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vendredi, 04 novembre 2016

Nuit d’Halloween sous tension en France : voitures brûlées, policiers et pompiers pris pour cible…

Publié par Guy Jovelin le 04 novembre 2016

Par le 01/11/2016

Une nouvelle fois, la fête d’Halloween a été agitée en France. Des violences urbaines ont éclaté en région parisienne, mais aussi en Bretagne, notamment à Rennes, en Alsace ainsi qu’à la Réunion. Selon un bilan national (hors Paris) effectué par la police, une centaine de voitures sont parties en fumée et des équipages de secours, qu’il s’agisse de policiers ou de pompiers, ont été pris pour cible. Au total, près de 130 faits de ce type ont été recensés. Ils n’ont pas fait de blessés graves.

Les Yvelines ont concentré le plus grand nombre d’incidents, notamment aux Mureaux, à Trappes, à Mantes-la-Jolie et à Poissy, mais d’autres ont été recensés ailleurs en région parisienne, dans le Val-d’Oise (Villiers-le-Bel, Argenteuil) et en Seine-et-Marne (Noisiel). La province n’a pas été épargnée. En Bretagne (à Rennes et à Lorient), les pompiers ont dû intervenir, assistés par les forces de l’ordre, pour éteindre de multiples feux de poubelles alors qu’ils étaient la cible de projectiles et d’injures. À Saint-Denis-de-la-Réunion, ce sont des containers qui ont été incendiés.

Ce qui frappe dans le contexte de malaise policier ambiant est la proportion importante d’actions commandos menées contre des locaux de police à coups de jets d’extincteurs, de cocktails Molotov ou de bouteilles pouvant contenir de l’acide, ce dernier cas ayant été constaté à Conflans-Sainte-Honorine. Phénomène plus classique, des transports urbains ont essuyé des jets de pierres, comme ce fut le cas pour le tram à Strasbourg. [...]

Le Parisien

mercredi, 20 avril 2016

Chasse aux Blancs à Mayotte (département « français ») !

Publié par Guy Jovelin le 20 avril 2016

19 avril 2016 par admin4

L’île de Mayotte, dans l’océan Indien, a été faite département français d’Outre-mer en 2011.
Grâce à l’argent de la métropole, le niveau de vie a très fortement augmenté et une large partie de la population, désormais considérée administrativement comme « française » vit des aides de l’Etat.
Par ailleurs, tous les jours, des immigrés clandestins de cette région du monde se précipitent sur l’île pour bénéficier de l’argent français.

Mais voilà que depuis le 30 mars, Mayotte est paralysée par une grève générale lancée par une intersyndicale du territoire. Les Mahorais, qui réclament une « égalité réelle » entre leur île et la métropole française, sont mécontents. Des violences urbaines marquent le quotidien des habitants.

Le Télégramme a interrogé des expatriés bretons :

« L’île est totalement bloquée et on est dans un climat proche de la guerre civile. Il y a deux nuits, 85 voitures ont été incendiées pas loin d’ici, des bandes de jeunes mènent des attaques avec des tronçonneuses ! C’est comme une guérilla urbaine ! », explique un Breton joint mercredi soir par téléphone.
Dans la capitale Mamoudzou, « des bandes de jeunes armés de  » chumbos « , de grands coupe-coupe, et de  » m’pangas « , des machettes, ont mis en place des barrages sauvages où ils rackettent les automobilistes. Si tu paies, tu passes, sinon, tu risques de te prendre une caillasse sur la figure ou de te faire agresser », témoigne la cousine Léa.
Avant d’ajouter « des blindés de la gendarmerie traversent le village, un hélicoptère tourne en permanence avec des projecteurs la nuit et lance des bombonnes lacrymogènes pour faire fuir les groupes de délinquants. L’autre jour, une chasse aux « n’zungus » (ndlr, les blancs) a été lancée par des jeunes. On n’ose plus sortir pour aller au travail. Mes enfants sont déscolarisés depuis le début des événements […]  »