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lundi, 19 novembre 2018

En visite en Seine-St-Denis (93), Mélenchon salue la « nouvelle France » sur laquelle LFI veut s’appuyer pour « tout changer »

Publié par Guy Jovelin le 19 novembre 2018

Par  le 18/11/2018

 

Le chef de file de La France insoumise (LFI), Jean-Luc Mélenchon, a salué dimanche à Épinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis) les habitants des quartiers populaires, une « nouvelle France » sur laquelle LFI veut s’appuyer pour « tout changer ».

« Je sais quelles sont les populations qui sont là dans ces quartiers. Eh bien moi je veux les nommer. Je n’ai pas peur, je n’ai pas honte de le dire. Ceux que vous voyez là, c’est la nouvelle France », a déclaré M. Mélenchon, lors des Rencontres nationales des quartiers organisées par LFI.

« Voici la nouvelle France, celle sur laquelle nous nous appuierons pour construire et faire tout ce qu’il y a à faire dans ce pays demain, tout changer », a-t-il poursuivi.

« La révolution citoyenne, elle est d’abord appuyée sur la nouvelle France », a insisté M. Mélenchon, avant de rendre une nouvelle fois hommage aux vertus de « l’auto-organisation ».

(…) Le Figaro via fdesouche

mercredi, 31 octobre 2018

Le Grand Orient de France veut suspendre Jean-Luc Mélenchon de la franc-maçonnerie

Publié par Guy Jovelin le 31 octobre 2018

Auteur : Philippe Carhon

Le Grand Orient de France veut suspendre Jean-Luc Mélenchon de la franc-maçonnerie

Est-ce parce qu’il a prétendu qu’il était lui-même la république ou est-ce parce qu’il a mis en cause l’impartialité de la justice républicaine ?

“Le 27 octobre 2018, le conseil de l’Ordre du Grand Orient de France (GODF), la première obédience maçonnique française, a décidé de demander à sa justice interne la suspension temporaire de Jean-Luc Mélenchon en raison de son comportement récent envers des magistrats, des policiers et des journalistes. Cette saisine qui devait demeurer confidentielle a été confirmée à L’Express par plusieurs sources fiables.

Cette décision de l’exécutif du GODF est rarissime. Mais le leader de la France insoumise est connu de longue date comme franc-maçon, initié il y a trente-trois ans, et les hauts dignitaires de l’obédience redoutent que ses mises en cause rejaillissent sur l’image de l’institution, forte de 53 000 membres.”

Suspension “temporaire” ! Jean-Luc Mélenchon va-t-il rentrer dans le rang ?

 

Source : lesalonbeige

samedi, 20 octobre 2018

Exemple de gestion prolétarienne, Sophia Chikirou facturait 10.000 euros par mois sa « direction de la communication » de Mélenchon

Publié par Guy Jovelin le 20 octobre 2018

Ecrit par Pierre-Alain Depauw

Chargée de la communication de Jean-Luc Mélenchon durant la campagne présidentielle, Sophia Chikirou va être entendue par la police. En cause, les factures de Mediascop, la société de communication de Sophia Chikirou, dont les prestations s’élèvent à près d’1,2 million d’euros, soit 11% du budget total de la campagne de Jean-Luc Mélenchon.

Or, ces factures ont été remboursées par l’Etat. Mais les enquêteurs soupçonnent des surfacturations. Mediascop employait alors une dizaine des membres de l’équipe du candidat Mélenchon et aurait facturé très cher certaines prestations.

En tant que digne représentante du prolétariat chargée de la « direction de la communication », Sophia Chikirou a facturé ses prestations pour les huit mois de campagne présidentielle à 80.000 euros hors taxes, soit la modique somme de 10.000 euros par mois.

Véritable forçat du travail, Sophia Chikirou a également pris en main la « rédaction des scenario » des clips de campagne diffusés sur France Télévisions. Et comme tout travail mérite salaire, ce travail rédactionnel harassant a été facturé par Mediascop la bagatelle de 6.000 euros.

De toute évidence, les marxistes de Mediascop avaient adopté les tarifs capitalistes. Pratiquant la facturation « à la tâche »,  Mediascop réclamait 200 euros la minute pour le « sous-titrage de vidéos publiées sur le compte Facebook du candidat » alors que les tarifs pratiqués par les sociétés spécialisées sont généralement de 15 euros la minute pour 30 minutes de travail.

Fidèle à la devise “Fais ce que je dis, pas ce que je fais”, et malgré d’impressionnants bénéfices, la mélenchoniste Sophia Chikirou se révèle être une patronne ultra-libérale : les employés de Mediascop les plus privilégiés étaient payés 1.500 euros par mois en CDD, les autres se contentaient d’honoraires au titre d’auto-entrepreneurs.

 

Source : medias-presse.info

 

mardi, 21 août 2018

Le patron de presse Mélenchon et la bérézina du Média

Publié par Guy Jovelin le 21 août 2018

Le patron de presse Mélenchon et la bérézina du Média

 

 

Par Caroline Parmentier, journaliste à Présent ♦ Rien ne va plus au Média : voilà les donneurs de leçons qui allaient révolutionner la presse et montrer aux autres comment on faisait une télé « honnête » (et encore plus à gauche que la vraie télé) accusés des plus humiliants des méfaits capitalistes et bourgeois.

Leurs proclamations initiales l’annonçaient : « Nous appelons à soutenir la création d’un nouveau média fondamentalement alternatif par sa gouvernance, son modèle économique et son fonctionnement… une coopérative indépendante, pluraliste, humaniste et antiraciste, féministe, écologiste et progressiste. » Les patrons de presse « insoumis » n’ont rien d’insoumis patrons de presse et leur fameux « management de gauche » a fait ses preuves en seulement six mois : licenciements sauvages, intimidations, ruine, accusations d’avoir piqué dans la caisse, purge : les purs, les moins purs… Le tout sur fond de communautarisme et de racisme.

La nouvelle direction « formée de quatre Blancs, quinquagénaires » se plaint que cela pose un problème à certains de leurs collègues qui se « qualifient eux-mêmes de “racisés” » : « Cette expression est odieuse ! Au moment où le terme de race doit disparaître de la Constitution, ils le revendiquent comme une identité ! » La Société des journalistes (SDJ) dans un communiqué relayé par Aude Lancelin, la nouvelle patronne du Média, dénonce : « Nous aurions pu imaginer entendre cette position de la part d’un journaliste de Valeurs actuelles, pas du Média, ce qui nous choque terriblement. »

Sophia Chikirou, l’ex-dircom de Mélenchon, gestionnaire désastreuse, et Gérard Miller, l’insupportable psychanalyste d’extrême gauche, sont à couteaux tirés. C’est le grand déballage sur les réseaux sociaux. A l’image de ce tweet assassin : « Quand Mélenchon appelait “les gens” à donner de l’argent au Média, argent dont on sait maintenant qu’il a terminé en partie dans les poches de Chikirou qui se prétendait bénévole. » Le tout recouvert d’un discours de propagande pesant et vertueux.

Les derniers donateurs en ont fait une indigestion. La nouvelle web télé qui devait aller « de Philippe Poutou à Arnaud Montebourg en passant par Noël Mamère » (un casting sacrément alléchant !) avait été lancée en grande pompe et largement saluée en janvier dernier au nom du pluralisme. Le pluralisme n’est évidemment toléré que s’il est de gauche et d’extrême gauche, on aurait aimé que TV Libertés ait droit à une telle rampe de lancement. Malgré une grosse retape médiatique, le JT du Média avait du mal à décoller des 10 000 vues. A titre de comparaison, TV Libertés dépasse les 100 000 vues quotidiennes. Sans aucune publicité des confrères de la grosse presse.

Comme le fait très bien remarquer Contrepoints, « on ne remerciera jamais assez Jean-Luc Mélenchon de nous avoir montré aussi clairement ce que deviendrait la liberté de la presse, la liberté tout court, s’il devait jamais arriver au pouvoir. Une perspective que la terrifiante expérience du Média contribuera peut-être à écarter pour de bon ».

Caroline Parmentier
18/08/2018

Source : Présent, 18/08/2018

Crédit photo : Pierre-Selim [CC BY 3.0], via Wikimedia Commons

mercredi, 13 juin 2018

Danièle Obono : une bourgeoise chez Mélenchon

Publié par Guy Jovelin le 13 juin 2018

Rédigé par notre équipe le 12 juin 2018.

Danièle Obono, une députée sans le sou

Interviewée par Jean-Jacques Bourdin hier matin, la députée mélenchoniste Danièle Obono a réussi son exercice médiatique. En effet, son interview qui a enchaîné les clichés et les bêtises est finalement sortie de la triste norme politicienne habituelle. Obono a tiré la sonnette d’alarme en raison d’indemnités de député trop faibles ! On savait que les Français étaient dans la mouise, mais de là à ce que nos chers élus soient sans le sou !

En Marche – Les Insoumis : même combat ? Alors que la presse tente de faire croire que Mélenchon est le premier des opposants à la politique macronienne, ses ouailles semblent avoir été rapidement contaminées par l’idéologie dominante sur les bancs de l’Assemblée. Le toujours plus de fric prévaut et fonctionne avec d’autant plus de facilités qu’il vient directement des impôts des Français. Ainsi l’ancienne bibliothécaire trotskiste, Danièle Obono, s’est émue de la situation intenable de ses collègues députés qui doivent se payer un toit à Paris pour pouvoir être présents sur les bancs de l’Assemblée la semaine.

Députés – SDF : une même vie de misère

« Vous voulez qu’on les loge où, les députés ? Ils pourraient avoir les moyens de se loger s’ils avaient une indemnité suffisante pour le faire ». La bombe est lancée par Danièle Obono. Les députés ne sont pas loin d’aller crécher dans des centres d’urgence faute de pouvoir se payer un logement dans une ville aussi chère que Paris. Que fait la mairie socialiste d’Anne Hidalgo ? Que fait l’Etat face à cette situation indécente qui plonge dans la misère l’élite de la France ? L’Etat ne donne que 7 209,74 euros bruts mensuels (au minimum) à chacun des députés. Une misère selon Obono qui est peut-être plus habituée à des sommes ronflantes avec son salaire de petite fonctionnaire et une thèse universitaire commencée en 2003 et qui attend toujours une conclusion…

Rendez-vous compte ! L’indemnité de base n’est que de 5 599,80 euros, une indemnité de résidence de 167,99 euros est versée et une indemnité de fonction de seulement 1 441,95 euros est accordée. Comment vivre avec si peu ? Il est temps que les Français payent plus d’impôts pour que les députés puissent vivre décemment. Ce ne sont pas les 1 200 euros supplémentaires mensuels – justement pour louer un logement – que peuvent demander les députés non Franciliens qui vont changer la donne. Il leur faut un salaire décent et vite !

Obono a vite compris le fonctionnement de la machine politique. Il faut se servir avant de songer à servir les autres. Cela concerne apparemment même les députés soit disant les plus proches du peuple… Le Front de Gauche est une véritable cour des miracles. Après le couple léniniste, voici la députée prolo-bourgeoise trotskiste. Le prochain numéro risque de détonner !

L’Assemblée nationale ferait bien de ne pas revenir sur sa politique accommodante avec les députés sans toit. Car ce que ne dit pas non plus Obono, c’est que l’argent des Français sert aussi à rembourser les frais d’hôtel des députés lorsqu’ils sont à Paris à raison de 200 euros par nuitée maximum. Un pécule minuscule qui serait à l’origine d’une révolution de masse si jamais il venait à être supprimé. Mais que la députée se rassure, les parlementaires votent rarement des lois qui vont contre leurs intérêts… Penser aux autres d’accord, mais penser à soi c’est encore mieux.

Une question se pose désormais à Obono et sa vocation immigrationniste. Comment accueillir des centaines de milliers de « migrants » dans des conditions décentes si la République n’est pas capable de s’occuper de ses propres parlementaires ? Autant dire à nos lecteurs que cette question ne trouvera pas de réponse même avec l’aide de son mentor Jean-Luc Mélenchon.

 

Source : 24heuresactu