Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 04 novembre 2018

Edouard Philippe rend hommage à Ho Chi Minh et ses communistes tueurs de Français !

Publié par Guy Jovelin le 04 novembre 2018

Auteur : admin4

Hallucinant.

Le régime en place est de plus en plus ouvertement anti-français.

Son Premier ministre Edouard Philippe (issu de la « droite »), en visite au Viet-Nam, a voulu « rendre hommage » au chef communiste Ho Chi Minh, qui a mené une guérilla puis une véritable guerre (soutenue par la Chine de Mao) contre la France et les Indochinois pro-français.

Il a fait tuer, entre 46 et 54, plus d’un demi-million de combattants français et indochinois pro-français, dont des dizaines de milliers torturés dans ses camps de la mort.

Edouard Philippe a vanté « l’austérité sereine », « le travail et le calme, la détermination et la constance » du tyran communiste, dans un livre d’or (et, fier de lui, a posté son texte déshonorant sur twitter) :

philippe2.jpg

Il a aussi salué la mémoire des « soldats vietnamiens qui se sont battus pour l’indépendance » d’un pays qui était alors une colonie française.

Quel ignoble crachat sur la tombe (pour ceux qui ont eu la chance d’en avoir une) de tous les soldats français morts là-bas dans des conditions parfois épouvantables, et pour tous les combattants vietnamiens, laotiens, cambodgiens et tribus minoritaires qui avaient choisi de poursuivre leur route avec la France, face à l’horreur communiste.

Le Monde, qui semble lui-même étonné, précise : « Aucun responsable vietnamien n’avait cependant fait le déplacement au mémorial français, ne rejoignant Edouard Philippe que pour la visite du mémorial vietnamien. »

 

Source : contre-info

vendredi, 06 avril 2018

La priorité des communistes au Sénat : “constitutionnaliser le droit à l’avortement”

Publié par Guy Jovelin le 06 avril 2018

 Les combats sociaux, eux, attendront. Lu sur La-Croix.com :

avortement,communistes,sénatCe mardi 3 avril, le Sénat étudiera en séance une proposition de loi déposée par des élus communistes destinée à constitutionnaliser le droit à l’avortement. « Aujourd’hui, le droit à l’interruption volontaire de grossesse est inscrit dans la loi à l’article L.2212-1 du code de la santé publique, qui permet à toute femme enceinte majeure ou mineure, qui ne veut pas poursuivre une grossesse de demander à un médecin l’interruption de sa grossesse. Il s’agit par la présente proposition de loi d’en faire un principe fondamental en l’inscrivant expressément à l’article 34 de la Constitution », écrivent ces élus dans l’exposé des motifs.

La démarche peut surprendre alors que 211 900 IVG ont été pratiquées en 2016 selon les derniers chiffres de la Drees, ce qui place la France parmi les pays où l’accès est « important », expliquait Veronica Noseda, coordinatrice nationale du planning familial, à La Croix, lors de la publication de ces chiffres.

 

Source : ndf

jeudi, 28 septembre 2017

Islamo-Gauchisme-Douce France : Mélenchon et la tentation de la violence

Publié par Guy Jovelin le 28 septembre 2017

PAR  LE 

Mélenchon et la tentation de la violence

By Eric Verhaegheeric-verhaeghe.entreprise.news septembre 24, 2017

 
 

On a bien tort de sous-estimer Mélenchon. Depuis des années, ses petits copains socialistes l’ont pris pour un vulgaire démagogue. Après des années de haine et d’incertitudes, il a fini par leur mettre des centaines de milliers de voix dans la vue. Il est comme ça le Chavez de l’Essonne: il tonitrue, il se fait moquer, mais les moqueries le renforcent, et à la fin ses oraisons tribuniciennes lui ouvrent la voix.

Les erreurs les plus fréquentes commises sur Mélenchon

Sur Mélenchon, on ne compte plus les lieux communs erronés qui circulent.

Le premier d’entre eux est de croire qu’il n’est pas révolutionnaire. Son recours répété à la rue le montre. Certes, Mélenchon n’appelle pas aux armes. Mais les siens ne manquent pas une occasion de faire l’éloge de la violence et ne cachent pas leurs intentions d’en finir avec une économie fondée sur l’entreprise privée.

Si on ne peut parler, avec Mélenchon, de bolchevisme ouvert, on peut en revanche voir en lui un marxiste-léniniste convaincu. C’est indécodable pour tous ceux qui ont oublié ce que voulait dire la dictature du prolétariat, mais Mélenchon cherche effectivement à réunir les conditions d’un basculement proche de celui de 1917.

Dans cet ordre d’idées, on arrêtera donc d’oublier la fascination de la France Insoumise pour la violence politique. Les pudeurs du mouvement dans la dénonciation de ce qui se passe au Vénézuéla le montre à tous ceux qui acceptent d’ouvrir les yeux.

On arrêtera aussi de répéter à l’envi que le charisme de Mélenchon ne se traduit jamais dans les urnes. Tôt ou tard, à force de ne pas être prise au sérieux par ses adversaires, la France Insoumise gagnera au moins une majorité relative qui lui permettra d’être incontournable, comme le NSDAP le fut en Allemagne, ou comme les communistes le furent en république tchèque en 1948.

Le retour de la dictature du prolétariat

Pour le reste, on a là aussi bien tort de ne pas prendre au sérieux les paroles et les programmes de Jean-Luc Mélenchon. L’intéressé ne cache pas sa fascination pour Lénine. Ses propositions convergent globalement pour fortement administrer l’économie française.

Tout le monde connaît les conséquences de ces mesures. Même sans une révolution brutale, une majorité insoumise à l’Assemblée nationale conduirait à des ruptures majeures dans notre organisation sociale au profit d’une collectivisation et d’une répression étatique liberticide.

Dans la pratique, ses appels répétés à la rue constituent déjà une ligne rouge que la démocratie ne devrait pas admettre. Reste à savoir quelle sera la capacité politique des adversaires de Mélenchon à réagir à cette stratégie dangereuse.

http://eric-verhaeghe.entreprise.news/2017/09/24/melencho...

 

Source : leblogalupus

mardi, 27 janvier 2015

Grèce : premier round (par Patrick Parment)

 

Publié par Guy Jovelin

Il aura suffi d’une victoire quasi programmée d’une gauche hétéroclite en Grèce pour que les Mélenchon, Cécile Duflot et autre Laurent - du fantomatique parti communiste -, s’imaginent que cela pourrait se produire en France. J’entendais Mélenchon à la radio dire qu’il avait les capacités pour gouverner, lui et ses potes. Là, franchement, je suis parti d’un grand éclat de rire.

Les Grecs ont, en effet, massivement voté pour un parti, Syriza, qui leur a fait miroiter la Lune. Enfin, presque. Mettons-nous à la place des Grecs, ils en ont marre de l’austérité et ils vivent sur la corde raide depuis de nombreuses années. Les partis au pouvoir depuis des décennies, de droite comme de gauche, les ont menés à la faillite. Dès lors, pourquoi ne pas essayer autre chose, voir si une autre « volonté » politique, vierge dans le paysage politique, ne serait pas capable de desserrer l’étau.

Il ne faut cependant pas perdre de vue que la Grèce a aussi plongé en raison de ses carences étatiques et d’un système d’impôts totalement inégalitaire puisque ce sont les plus riches qui en payaient le moins. Les Niarkos et autre Onassis en savaient quelque chose d’autant que les leaders politiques, tous bords confondus, s’en mettaient aussi plein les poches. La première des réformes en Grèce consiste bien à remettre de l’ordre dans la machine étatique et d’éliminer les inégalités les plus criantes.

Ce qui ne risque pas d’arriver en France, camarade Mélenchon, car nous, Français, sommes perclus d’impôts et de taxes par des énarques fous qui ont transformés Bercy en asile d’aliénés.

Par ailleurs, il ne faut pas s’imaginer que le Système capitaliste européen,  gangrené par les tenants de la finance mondialisée carburant au dollar, va laisser la Grèce jouer peinarde dans son coin.

On aimerait, certes, voir la Grèce ébranler cette institution bruxelloise qui joue contre l’intérêt des peuples, mais la Grèce est un trop petit pays pour que cela émeuve les hiérarques de la haute finance. Qui a pris soin de placer, en partie, la dette grecque dans les banques européennes.

Pour casser le modèle économique européen, il faudrait qu’un des pays de l’ex-Europe des Six, sombre à son tour ou décide de sortir du Système. Chose qui ne saurait arriver avec les Hollande et autre pignouf à la Sarkozy. Cela serait également possible si les classes laborieuses, en ultime détresse, descendaient dans la rue. Or, nous n’en sommes pas encore là. Du moins tant qu’il y aura encore un poulet aux hormones dans nos frigos.

Pour toutes ces raisons et bien d’autres que j’ignore, Alexis Tsipras, le leader de Syriza, a de fortes chances d’aller à Canossa et tenter de négocier de quoi soulager les classes laborieuses qui pourraient être tentées par des aventures pus radicales avec Aube Dorée, par exemple.

Il ne faut pas non plus perdre de vue que le programme de ce Tsipras est d’un laxisme éhonté en matière d’immigration alors que la population grecque est de plus en plus exaspérée par ces hordes qui arrivent du Moyen Orient et d’Afrique du fait que la Grèce est, avec l’Italie,  l’une des portes d’entrée des immigrés en Europe. Et que Bruxelles s’en fout.

Alexis Tsipras est assis sur un baril de poudre. Attendons de voir la suite.

Source