téléphone.
Dans la capitale Mamoudzou, « des bandes de jeunes armés de  » chumbos « , de grands coupe-coupe, et de  » m’pangas « , des machettes, ont mis en place des barrages sauvages où ils rackettent les automobilistes. Si tu paies, tu passes, sinon, tu risques de te prendre une caillasse sur la figure ou de te faire agresser », témoigne la cousine Léa.
Avant d’ajouter « des blindés de la gendarmerie traversent le village, un hélicoptère tourne en permanence avec des projecteurs la nuit et lance des bombonnes lacrymogènes pour faire fuir les groupes de délinquants. L’autre jour, une chasse aux « n’zungus » (ndlr, les blancs) a été lancée par des jeunes. On n’ose plus sortir pour aller au travail. Mes enfants sont déscolarisés depuis le début des événements […]  »