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lundi, 08 février 2016

RENNES, CALAIS, LE GOUVERNEMENT NE CONTRÔLE PLUS RIEN

Publié par Guy Jovelin le 8 février 2016

dimanche 7 février 2016, par Pierre Picace 


Résultat de recherche d'images pour "calais déploiment policier"Pendant qu’une centaine de citoyens réclamant le rétablissement de l’état de droit essayaient de faire entendre leur voix à Calais, à Rennes des casseurs d’extrême gauche saccageaient le centre-ville avec la complicité passive des forces de l’ordre.

Qualifiée de « xénophobe » et de militant « d’extrême-droite » par le gouvernement et la presse, la centaine de personnes venues faire entendre leur ras-le-bol devant la situation était attendue par un impressionnant déploiement policier. Vingt personnes ont été interpellées devant la gare de Calais, dont le général Piquemal dénoncé par le procureur de la République comme étant l’instigateur présumé de la manifestation. L’ancien patron de la Légion étrangère doit comparaître lundi en comparution immédiate. La justice qui ne craint pas les amalgames dans certains cas, le fera comparaître en compagnie de quatre autres personnes interpellées, elles, en marge du cortège citoyen pour détention "d’armes".

A Rennes, un défilé carnavalesque organisé par l’extrême-gauche pour protester à la fois contre l’état d’urgence et le projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes a tourné au saccage du centre-ville par les bandes de casseurs habituels. Comme toujours, la manifestation a été présentée par les médias et le préfet comme devant être pacifique contrairement à celles de l’extrême-droite dite xénophobe qui sont, elles, de nature à troubler l’ordre public. “La manifestation a été déclarée, il était prévu qu’elle soit conviviale et festive, a indiqué le préfet. « J’avais mis en place un dispositif qui devait assurer une présence dissuasive »”
Selon les riverains, les casseurs s’en sont donné à cœur joie malgré la forte présence policière chargée avant tout de protéger les bâtiments officiels et l’hôtel de ville.

Selon la préfecture, au moins cinq personnes « qui jetaient des projectiles sur les forces de l’ordre », ont été interpellées. Trois véhicules de police ont été dégradés et un officier de police légèrement blessé à la tête après le jet d’une canette, a ajouté le préfet Patrick Strzoda sur BFM TV.

Et aucune comparution immédiate.

 

Source : http://www.national-hebdo.net/