« Marine Le Pen, Jacques Attali ou comment l’absurdité se conjugue en politique ! »

Publié par Guy Jovelin

L’économiste et Président du groupe « Planet finance » invité chez BFMTV récemment, préconise une hausse de trois points de la TVA ; sans conséquences selon ses dires sur le coût de la vie.

Peu de temps après, la Présidente du Front National se « voit » à Matignon. Cela relève d’une mauvaise farce ou d’un mauvais rêve, c’est selon !

En effet qui ne voit pas que l’un fait abstraction de la vie chère et des conditions de vie des Français, pendant que l’autre, reniant tous les fondamentaux de son parti, est prête à assumer un rôle de Premier ministre sous l’égide d’un Président socialiste, une drôle de cohabitation en quelque sorte…

Quelle ignominie ! Quelle tromperie vis à vis du peuple de France !

Comment un parti, qui se dit aussi opposé au pouvoir et classé notamment par les  médias  à « l’extrême droite » pourrait cohabiter grâce à son chef, avec un Président socialiste et internationaliste ?

Le temps de la désagrégation d’un système à bout de souffle est arrivé, les masques de clown tombent.

Madame Marine Le Pen à jeté le sien en faisant parti du système comme tant d’autres… Le discours de Maître Gilbert Collard est édifiant dans la mesure où il est nostalgique d’une France d’antan, qu’il appelle de ses vœux en faisant référence de manière ouverte à la France du Général De Gaulle comme exemple, ce qui pour nous est un non-sens en tant que nationalistes !

Ceci étant, nous n’en sommes plus à quelques mois près, ni même à quelques années, car ne vous méprenez pas, chers camarades, rien ne changera ; sauf si un changement s’opère et s’inscrit avec une révolution des âmes et des cœurs que nous appelons de nos vœux, débouchant sur un véritable État Nationaliste !

Les maîtres chanteurs de l’UMPSFN ont montré leurs vrais visages et à leurs tergiversations, nous leur opposons une fin de non recevoir.

L’avenir de la France appartient aux véritables nationalistes, ceux qui sont fiers de leur passé et qui tendent vers l’avenir.

Les marchands d’illusions ont fait leur temps, un boulevard d’espoir s’ouvre devant nous.

Pour nos adversaires, la roche Tarpéienne n’est pas loin !

Quand les peuples cessent d’estimer, ils cessent d’obéir. Cette époque est arrivée.

A vouloir duper le peuple de France, on ne peut que subir son courroux.

Franck Pech

Responsable communication Pdf 31

La Rochelle : ils sont venus, ils sont tous là, pour voir mourir la mamma… (par Marie Delarue)

Publié par Guy Jovelin

On dit que l’Histoire ne repasse jamais les plats. C’est à voir… Celle de La Rochelle, en effet, est riche d’enseignements.

La Rochelle fut l’une des grandes marmites du protestantisme, enfant de la protestation, et de ce fait victime de sièges mémorables de la part d’un pouvoir aux abois. Le cardinal de Richelieu soi-même campa à ses portes, élevant une digue pour couper la ville de ses alliés tandis que le maire – déjà – opposait aux gouvernants de la France une résistance héroïque.

Comme le chien de la bible qui retourne, obstiné, à ses vomissures, le Parti socialiste fait chaque année son pèlerinage à La Rochelle. Et chaque année explosent guerres de religion et querelles de chapelle. Et chaque année le maire fait dissidence. Cette fois, le nouvel élu Jean-François Fountaine (DVG) a été privé d’apéritif pour s’être maintenu aux municipales contre la candidate officielle du PS. Son prédécesseur, qui soutenait Ségolène Royal, fut battu aux législatives par son adjoint Olivier Falorni, soutenu, lui, par Valérie Trierweiler dont il hébergeait les amours coupables avec un certain François Hollande… Et ce 29 août, le PS, de nouveau, s’entredéchire à La Rochelle.

Ils sont venus, ils sont tous là, espérant pour certains et redoutant pour d’autres de voir mourir la mamma. Jean-Christophe Cambadélis, le nouveau taulier qui a succédé au nullissime Harlem Désir, a la trouille au ventre. Valls, le nouvel ami des patrons, est venu en force. Les frondeurs aussi, et puis les Aubrystes. Ça va cogner. Il pourrait bien y avoir, dimanche soir, des cadavres flottant entres les deux tours du vieux Port.

Soucieux d’apporter leur soutien à la politique du Président, 200 députés PS sur les 290 qui siègent à l’Assemblée ont signé une tribune dans Le Monde, appelant les « frondeurs » au rassemblement. Surprenante démarche ! Certes, on peut comprendre ce grand désir de vérité et cet élan de compassion, mais bon, c’est mettre la France le nez sur la cuvette.

Car faisons le compte à l’heure des votes :

– d’un côté 200 voix PS acquises à Valls/Hollande,
– de l’autre 90 voix PS + 48 voix PC, rouge foncé et Vert + 234 voix UMP et DVD pas acquises du tout.

Récapitulons : 200 députés acquis d’office au gouvernement, et ± 372 députés qui voteront sûrement contre. Ou bien qui deviendront la nouvelle majorité gouvernementale ! Bref, un casse-tête pour un François Hollande qui n’a plus guère de cheveux à s’arracher.

Alors, qu’est-ce qu’on fait : on dissout et on se casse, ou on plonge dans la cohabitation adultérine jusqu’à la fin du quinquennat ? Il est vrai que sur ce plan là, au moins, Hollande est un vrai pro.

Cambadélis le dit et le répète : « Personne ne peut souhaiter que le gouvernement tombe ». Et s’il le dit, hein, c’est qu’il croit cela possible !

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