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lundi, 15 octobre 2018

Toulouse (31) : « figure du salafisme local », le directeur d’une école privée musulmane placé en garde à vue

Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2018

Par  le 14/10/2018

 

Le fondateur du groupe scolaire Al-Badr à Toulouse (Haute-Garonne) a été placé sous contrôle judiciaire en attendant une audience correctionnelle convoquée en janvier prochain. Imam salafiste, hostile à la violence, Abdelfattah Rahhaoui, il avait été interdit d’enseigner « pour enseignement non conforme » en 2016.

C’est un nouvel épisode de l’affrontement qui dure depuis 2013 entre l’école religieuse du quartier Bellefontaine, à Toulouse, d’une part, le parquet et l’Éducation nationale d’autre part. Le fondateur du groupe scolaire a été placé en garde à vue jeudi matin. Il a été déféré devant le parquet de Toulouse après 36 heures de retenue. Il a été placé sous contrôle judiciaire en attendant une audience correctionnelle convoquée en janvier prochain. L’information a été confirmée au Point par le parquet de Toulouse et par maître Samim Bolaky, l’avocat du mis en cause.

La justice lui reproche de ne pas s’être soumis à une interdiction d’enseigner prononcée par jugement en 2016. Il est également poursuivi pour travail dissimulé. Le jugement de 2016 est frappé d’appel, mais une QPC [question prioritaire de constitutionnalité] plaidée devant le Conseil constitutionnel a ralenti la procédure. L’appel doit finalement être jugé en novembre. […]

Abdelfattah Rahhaoui est une figure du salafisme local. En 2012, il avait participé à l’enterrement du terroriste Mohammed Merah tout en se démarquant publiquement et fermement de ses meurtres. Les services de renseignements locaux le considèrent comme un prosélyte du salafisme. Il n’a jamais fait l’objet de poursuites liées au terrorisme. […]

news.yahoo  via fdesouche

mercredi, 10 décembre 2014

République exemplaire (et métissée) : Yamina Benguigui jugée en correctionnelle

 Publié par Guy Jovelin

L’Algérienne Yamina Benguigui, ancienne ministre de la Francophonie François Hollande, sera jugée en correctionnelle dans l’affaire de sa fausse déclaration présumée de patrimoine. Selon les enquêteurs, ses déclarations de patrimoines alors qu’elle était ministre, sont entachées d’irrégularités.

Elle aurait caché sa participation dans une société installée en Belgique pour échapper au fisc français, G2, une société ayant la particularité d’avoir financé exclusivement ses propres « films » et documentaires – des œuvres de propagandes exaltant l’invasion de la France telles qu’Inch’Allah dimancheFemmes d’islamLe Grand Voyage de Lalla Amina, Aïcha, Mémoires d’immigrés, l’héritage maghrébin, Un jour pour l’Algérie, Le Jardin parfumé, Aïcha, Mohamed, Chaïb… Engagés pour la France, 9-3 Mémoire d’un territoire,etc.

G2 détenait à 99 % sa propre société de production, Bandits production (!). Yamina Benguigui est également accusée de n’avoir pas déclaré la vente de ses parts dans le capital (20 %), ce qui lui avait rapporté 430.000 euros.

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